Le cycle elliptique d'hercobulus autour de notre système solaire, d'après les anciens et les récentes analyse scientifique est de 3600 ans (4200 pour certains).
En prenant comme point de départ actuel le 21.12.2012
la fin et le début de la falsification -320000 ans,
Nous pouvons examiner grâce a quelques archives historiques l'impact sur la terre du passage de notre deuxième soleil (hercobulus) lorsqu'il passe près de notre étoile.
Enfin, la (vraie) trajectoire de Nibiru, une spirale crénelée - YouTube
À chaque passage les dégâts terrestre ne sont pas similaire, il y
a eu de gros cataclysmes comme il y a 52000 ans et 26000 ans et des plus léger comme les plus récents décrit dans les texte ci-dessous Extrait>>>>Il a déterminé une date de 1450 av. J.-C., mais des faits scientifiques plus récents indiquent une date de 1628 av. J.-C. Il y a aussi des preuves d’un bouleversement vers 5200 av. J.-C., 8800 av. J.-C.,
12 400 av. J.-C., 16 000 av. J.-C., 19 600 av. J.-C....Noé et le plus connu...
Voir >> https://www.poureuxlelivre.fr/
magnifique travail !
Si on se conforme au écriture divine, celui qui arrive maintenant est le dernier puisqu'il signe la fin définitive de cette expérience terrestre 3d dissociés
Comme la source l'a décrété,
c'est terminé...
À
An zéro de l’Age
galactique
16 octobre 2013
Au solstice d’hiver, le 21 décembre 2012, le Soleil et la Terre étaient parfaitement alignés au milieu du centre galactique, la Voie Lactée, ce qui a marqué la fin du cycle de la précession des équinoxes
de 26.000 ans et le début d’un cycle nouveau dans la Lumière galactique. Mais, pour beaucoup de gens qui attendaient des événements spectaculaires ou la « fin du monde » à cette date, ce fut une grande déception.
Pour eux, l’alignement galactique de 2012, qui était un événement quantique, fut un non événement et le monde continuait comme avant. Mais que signifie réellement l’alignement avec le centre galactique
? Combien de temps dure cet alignement et que se passe-t-il après 2012 ? Cet article voudrait apporter des réponses à ces questions.
J’ai attendu plusieurs mois, depuis 2013, avant
d’écrire cet article et révéler cette vérité que peu de gens ont comprise. Il fallait d’abord laisser passer la peur de 2012 et bien s’installer dans l’énergie nouvelle de 2013 avant d’entrer
dans le cœur du sujet.
L’alignement du 21 décembre 2012 avec le centre galactique a donc suscité beaucoup de déceptions et de désillusions pour une majorité de gens qui s’attendaient à des événements
apocalyptiques ce jour-là. Une fois cette date dépassée dans le calme total, la peur collective est retombée et le monde est retourné à sa routine habituelle comme si de rien n’était. Pour la plupart des
gens qui voient le monde à partir d’une conscience linéaire, du mental, l’alignement de 2012 était un non événement.
Dans la communauté New Age, beaucoup de gens croient que l’ascension a été
reportée à une date ultérieure et certains ne cessent d’avancer des dates pour l’ascension chaque fois reportée. La désillusion est totale. D’autres croient que la date du calendrier maya n’était
pas exacte, car pour eux, les événements apocalyptiques doivent se produire à la date présumée de la fin du calendrier maya. Le problème, c’est que beaucoup de gens ont une mauvaise compréhension de l’ascension,
et certains croient qu’ils seront transportés comme cela, par magie, ou dans des vaisseaux dans un monde 5D, où règne la paix et l’harmonie absolues, sans avoir à affronter leur côté obscur et à subir
les épreuves de purification. Dans le milieu New Age, l’ascension est pour beaucoup une espèce d’échappatoire à l’effondrement de ce monde illusoire, devenu vide de sens et à la dérive. Il ne s’agit
là que des égarements du mental et de la fuite de sa propre ombre. L’ascension est avant tout un processus d’illumination et de maîtrise de l’Esprit sur la matière. Et cela doit passer nécessairement par
l’alignement avec le trou noir galactique, où a lieu la purification et l’activation de notre ADN quantique, avant de fusionner avec les dimensions supérieures.
La
traversée du Dark Rift : alignement avec le centre galactique (1994 – 2030)
Dans cet
article, j’ai expliqué le fait que notre système solaire traverse un nuage d’énergie interstellaire à l’état de plasma qui affecte le noyau du Soleil et les planètes.
J’avais insisté sur le mot « plasma » qui est le quatrième état de la matière en même temps que conducteur d’électricité. A cela, il faut ajouter l’arrivée de la naine brune,
l’étoile sombre, dans notre système solaire. L’action conjuguée de ces deux phénomènes cosmiques est responsable des bouleversements observés sur notre planète et dans tout le système solaire.
Déjà, plusieurs rapports alarmants des scientifiques montrent que le
champ magnétique terrestre est devenu une vraie passoire et certains scientifiques n’hésitent même pas à parler de « catastrophe mondiale » à venir.
Ce que je n’avais dévoilé dans cet article, c’est que nous traversons en fait le Dark Rift, le centre galactique, que nous voyons dans le ciel comme la Voie Lactée. En d’autres mots, nous traversons le trou noir galactique ( matière/énergie noire), comme c’est toujours le cas tous les 13.000 ans. C’est le retour au
point zéro galactique, ce qui entraîne des transformations radicales et des bouleversements géophysiques de notre planète. Voilà la réalité, le grand secret, connu de tous les anciens, que les élites ont
peur de dévoiler au public, car cela signifie la fin de ce monde linéaire 3D et le basculement dans un monde multidimensionnel/quantique. Les Maya connaissaient le Dark Rift, ils l’appelaient « Xibalba be » ou « la route
noire », ils associaient la traversée du Dark Rift au retour de Quatzacaolt.
La particularité du trou noir galactique, c’est qu’il altère la lumière et le temps. Le temps
et la distance n’existent pas au sein de l’énergie unifiée/quantique du trou noir galactique. C’est le point le plus important à comprendre pour saisir le sens quantique de l’alignement avec le centre galactique.
Dès qu’on entre dans le Dark Rift, le temps et la lumière sont altérés et on est instantanément au centre galactique. Au niveau galactique, toutes les lois de la physique (Newton, Einstein) s’effondrent complètement,
comme cela été démontré par le physicien Michio Kaku dans cette vidéo.
Quand les scientifiques observent le Dark Rift ou la Voie Lactée, ils observent une lumière complètement
altérée. Le problème, c’est qu’ils appliquent à la Voie Lactée les lois de notre physique linéaire, basée sur les concepts de temps et de distance, ce qui fausse complètement leur interprétation.
C’est le même problème avec l’alignement galactique de 2012. Les gens ont focalisé avec une vision linéaire 3D sur le solstice d’hiver du 21 décembre, quand le soleil se levait au milieu (mid point) du Dark
Rift, en oubliant que nous traversions déjà le trou noir galactique dès que la Terre est entrée dans le Dark Rift.
La question intéressante à ce propos est de savoir à
quel moment nous avons pénétré dans le Dark Rift et combien d’années va durer cette traversée. Selon les calculs de l’astronome Jean Meeus, le « mid point » du centre galactique était atteint
en 1998. John Major Jenkins, le chercheur indépendant qui a popularisé le calendrier Maya, s’est appuyé
sur ces travaux de Jean Meeus pour déterminer la « zone » d’alignement galactique, ce qu’il appelle « ère – 2012 ». Sachant que la traversée du Dark Rift dure 36 ans, il en a conclu que la zone
d’alignement galactique est : 1998 +/- 18 ans : 1980 – 2016. Cependant, il y a une erreur dans les calculs de Jean Meeus, puisque le « Mid point » a été atteint au solstice d’hiver le 21 décembre 2012.
Cela veut dire que la « zone » d’alignement galactique est 2012 +/- 18 ans : 1994 – 2030. John Major Jenkins s’est laissé induire en erreur par ces calculs, sans doute parce qu’il
y trouvait une base mathématique pour appuyer sa thèse. Le fait est que si nous avions pénétré dans le Dark Rift, en 1980, nous serions déjà presque à sa sortie (2015) et tous les réajustements
géophysiques de la planète devraient être déjà accomplis (inversion des pôles). Cela est d’autant plus vrai que l’alignement avec le centre galactique coïncide toujours avec le mouvement de la Kundalini
de la Terre. Cela montre que John Major Jenkins n’a pas compris la nature quantique du trou noir galactique.
Le 21 décembre 2012, le point du milieu du Dark Rift est un marqueur temporel, le point de départ et d’arrivée
de la précession des équinoxes, lié à l’oscillation de l’axe de la Terre. C’est cela qu’il faut retenir de cette date sur le plan linéaire. Mais sur le plan quantique, le « mid point »
du Dark Rift, c’est la fin définitive de l’énergie obscure sur la Terre et le passage dans un monde nouveau de lumière et multidimensionnel. Donc, en 2013, nous sommes en l’an zéro du nouveau cycle de Lumière
galactique. C’est le début de l’âge galactique de l’Humanité.
Le mouvement de la Kundalini de la Terre
Il
y a un événement sacré et secret qui coïncide toujours avec l’entrée dans le Dark Rift : le mouvement de la Kundalini
de la planète. Ce mouvement se produit tous les 13.000 ans selon le cycle de la précession des équinoxes. Plus haut, je disais que les Maya connaissaient le Dark Rift et l’associaient au retour de
Quetzalcóatl. En fait, Quetzalcóatl signifie le mouvement de la Kundalini de la Terre et le retour de l’énergie Divine/Créatrice sur la Terre. Le lien entre le Dark Rift et Quetzalcóatl n’est pas dû au hasard.
En effet, le Serpent de lumière de la Terre (Kundalini) est une représentation de l’énergie Divine/Créatrice au centre galactique et il n’est réveillé qu’en face du trou noir galactique. Cela est
vrai aussi pour la Kundalini dans le corps humain.
On le sait déjà, la Kundalini de la Terre quitte l’hémisphère nord (Inde et Tibet) vers l’hémisphère sud (Chili
et Péru). Le mouvement de la Kundalini de la Terre inverse les lois de polarité entre les deux hémisphères Nord/Sud et crée un équilibre entre les forces masculines et féminines sur la planète, ce qui
change complètement le cours de l’histoire et entraîne des bouleversements géophysiques. L’énergie de la Kundalini terrestre est une énergie galactique qui est connectée à notre ADN et éveille
la conscience des humains à leur divinité et à la compassion. La Kundalini terrestre est une force d’ascension qui connecte les cœurs des humains et les entraîne vers une conscience supérieure.
Mais ce qui
est encore plus remarquable, c’est que le développement complet de la Kundalini de la Terre correspond exactement à la durée de la traversée du Dark Rift. Selon la philosophie hindoue, le serpent Kundalini est enroulé
trois fois et demi sur le lingam dans le coccyx. Il s’éveille quand les forces masculines et féminines sont équilibrées
dans le cœur et s’élève le long de la colonne vertébrale, en traversant tous les chakras. Il ne s’agit pas d’une poussée de lumière, comme certains le croient, mais un mouvement lent qui se fait par
étapes, selon les « mérites du cœur », comme le disait le maître gnostique, Samaël
Aun Weor.
Les initiés ont toujours su que « Trois fois et demi » est la formule pour le développement complet de la Kundalini. Une « fois » représente
une décade et trois fois, cela fait 30 ans. Un demi, 5 ans. En tout, trois fois et demi représentent 35 ans. Les 3 tours (ou enroulements) représentent les parties de montée des énergies relativement facile, tandis que la
dernière moitié de 5 ans représente la partie la plus éprouvante, qui conduit à l’illumination divine et l’équilibre. Cette formule s’applique aussi à la Terre. 35 ans, c’est le temps
qu’il faut pour que la Kundalini de la Terre se développe complètement. Le mouvement de la Kundalini terrestre a commencé en 1994. En 2012, le mouvement était centré et il reste encore 17 ans pour arriver au terme du
processus. Il y a donc une synchronisation parfaite du mouvement de la Kundalini avec la durée de la traversée du Centre galactique. Cela veut dire qu’en 2013, nous entrons dans la transition finale de l’ascension à travers
le Dark Rift, jusqu’en 2030. A ce moment-là, tous les réajustements géophysiques de la planète à sa nouvelle fréquence devront être terminés. Voilà pour le timing de l’ascension.
La fin des ténèbres et le triomphe de la Lumière
Une autre conséquence de l’entrée dans le Dark
Rift, c’est la purification et l’élimination complète de l’ombre dans l’énergie de la planète et dans notre ADN. En effet, les radiations cosmiques du Trou noir galactique pénètrent nôtre
matière et la transmutent radicalement, en éliminant toutes les couches d’obscurité que nous avons accumulée durant des millénaires. Soumises aux radiations cosmiques du trou noir, les grilles planétaires (le
champ magnétique et la grille cristalline) commencent alors à se transformer radicalement, pour s’aligner avec le champ unifié/quantique de la galaxie. En fait, c’est un champ quantique du Merkaba de la Terre qui est activé
et qui prend progressivement le relais, au fur et à mesure que le champ magnétique de la dualité se désintègre dans le vide et disparaît. Si l’humanité n’élève pas sa conscience pour
intégrer l’énergie galactique et passer dans une dimension supérieure, elle se détruit dans un cataclysme planétaire. C’est ce qui est arrivé plusieurs fois dans le passé.
Comme je l’ai
dit dans cet article, le champ magnétique terrestre de la dualité
a été débranché complètement lors du passage d’Elenin à l’automne 2011. Parallèlement, la grille cristalline de la Terre, la mémoire qui enregistre la vibration et l’énergie de
l’Humanité, et permet à notre conscience de créer la réalité, a été complètement purifiée de toute obscurité et énergies karmiques du passé. La grille cristalline de
la Terre ne réagit plus qu’à la Lumière et à la compassion. L’énergie obscure disparaît définitivement après le passage du 21 décembre 2012. La nouvelle énergie galactique de
la Terre n’est accessible qu’à ceux et celles qui sont installés dans le Cœur, car aucune vibration inférieure ne peut pénétrer dans les radiations du Dark Rift. Les énergies négatives et obscures
ne peuvent plus affecter la Terre ni donc les humains qui s’installeront dans la fréquence du cœur.
Alors que la Terre entre dans une phase de relâchement du champ magnétique 3D à
partir de 2013 pour intégrer pleinement son champ quantique (Merkaba), l’humanité est poussée dans le vide, le gouffre insondable, où elle va se retrouver face à face avec une force cosmique inaccessible au mental humain.
C’est le moment de se dépouiller de tous les schémas de pensée et conceptions étroites de la vie pour intégrer dans notre conscience des forces cosmiques. C’est donc une phase de purification et de grandes épreuves
qui s’ouvre pour l’humanité durant la seconde moitié du Dark Rift.
La nouvelle mission de l’humanité : découvrir la divinité intérieure
Nous venons donc de sortir de l’obscurité millénaire, la matrice, qui enserrait notre psychisme dans une toile d’araignée d’où il était quasiment impossible de s’extraire
et de s’échapper. Dans l’ancienne énergie, la mission des travailleurs et des adeptes de Lumière était de combattre l’obscurité, en maintenant la Lumière pour l’équilibre de la planète.
Cette mission est désormais terminée. Cette chape de plomb obscure a été désintégrée et transmutée dans le trou noir galactique et l’obscurité est effacée dans l’énergie
de la planète. Les forces obscures vont s’évanouir devant la lumière telle des fantômes. Chacun est désormais face à son ombre qu’il doit affronter et transmuter en laissant la lumière galactique
entrer en lui. Malheureusement, beaucoup de gens qui n’ont pas encore compris cela et restent dans l’ancienne énergie obscure disparue, ils vont se fabriquer eux-mêmes un ennemi extérieur fantôme qu’ils vont continuer
à combattre.
Dans l’âge galactique, où nous entrons, c’est une nouvelle mission qui est assignée à l’humanité. La nouvelle responsabilité porte sur la découverte du Dieu intérieur,
la connaissance quantique et l’exploration de l’énergie bienveillante de l’Univers. Il s’agit aussi de construire et de semer les graines du monde nouveau. Les nouvelles technologies qui vont émerger seront basées
sur l’énergie quantique.
« C’est l’onde, idiot »
Pour conclure mon texte, j’ai choisi délibérément
ce titre provocateur, en référence au slogan de campagne de Bill Clinton en 1992 : « C’est l’économie, idiot ». (It’s the economy, stupid). Le but, c’est de faire passer un message fort, d’espoir
et de responsabilité. Pour survivre dans le monde multidimensionnel où nous avons basculé, il est primordial de comprendre les règles de fonctionnement du monde quantique.
L’univers est un hologramme. David Bohm disait que le cerveau est hologramme qui analyse l’hologramme
de l’univers. Nous ne vivons pas dans une réalité physique, extérieure à nous, mais c’est la réalité physique qui habite dans notre conscience, d’où elle est projetée à l’extérieur,
à partir du cerveau. La réalité physique est une réflexion, un miroir, de ce qui est dans notre conscience. L’expérience de
la « double fente » en physique quantique a révélé ce secret qui était caché à l’humanité pour la maintenir dans l’ignorance, les conditionnements et
l’asservissement. La lumière (ou l’électron) qui est « onde », pure potentialité, « décide » de devenir « particule », c’est-à-dire matière, seulement quand elle
est observée par la conscience humaine. Le monde existe seulement, parce que nous le regardons. L’observateur fait partie du monde qu’il observe et expérimente. La question est : quel monde regardez-vous en ce moment ?
L’onde, c’est la conscience/énergie quantique, qui est partout, autour de nous et dans notre ADN quantique. Cette conscience/énergie unifiée réagit à la conscience humaine et nous permet
de créer notre réalité, en reflétant notre conscience sous forme de réalité physique. L’onde, c’est aussi l’énergie d’amour, de lumière, de compassion, et d’abondance de
l’univers, qui est partout.
C’est l’heure de nous aligner aux normes galactiques. L’onde, c’est la rencontre avec votre partie divine qui répond à vos besoins et transforme vos rêves illimités et
ressentis en réalité. C’est le magicien en vous. Voulez vous le tester ? C’est le moment !
©Anthère Michaël, le 15 octobre 2013.
http://consciencequantique.com/2013/10/16/2013-zero-de-lage-galactique/
Une branche d'olivier a parlé…
Il y a environ 3.500 ans, le volcan
Santorini situé sur l'île grecque de Thera entra en éruption, projeta des débris à plus de 35 kilomètres d'altitude, et engendra un nuage de cendres et de fumée si imposant qu'il atteignit la Chine, le Groenland,
et l'ouest des Etats-Unis. Cette éruption, connue pour être l'une des plus puissantes des dix derniers millénaires, souleva également des vagues de 12 mètres de hauteur, qui vinrent se fracasser sur l'île de Crête,
distante de 112 kilomètres. Ce tsunami aurait pu contribuer à la chute
de la civilisation minoenne.
La zone du volcan SantoriniLe
lieu où l'on a découvert la branche d'olivier est situé au-dessus
de la tête du figurant, sur la droite. (Courtesy of Science) Bien que l'effet de cette éruption ait été considérable, les archéologues éprouvent le plus grand mal à déterminer sa date exacte.
Des datations au carbone estiment que la catastrophe s'est produite en 1.600 avant Jésus
Christ. Des similitudes entre des poteries du Nouveau Royaume d'Egypte et de la cité d'Akrotiri, réduite en cendres par l'éruption, fixe l'événement à 1.500 ans avant Jésus Christ.Deux nouvelles études
détaillées dans l'édition du 28 avril de la revue Science confirment les datations au carbone antérieures. La première, menée par le géologue Walter Friedrich de l'université
d'Aarhus au Danemark, a consisté à dater une branche d'olivier brûlée lors de l'éruption. La seconde, dirigée par l'archéologue Sturt Manning de l'université Cornell, à dater d'autres échantillons
de bois et de graines retrouvés dans la cité d'Akrotiti. Les deux études
estiment que la catastrophe s'est produite entre 1660 et 1600 avant Jésus Christ.
La branche
d'olivier qui a fait reculer la date de l'éruption de cent ans... (Courtesy of Science) … Et revisite en partie l'Age de BronzeCette nouvelle estimation pourrait bien mener les scientifiques à réécrire en partie l'histoire
du bassin méditerranéen pendant l'Age de Bronze. En effet, on pensait jusque
là que les civilisations basées en Crête, à Chypre et en Grèce, faisaient des échanges commerciaux avec le Nouveau Royaume d'Egypte dans la période où l'éruption avait eu lieu. Hors, entre 1660
et 1600 avant J.C., ce dernier n'avait pas encore été créé !Aussi, au lieu de l'Egypte, les populations de Grèce, de Chypre et de Crête auraient pu faire du commerce avec la civilisation Canaanite, qui occupait alors
une région incluant aujourd'hui Israël, la Syrie, le Liban, et la Palestine. Ceci expliquerait certaines anomalies qui intriguaient les historiens, comme les similitudes entre les deux déesses de la guerre Anat, au Levant, et Athéna, dans la mythologie grecque.Comme quoi, même une simple
branche d'olivier peut revisiter l'histoire, et faire reculer la date d'une éruption
volcanique de cent ans !
http://www.futura-sciences.com/magazines/sciences/infos/actu/d/recherche-branche-olivier-revisite-age-bronze-8793/
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Le résultat de l’impact du Dryas récent (1) et les cycles de catastrophes cosmiques – les climatologues se réveillent
RH
Signs of the Times15 juin 2007
Traduction française: Henri R.
L’aigle glapit,Et avec son bec paâe
déchire les cadavres…Les montagnes se brisent en se heurtant,
Les héros prennent le chemin des Enfers,
Et
les cieux sont partagés en deux…
Tous les hommes abandonnent leurs maisons
Quand le gardien de Midgard
En
colère massacre le serpent.
Le soleil s’assombrit,
La terre s’enfonce dans la mer,
Les étoiles
brillantes
Disparaissent des cieux ;
Le feu fait rage,
La chaleur s’embrase,
Et de hautes flammes jouent
‘contre les cieux eux-mêmes’
R.B. Anderson, « Mythologie Nordique », 1875
La NASA semble passer
beaucoup de temps à rechercher et à réfléchir à des moyens pour dévier des astéroïdes errants qui pourraient éventuellement percuter la Terre. Ils continuent cependant
à rassurer le public que la probabilité d’être réellement heurté par un astéroïde est extrêmement faible. Alors pourquoi toute cette attention ?
Pour David Morrison, un scientifique senior de la NASA, la Terre orbite autour du Soleil dans une sorte de stand de tir cosmique.
Plus d’un million d’astéroïdes tournent autour du Soleil, et c’est le travail de Morrison de comprendre lequel de ces morceaux de roche, poussière et métal pourrait venir s’écraser sur la Terre.
Actuellement, la NASA suit 127 astéroïdes qui ont une très faible chance de percuter la planète. Ce nombre est sur le point d’augmenter considérablement. Des télescopes plus puissants et un nouveau mandat
du Congrès permettront aux scientifiques de détecter des milliers d’astéroïdes plus petits qui ont plus de chance de percuter la Terre. Et les scientifiques élaborent des moyens pour les arrêter, depuis des « tracteurs
gravitationnels » jusqu’aux armes à rayon solaire. « La question n'est pas de savoir s'ils vont percuter la Terre,» dit Russell Schweickart, un ancien astronaute d’Apollo qui fait partie d’un groupe qui
étudie les astéroïdes. « La question est de savoir à quelle fréquence nous aurons à intervenir à leur propos. » En fait,
Schweickart pense que les leaders mondiaux auront à faire quelque chose à ce sujet très bientôt, d’ici les 15 prochaines années.
Au début du mois
de mars, des scientifiques russes, européens, japonais et américains ont tenu à Washington une Conférencede DéfensePlanétaire pour discuter des menaces et établir une stratégie pour les traiter.
La priorité immédiate est l’identification des astéroïdes proches de la Terre, dit Dave Jonta, un porte-parole de la conférence. Un grand astéroïde provoquerait ce que les scientifiques appellent un « hiver
d’impact » : un énorme volume de poussière serait propulsé dans l’atmosphère, bloquant complètement ou partiellement la lumière solaire, causant la perte des récoltes, la maladie
et une possible famine mondiale. Et des astéroïdes plus petits pourraient tuer des centaines de milliers, sinon des millions de personnes, dit Schweickart.
Un groupe d’experts, de scientifiques,
de diplomates et de juristes internationaux se rencontreront en mai pour confronter les problèmes du type quel pays financera les missions de destruction des astéroïdes. Un problème : À cause de la difficulté d’extrapoler
une orbite d’astéroïde, les scientifiques ne peuvent que prédire la probabilité d’impact d’un astéroïde spécifique sur la Terre. Ainsi les leaders internationaux pourraient avoir à prendre
une décision avant de savoir avec certitude quelle trajectoire peut prendre un astéroïde. « Nous pouvons avoir à dépenser 300 millions de dollars pour envoyer un vol en mission qui, en fin de compte, n’était
pas nécessaire,» dit Schweickart, « mais c’est bien mieux que de vivre avec un risque de 10% d’un impact sur la ville de New York. »
Il semble que, soit leur programme sur les astéroïdes
n’est qu’un autre truc inutile pour enrichir des contractants du complexe militaro-industriel, soit ils mentent. Probablement une combinaison des deux. Si nous ne pouvons empêcher
l’impact d’un astéroïde ou d’une comète, pensez-vous qu’ils vont semer la panique dans le public en annonçant à l’avance une collision imminente ?
Avez-vous un bunker personnel ?
Je suis un analyste de modèles de climats pour un institut de recherche majeur. Le 1er mars de cette année, j’ai reçu un courriel curieux d’un climatologue, le professeur James P Kennett, de l’université de Californie à Santa Barbara, envoyé à une liste de paléo-climatologues
à laquelle je suis inscrit. C’était une invitation à soumettre des résumés pour le meeting de l’Union géophysique américaine
à Acapulco au Mexique en mai de cette année 2007. Il disait :
« Le résultat de l’impact du Dryas récent » :
La déglaciation qui a suivi la dernière période glaciaire a été brutalement et spectaculairement interrompue il y a ~12 900 ans par un refroidissement étendu qui marque le début du Dryas récent. Beaucoup
de signes montrent que le Dryas récent a été marqué par des changements soudains dans la configuration de la calotte glaciaire, l’assèchement soudain des lacs préglaciaires, le détournement des flots d’inondation
de l’Amérique du Nord vers l’Atlantique Nord, et la réorganisation de la circulation thermohaline (2). Néanmoins, des questions
significatives ont surgi récemment à propos du timing et de la direction des flots majeurs d’eau douce vers les océans, soulevant en retour des questions sur le mécanisme de déclenchement du Dryas récent.
Le début du Dryas récent paraît avoir coïncidé également avec des changements massifs, étendus et ponctuels dans la faune et le développement culturel paléolithique
centré en Amérique du Nord et en Amérique du Sud. Ceci est représenté par la plus récente de toutes les extinctions massives, la disparition de la mégafaune des Amériques, comprenant les mammouths, les
chevaux et les paresseux et la fin de la culture Clovis (3) et autres cultures humaines paléolithiques contemporaines.
La cause de ces changements est très controversée et beaucoup débattue, mais elle est probablement liée aux sévères changements environnementaux qui se sont produits au commencement du Dryas
récent. Une autre hypothèse attribue les extinctions à une chasse excessive par les peuples de Clovis et autres chasseurs paléolithiques ou à des pandémies associées aux migrations humaines. Cependant, toutes
ces hypothèses ne réussissent pas pleinement à expliquer de manière satisfaisante la plupart des faits disponibles. Une nouvelle hypothèse avance que le
refroidissement du Dryas récent a été déclenché par des impacts extraterrestres qui ont provoqué la déstabilisation de la calotte glaciaire, le détournement des eaux d’inondation, et les changements
dans les courants océaniques.
Ce travail offre des preuves nouvellement découvertes d’un impact ou d’explosions aériennes extraterrestres il y a 12 900 ans, comprenant
des sédiments de la période de Clovis dans toute l’Amérique du Nord avec des niveaux élevés en iridium, des sphérules magnétiques et en carbone, du carbone ressemblant à du verre, des fullerènes (4), et des proportions de gaz nobles extraterrestres souvent associés aux couches carbonifères (« tapis noirs ») avec un biote (5) inhabituel.
Au cours de cette session, nous sollicitons des résumés qui exploreront les forces
et les faiblesses des hypothèses existantes et nouvelles qui essayent d’expliquer la cause du Dryas récent, les changements climatiques globaux, les extinctions et les changements culturels humains.
Nous sommes intéressés
dans l’exploration de nouveaux points de vue sur la chronologie, la succession stratigraphique, et les interconnexions potentielles entre une vaste étendue de processus qui semblent avoir été associés au Dryas récent.
Ceux-ci comprennent un changement climatique brutal, une déglaciation de la calotte glaciaire, un détournement des eaux d’inondation, la géologie de surface, la libération d’icebergs, la réorganisation des océans,
y compris la circulation thermohaline et le changement du niveau de la mer.
Bien que je n’ai pas eu la possibilité d’y assister, les
rapports de l’événement ont fait l’actualité. L’ère
glaciaire s’est terminée d’une manière spectaculaire : une comète a-t-elle explosé au-dessus de l’Est du Canada ?
Des marques découvertes sur
plus de deux douzaines de sites dans toute l’Amérique du Nord suggèrent qu’un objet extraterrestre a explosé dans l’atmosphère terrestre au-dessus du Canada il y a environ 12 900 ans, juste quand le climat se réchauffait
à la fin de la dernière ère glaciaire. L’explosion a allumé d’immenses incendies, dévasté des écosystèmes et des cultures préhistoriques de l’Amérique du Nord et déclenché
une saison froide longue d’un millénaire, disent les scientifiques.
La première chose que vous notez est que ce n’était pas un astéroïde, mais une comète. De manière similaire, l’événement
de Tunguska en 1908 était une comète, pas un astéroïde. Les mythologies nordiques parlent d’un « Loup-Fenris (6) »
qui avance la gueule grande ouverte, la « mâchoire supérieure » touchant les cieux et la « mâchoire inférieure » la terre.
« Les
étoiles seront projetées hors des cieux »…
« Puis il arrivera que la terre sera secouée si violemment que les arbres seront déracinés, les montagnes se renverseront, et tous les
liens et les chaînes seront brisés et rompus. »
Finalement pourquoi la NASA recherche-t-elle des astéroïdes ?
Peut-être parce qu’ils sont les seules choses qu’ils peuvent observer dans le système solaire interne avec des trajectoires entrecroisant celle de la Terre. Et en même temps, ils sont les
seules choses pour lesquelles ils peuvent établir des plans pour les faire dévier des années en avance. Ils ne peuvent s’occuper des comètes, parce qu’elles viennent de l’extérieur du système solaire
sans avertissement. En fait, il n’y a pas de programme de la NASA, du moins officiel, qui essaie de détecter les comètes. Presque toutes les comètes découvertes dans l’histoire récente furent trouvées par
des amateurs avec des télescopes dans le jardin. Une exception est la comète Shoemaker-Levy, désignée anciennement D/1993 F2, découverte par trois astronomes professionnels, Eugene et Carolyn Shoemaker et David Levy, la neuvième
comète à courte période qu’ils
avaient détectée. Elle fut repérée la première fois sur une photographie prise la nuit du 24 mars 1993 avec le télescope Schmidt de 400 mm du Mont
Palomar en Californie. La comète percuta Jupiter en juillet 1994.
Ce fut le signal du réveil pour la NASA.
Mais y a-t-il quelque chose d’autre ?
Dans l’article de Laura Knight-Jadczyk « Est-ce que Niburu/planète
X a été observée ? » (Ne vous inquiétez pas, elle ne l’a pas été.) elle écrit :
Immanuel Velikovsky
a montré de manière plutôt convaincante qu’il y avait des preuves massives de nature à la fois littéraire et scientifique montrant que des changements catastrophiques étaient intervenus au cours du second millénaire
av. J.-C. par suite de pluies de comètes et le passage rapproché de Vénus. Il a déterminé une date de 1450 av. J.-C., mais des faits scientifiques plus récents indiquent une date de 1628 av. J.-C. Il y a aussi des
preuves d’un bouleversement vers 5200 av. J.-C., 8800 av. J.-C., 12 400 av. J.-C., 16 000 av. J.-C., 19 600 av. J.-C., et par extrapolation logique tous les 3600 ans dans le passé durant une période de temps indéfinie et inconnue.
En outre, si le dernier « retour » s’est produit en 1628 av. J.-C., nous ne sommes pas à l’échéance, nous sommes en retard pour
le prochain.
Les théories sur Nibiru ne prennent pas en compte de nombreux rapports littéraires des anciens sur ces grands bombardements de comètes. Velikovsky a essayé
d’en tenir compte en suggérant qu’une Vénus cométaire traînait une queue constituée de roches. Il semble que Velikovsky et ses partisans, de même que Sitchin et les siens, quoique reconnaissant des catastrophes
mondiales sérieuses, n’ont pas réussi à reconnaître la véritable nature de tels événements. Velikovsky a proposé que le fait que Vénus soit en dehors de son orbite était un événement
plus ou moins unique plutôt que le symptôme d’un cycle à long terme. Sitchin s’en est rapproché avec sa compréhension du cycle, mais il n’a pas réussi à prendre en compte toutes les variables
dans sa solution. En outre, une fois ancré dans son idée comme étant la seule et unique solution, ses efforts pour ajuster les éléments mythiques à l’hypothèse devinrent aussi absurdes que les efforts
de la science officielle pour les éviter !
La cause principale confirmée de la chute des cultures de l’Age de Bronze tardif, les civilisations du Moyen Orient, et d’autres désastres enregistrés
que l’on trouve « vers cette époque,» semble être la période allant de 1644 à 1628 av. J.-C. Les carottes glaciaires montrent les perturbations qui commencent en 1644 (enregistrées en 1645) et les anneaux
des arbres montrent un grand pic en 1628, bien que toute la période fût perturbée. « La concentration en micro particules et la conductivité électrique d’une carotte de glace de 700 m de la station antarctique
Mizuho » de Yoshiyuki Fujii et Okitsugu Watanabe publié dans les Annales de la glaciologie (1-, 1988) p. 38-42, montre que des « changements environnementaux à grande échelle sont peut-être survenus dans
l’Hémisphère Sud au milieu de l’Holocène. (Au cours des derniers 10 000 ans). Leurs profils de profondeur en concentration de micro-particules, conductivité électrique et oxygène 18 vers 1600 av. J.-C.
indiquent un pic dans les lectures pour tous ces éléments.
Les faits montrent que cette perturbation a couvert cette période désignée, mais avec un « pic énorme » vers 1600 av.
J.-C. Des faits similaires selon le même article existent en 5200 av. J.-C. Cette période montre une période similaire mais moins sévère. Le profil en oxygène 18 est proche de la normale, mais il y a une bande volcanique
visible. La datation de ce segment est moins proche parce qu’il est clair que personne ne regarde vraiment ce cycle, mais il semble correspondre à la bande de cendres du noyau de la station Byrd.
Je reviendrai sur ces dates, mais
ce dont j’aimerais discuter est l’allégation qu’il y a eu un impact de comète ou un événement de changement climatique en 1628 av. J.-C. Selon nos connaissances, ce qui est arrivé cette année-là
est l’éruption du Théra (ou Santorin) dans le sud de la mer Egée. Les cendres et la poussière pourraient alors être détectées comme des micro-particules dans les carottes de glace du Dôme C de l’Antarctique.
La présence de micro-particules, comme le fait remarquer Mme Knight-Jadczyk, « les anneaux des arbres ne montrent presque pas d’enregistrement dans les carottes de l’Antarctique en termes d’activité volcanique. Mais
les carottes du Nord montrent une activité qui commence en 1644 av. J.-C. » En fait, il est difficile de croire que l’éruption du Théra ait eu un grand impact sur le climat mondial :
L’éruption
minoenne de Santorin fut un événement naturel de grande magnitude. Cependant en termes d’échelle, elle se classe plus petite en volume et intensité éruptives que l’éruption historique du Tambora en 1815
ap. J.-C., et plus petite en émission de soufre et, par conséquent, en effets climatiques que les éruptions du Tambora et du Pinatubo en 1991. Les statistiques des éruptions au cours des derniers 2000 ans indiquent que les éruptions
de la taille de la minoenne se produisent typiquement à une cadence de plusieurs par millier d’années. Des éruptions qui injectent du soufre dans la stratosphère comme l’éruption minoenne se produisent bien plus
fréquemment – à une fréquence d’une ou deux par siècle. Les inférences d’impacts sociologiques, religieux et politiques massifs de tels éruptions appartiennent plus à la mythologie qu’à
la réalité. [L’impact global de l’éruption minoenne de Santorin en Grèce, D.M. Pyle, Géologie environnementale,
volume 30, n° 1-2 / mars 1997]
Si l’on regarde la première série chronologique EOF (fonction orthogonale empirique) de la carotte GISP2 (Groenland) qui est un marqueur de l’intensité de circulation, on voit clairement d’autres événements qui ont déclenché
la réduction de la circulation, mais pas l’éruption du Théra (voir fig.22 de Weiss et al. reproduite ci-dessous avec un cadre jaune marquant la période de temps).
Cela ne veut pas dire que l’éruption qui tua des milliers de personnes n’était pas un événement terrifiant, mais il semble de plus en plus qu’elle n’eut qu’un
impact régional, essentiellement sur les systèmes politiques, mais guère d’impact majeur sur le climat mondial, réduisant peut-être la température globale d’un degré l’année suivante
comme cela s’est produit avec l’éruption du Pinatubo, avant que la poussière ne retombe – dont une partie en Antarctique.
Revenons maintenant à ces autres dates. Plus loin dans son article, Mme Knight-Jadczyk
se réfère à un autre document sur les carottes de glace de l’Antarctique.
En regardant plus avant : Michel R. Legrand et Robert J. Delmas du Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l’Environnement
publièrent un article « Impuretés solubles dans quatre carottes de glace de l’Antarctique au cours des derniers 30 000 ans » dans les Annales de la Glaciologie (10, 1988, p. 116-120). Ils ont fait un graphique des
variations de l’oxygène 18 et des composants ioniques Na=NH (sub4), Ca (sup 2), H, Cl, NO (sub 3) et SO (sub 4). L’échelle du temps pour chaque niveau de composant ionique ainsi que les niveaux de O (sup 18) s’étendent
jusqu’à 30 000 ans. Le graphique montre des corrélations aux pics de 5 200, 8 800, 12 400, env. 16 000, env. 19 600 av. J.-C. Toutes ces périodes furent des périodes de grande tension géologique.
Cependant, si vous regardez la figure (voir fig.1 du document ci-dessous) qui fut utilisée
pour déterminer les dates de cet événement récurrent, il n’est pas très évident que toutes ces choses soient arrivées aux dates citées. L’échelle du temps (Années avant l’époque
actuelle) sont données en haut de la figure. On peut voir un événement à 12 400 – 13 000 BP (7) sur la courbe d180, mais pas du tout dans les microparticules. Il
n’y a pas d’événement à 5200 BP sur la courbe d180, mais ce qui ressemble à un événement à 6000 BP dans deux des courbes de microparticules. Il est difficile de situer précisément l’événement
de 19 600 BP bien qu’il y ait quelque chose qui se passe vers l’événement de 20 000 BP. De toutes façons, le point est que les auteurs ne mentionnent pas d’événements spécifiques dans le
document et il est difficile pour le lecteur d’interpréter le timing des événements à partir de la figure.
Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de phénomène cyclique, mais le meilleur moyen de comprendre cela n’est pas de regarder subjectivement une courbe remontant à 30 000 ans et de cueillir
et choisir des dates. Non, il y a un meilleur moyen. Et il y a eu de nombreux documents et collectes de données depuis la parution de l’article de Legrand. Nous avons maintenant des données remontant à des centaines de milliers d’années,
à la fois dans des carottes de l’Antarctique et du Groenland. En fait, si vous essayez de comprendre les cycles et leurs impacts sur les cultures de l’Hémisphère Nord, il est mieux de rester avec les carottes du Groenland.
Harvey Weiss, un archéologue de l’université de Yale, a écrit un article en 2002 appelé Désastre environnemental et archéologie de la réponse humaine.
Les plus anciens changements de climat soudains de l’Holocène se sont produits en 12 800,
8200 et 4200 BP. Le changement brutal de 4200 BP est particulièrement bien documenté en Asie occidentale, Asie centrale, Afrique et des parties du Nouveau Monde. Les dates radiométriques limnologiques (8) et spéléothermes (9) situent le commencement de cet événement vers 3800 années radiocarbone avant 1950 (3800 ans BP) ou env. 2200 av. J.-C.
Les enregistrements paléoclimatiques à haute résolution comprenant la carotte GISP2 du Groenland, les sédiments du lac Van, et la dendrochronologie du Sud-Ouest des Etats-Unis, fournissent aussi une datation calendaire absolue
pour cet événement en plus de la quantification de son amplitude relative aux états antérieurs et postérieurs du climat. Des adaptations sociales à cet événement se trouvent dans les enregistrements archéologiques
contemporains du sud-ouest de l’Europe, l’Afrique du Nord et l’Asie occidentale : repèrage de l’habitat, abandons de la population régionale, migrations et écroulement socio-politique.
La première chose à noter est qu’il ne mentionne même pas l’événement de l’éruption du Théra de 1628 av. J.-C. Autrement dit, son impact fut régional, essentiellement dans la zone méditerranéenne.
Une autre chose à noter est que la datation précise confirme le timing de ces événements. La seule date qui colle aux dates ci-dessus est l’événement de 5200 BP, autrement nous avons des ajustements par rapport
aux autres événements.
Comme vous pouvez voir, le cycle de 3600 ans est plus difficile à discerner. Mais a-t-il disparu ? Ce qui semble apparaître à sa place, excluant
l’événement de 5200 BP, est un cycle de ~4200 ans. Mais comme je l’ai mentionné, nous avons des données remontant à des centaines de milliers d’années, ainsi s’il y a un cycle de 3600
ans ou de 4200 ans, et qu’il s’est répété durant une longue période de temps, il devrait apparaître dans cet enregistrement.
Il y a une technique d’analyse de données, connue sous
le nom de Transformée de Fourier rapide (FFT), qui extrait essentiellement les coefficients spectraux et donne la puissance de toute cyclicité dans les données passées à travers ce filtre mathématique.
La fig.2 montre les résultats en utilisant la FFT sur les données GRIP et NGRIP de l’isotope 18 de l’oxygène.
Avant de passer les données dans la FFT, elle furent interpolées en valeurs annuelles. Les données NGRIP (à gauche) remontent à 112 900 ans, les données GRIP (a droite) à 41 760 ans. Et comme on peut le voir
dans la FFT GRIP, il y a un signal plutôt fort à 4600 ans, un signal plus large, mais légèrement plus fort, centré vers ~8200 ans, et un signal prononcé à 20 900 ans.
Pour ce type de données,
les erreurs sur ces signaux augmentent avec la durée de la période, parce que l’erreur est proportionnelle aux nombres de cycles contenus dans la période de temps des données. Ainsi par exemple, l’erreur pour 4600 ans
est 1/racine carrée(N) où N=41760/4600, soit 33%, ce qui est environ 1500 ans. Pour la plus grande période, l’erreur est extrêmement élevée, mais ce signal est bien connu. C’est un des cycles de Milankovitch, spécifiquement les périodes de précession de 19 000, 22 000, et 24 000 ans. Il y a un cycle de 3500
ans, mais ce n’est pas un signal aussi fort, moins de la moitié de l’intensité du signal de 4600 ans et n’est donc pas aussi important pour la nature cyclique des données, cependant il existe, bien que sa signification
soit discutable. L’erreur sur celui-ci est plus petit, encore à 29% soit +/- 1000 ans.
©Auteur
Fig. 2a) A gauche la périodicité des données NGRIP plus longues. A droite, la périodicité des données GRIP plus courtes.
©Auteur
Fig. 2b) A gauche la périodicité des données NGRIP plus longues. A droite, la périodicité des données GRIP plus courtes.. Comme la
fig. 2a, mais zoomé sur les périodicités plus élevées.
En regardant la série plus longue des données NGRIP, nous voyons à nouveau le cycle
précessionnel avec une meilleure résolution à 25 000 et 20 500 ans. Le plus grand signal de 41 000 ans est un autre cycle de Malinovitch, l’obliquité ou le basculement de l’axe de la Terre. Le signal de 61 500 ans emprunte
très probablement le cycle d’excentricité de 100 000 ans, étant donné que le jeu de données n’est que de 112 900 ans et l’erreur aussi grande.
Mais ce sont les cycles plus courts qui nous
concernent ici. A cause de la série de données plus longue dans le temps (grossièrement un facteur 3), les erreurs sont réduites par environ 1,7 (racine carrée(3)).
Comme on peut le voir dans le graphique,
il y a un cycle de ~6000 ans qui a été identifié dans les données des carottages du Groenland (« Un cycle climatique de 6000 ans au cours des derniers 50 000 ans au moins » [pdf])
« Une croissance significative de la glace est arrivée en fait vers 6000 ans BP. Des études
de certains des plus grands des 3000 petits glaciers qui sont menées en Fennoscandie aujourd’hui, indiquent que la majorité de ceux-ci ont commencé à croître peu de temps après 6000 ans BP. » On croit
que le déluge de Noé remonte à cette période de temps.
Selon la recherche archéologique
récente, l’inondation de la mer Noire remonte à cette période :
William Ryan et Walter Pitman, géologues de l’université de Columbia, ont publié en 1998 des faits montrant
qu’une inondation massive s’est produite à travers le Bosphore vers 5600 av. J.-C. La fonte des glaces avaient transformé les mers Noire et Caspienne en immenses lacs d’eau douce, tandis que le niveau des mers restait plus bas
dans le monde entier. Les lacs d’eau douce vidèrent leurs eaux dans la mer Egée. A mesure que les glaciers reculaient, les rivières se jetant dans la Mer Noire réduisirent leur volume et trouvèrent de nouveaux débouchés
dans la mer du Nord, et les niveaux baissèrent par évaporation. Puis, vers 5600 av. J.-C. quand le niveau des mers monta, Ryan et Pitman suggèrent que la Méditerranée, qui montait de niveau, se déversa finalement par
un rebord rocheux au Bosphore. L’événement inonda 155 000 km2 de terres et étendit la côte de la mer Noire vers le Nord et l’Ouest. Ryan et Pitman ont écrit :
« 43 km3 d’eau se sont déversés chaque jour, deux cents fois le flot des chutes Niagara. …Le canal du Bosphore a rugi et
déferlé à son débit maximum durant au moins trois cents jours. »
Le prochain plus grand signal inférieur à 6000 est ~4300 ans, et ensuite, un cycle de 3600 ans. Une analyse spectrale
similaire utilisant le périodogramme de Lomb-Scargle (non montré) montre que les périodicités de 4300 et 6000 ans sont significatives, mais pas le cycle de 3600 ans.
Nous voyons donc dans les données de période
plus longue un cycle de 4300 ans plus fort et un cycle de 6000 ans encore plus fort. Ces deux cycles (peut-être trois) sont inexpliqués. Nous ne savons pas ce qui les provoque.
Ou le savons-nous ?
La réponse est importante car non seulement il y a eu un événement mondial il y a 4200 ans (et à nouveau il y a 8200 ans BP), il y en a eu un
il y a 6000 ans (et à nouveau en ~12 000 BP). Pour couronner le tout, il y a eu la montée rapide du niveau de la mer il y a 19 000 ans et le réchauffement associé de la région de l’Atlantique Nord qui
a commencé il y a 21 000 à 22 000 ans BP, coïncidant avec le cycle précessionnel (voir Montée
rapide du niveau de la mer il y a 19 000 ans et ses implications globales [pdf]). Puis il y a eu un événement il y a 41 000 ans, peut-être une supernova (Firestone et al.), aligné sur le cycle de l’obliquité.
Nous avons donc quatre cycles, peut-être cinq si nous incluons l’éruption du Théra en tant que partie du cycle de 3600 ans, qui convergent en ce moment.
Je pense que ma rectification suivante est correcte :
nous devons nous inquiéter d’un cycle de 4300 ans, pas d’un cycle de 3600 ans. Indubitablement, le cycle de 4300 ans pourrait aller avec le cycle de 41 000 ans, mais cela ne collerait pas avec le renforcement solaire connu dû au cycle
de l’obliquité.
Juste un rapide coup d’œil au graphique du site wiki (reproduit ci-dessous)
Il montre que si des périodes chaudes récentes (ou interglaciaires) sont un guide, alors nous pouvons glisser bientôt dans une autre période glaciaire et que ce qui l’amène arrive à
échéance maintenant, étant donné qu’au moins quatre cycles coïncident, pour faire baisser les températures globales de quelques crans. Le battage sur le réchauffement planétaire, (qui a précédé
tous les cycles glaciaires au cours des derniers cinq millions d’années), n’est qu’une simple distraction en comparaison, parce que la plus grande surprise reste à venir.
Revenons maintenant au courriel, le résultat de l’impact du Dryas récent. Ce qui est intéressant dans cette histoire est que les climatologues n’étant pas des historiens, ni des archéologues, ni des astronomes, ni des physiciens
nucléaires (ils sont essentiellement des géologues), tendent à penser que seul le soleil influence le climat et que la terre est plutôt un système fermé qui a des changements climatiques périodiques, probablement
dus à la nature chaotique du système. Un commentaire du Dr Peter de Menocal de l’Observatoire
de la Terre Lamont-Doherty résume très bien les opinions des paléoclimatologues sur l’ère Holocène :
La communauté archéologique – et des parties de la communauté du
paléoclimat – ont vu l’Holocène comme étant stable du point de vue du climat… Et ainsi ils imaginent que tout le drame de l’émergence de la civilisation a eu lieu sur un terrain plat en termes d’environnement.
Mais une base plus grande de connaissances apportée par des archéologues, des astronomes et des physiciens nucléaires a semé la perturbation et cela dure depuis une décennie. Un coup d’œil à
certains des résumés présentés à la réunion donnera un avant-goût de la manière
dont les choses se sont passées au cours des dernières années :
Forage scientifique, cratères d’impact, paléoclimat et extinctions massives ; I D A
King, Lunar and Planetary Institute ; J Urrutia-Fucugauchi, Universidad Nacional Autonoma de Mexico
Un impact de bolide a-t-il déclenché le Dryas récent et balayé la mégafaune américaine?
Une réaction de sceptique à une hypothèse intrigante. ; Fiedel, S J
Preuves géophysiques d’un cratère d’impact dans le Nord-Ouest de l’Amérique du
Sud ; Hernandez, O
Exploration de l’écologie humaine de la collision extraterrestre du Dryas récent ; Kennett, D J, Erlandson, J M, Braje, T J , Culleton, B J
La théorie de l’impact extraterrestre du Dryas récent et les extinctions terminales des mammifères en Amérique du Nord ; Erlandson, J M ,Kennett, D J, Braje, T, Culleton, B
Déclenchement du refroidissement du Dryas récent par un impact extraterrestre ; Kennett, J P, Becker, L, West, A
Preuves pour une origine d’impact extraterrestre des Baies de Caroline
sur la côte atlantique de l’Amérique du Nord ; Howard, G A, West, A, Firestone, R B,Kennett, J P, Kimbel, D, Kobres, R
Preuves d’une explosion aérienne massive au-dessus de l’Amérique
du Nord il y a 12 900 ans; Firestone, R B, West, A,Revay, Z, Belgya, T,Smith, A, Que Hee, S S
Marqueurs extraterrestres trouvés sur des sites Clovis à travers l’Amérique du Nord;
West, A, Firestone, R B, Kennett, J P,Becker, L
Le résumé de Kennett, Déclenchement du refroidissement du Dryas récent par un impact extraterrestre, dit :
L’énigmatique
épisode de refroidissement du Dryas récent (YD (10)) (12 900 – 11 500 ans) est unique dans les déglaciations de la fin du Quaternaire ; son timing est inexplicable par un forcement
orbital parce que l’ensoleillement de l’hémisphère Nord augmentait à cette époque. Le début soudain de refroidissement du YD coïncida avec, et fut probablement en partie, une conséquence de la réduction
de la circulation thermohaline (THC) dans l’Atlantique Nord.
Le déclenchement du refroidissement du YD a souvent été attribué au détournement majeur de l’écoulement d’eau douce depuis
l’intérieur du continent via des débouchés nouvellement ouverts résultant de la fonte de la calotte glaciaire. Cependant, un déclenchement primaire alternatif pour YD est activement recherché à cause de
problèmes liés au timing des ouvertures des débouchés et l’importance relative de la magnitude et le timing de l’entrée d’eau douce dans l’océan.
Nous présentons des
faits pour soutenir l’hypothèse que le déclencheur primaire du refroidissement du YD peut avoir été à la place un impact extraterrestre (l’événement d’impact YD) au-dessus de l’Amérique
du Nord il y a 12 900 ans.
Cet événement d’impact est enregistré dans une gamme diverse de marques liées à l’impact à l’intérieur de la couche YDB largement distribuée
qui indique des effets d’impact à l’échelle du continent.
Le refroidissement du YD a résulté probablement d’une combinaison de processus atmosphériques à court terme dus à
l’impact lui-même qui a réduit la radiation solaire et de la réorganisation des courants océaniques. L’hypothèse postule aussi que l’impact a provoqué une déstabilisation partielle des couches
de glace du Nord et l’ouverture de conduits d’eau douce ; fonte de la couche de glace due en partie au dépôt de la poussière liée à l’impact (i.e. albedo) sur les couches de glace ; rafraîchissement
des eaux de surface de l’Arctique et de l’Atlantique Nord, résultant en une forte réduction dans le THC de l’Atlantique Nord. L’hypothèse d’impact pour le déclenchement du YD explique l’énigme
du timing de l’épisode du YD et est cohérente avec beaucoup de données existantes :
L’événement d’impact du YD soutient le concept que des impacts extraterrestres, même d’une telle portée géographique limitée, peuvent affecter significativement
et brutalement le changement du climat.
La comparaison de l’événement du YD avec d’autres événements d’écoulements de glace fondue plus grands de la dernière déglaciation qui avait des
effets limités sur la THC, suggère que le refroidissement du YD n’a pas été déclenché seulement par les changements des courants océaniques pilotés par la salinité. Au lieu de cela, des perturbations
de climat à court terme dues à l’impact ont probablement joué un rôle dans le déclenchement du refroidissement initial qui fut renforcé ou amplifié par les changements de la circulation des courants océaniques.
Ainsi, l’épisode du climat du YD ne serait pas arrivé en l’absence de l’événement de l’impact extraterrestre.
Le résumé sceptique de Fiedel dit :
Il y
a peut-être une preuve physique crédible d’un impact de bolide en Amérique du Nord en 12 900 cal BP. Cependant, plusieurs aspects incongrus des enregistrements paléoclimatiques, archéologiques, et de la faune de la fin
du Pléistocène doivent être abordés pour apaiser le scepticisme sur l’hypothèse des effets spectaculaires sur les humains et la mégafaune :
Bien que les questions sceptiques de Fiedel nécessitent une réponse, l’apparition d’un « tapis
noir » et de sphérules de carbone dans les sédiments répandus dans toute l’Amérique du Nord, avec les Baies de Caroline rayonnant de possibles cratères d’impact dans le lac Michigan datant de cette
période est une preuve plutôt convaincante qu’une comète ou un autre bolide a impacté au-dessus de la plaque de glace Laurentide il y a approximativement 12 900 ans. Et ceci est apparu récemment dans les nouvelles :
Deux géologues de Washington voyageaient vers le Nord au centre du Montana la semaine dernière après une découverte
accidentelle de ce qu’ils pensent être un « nouveau » cratère d’impact de météorite, situé au Sud-Est de Thornhill Butte. Le Havre Daily a intercepté
jeudi les deux étudiants de l’université de St Martin à l’intersection de la 5e rue et Short Stop dans la ville de Havre. Les découvreurs étaient sur le chemin
d’une blanchisserie locale pour sécher leurs vêtements, trempés par la pluie de la veille, avant de s’en retourner dans leur buggy fabriqué maison, « la Mule » conçu pour les terrains accidentés.
Joe d’Alelio et Gabriel Mainwaring de Shelton dans l’Etat de Washington, ont dit qu’ils utilisaient Google Earth pour localiser des terrains de chasse fossiles quand le hasard mena la vue satellite à scanner une formation
familière, mais très excitante. « Nous avons zoomé et avons vu que cela avait la forme d’un cratère d’impact de météorite, » a dit d’Alelio, « Nous avons vérifié
avec l’USGS (United States Geological Survey) et il n’état pas enregistré. Le seul qu’ils ont se trouve au Sud du fleuve Missouri à 200 miles environ. Celui-là est situé au Nord de la jonction DY (Highways
66 et 191). Vous pouvez le voir de la Highway 66.
Nous avons chargé la Mule et sommes partis lundi et avons campé quand nous avons atteint le cratère. Nous avons étudié le bord, le creux et les environs et
avons pris des échantillons. Tout à fait comme Daniel Moreau Barringer qui décrivit le célèbre Meteor Crater en Arizona en 1902, D’Alelio et Mainwaring ont dit qu’ils n’avaient pas passé une
journée complète avant de savoir que le cratère avait été causé par un impact de météorite.
« Il fait environ un mile de diamètre, de bord à bord et les couches
de calcaire sont à l’envers, » a dit D’Alelio. « Le blanc est au-dessus de l’impact. Vous pouvez mesurer le grès rouge pour voir son épaisseur et il vous donne l’âge. Nous pensons qu’il
a impacté il y a 10 000 à 50 000 ans, ce qui est relativement récent. »
Pourquoi pas 12 900 ans ?
Vous pouvez voir le cratère ici. Remarquez vers la droite (Nord-Est). Il semble qu’il y ait un autre cratère plus grand, mais il n’y a pas de moyen d’en être sûr depuis l’image satellite.
Combien d’autres cratères « relativement récents » sont encore à découvrir ?
Firestone a écrit un livre sur ce sujet, je ne vais donc pas en parler. De nouvelles preuves de changements catastrophiques apparaissent régulièrement dans les publications scientifiques. La plus récente,
une inondation catastrophique de glace fondue et la formation de la Vallée Shelf de l’Hudson. En outre, il
est non seulement probable que la Terre a été percutée par des essaims de comètes périodiques, mais ces essaims de comètes sont relativement récents sur la scène, géologiquement parlant. Dans un
article publié dans Science en mars 2000, intitulé « Histoire des impacts lunaires à
partir de la datation des sphérules de verre Ar(40)/Ar(39) »,
Les sphérules lunaires sont de petites perles de verre qui sont principalement le résultat de petits impacts sur la surface lunaire ; les âges
de ces impacts peuvent être déterminés par la technique isochrone Ar(40)/Ar(39). Ici, 155 sphérules séparées d’un gramme du sol d’Apollo 14 furent analysées en utilisant cette technique. Les données
montrent que durant les derniers 3,5 milliards d’années approximativement le taux de cratérisation a diminué d’un facteur de 2 à 3 à un minimum il y a 500 à 600 millions d’années, puis a augmenté
d’un facteur 3,7 +/- 1,2 au cours des derniers 400 millions d’années. Cette dernière période a coïncidé avec la rapide radiation évolutionnaire biotique sur Terre.
Et le même essaim
qui a percuté la Lune a sûrement frappé la Terre qui a une bien plus grande surface.
Comme Firestone l’a spéculé, le soleil se déplace maintenant à travers le bras extérieur
de la galaxie de la Voie Lactée qui est parsemée de débris, de restes de supernovas et cela signifie probablement des rencontres gravitationnelles bien plus fréquentes avec des étoiles errantes capables de perturber le nuage
d’Oort et même d’être capturées par notre propre soleil.
L’augmentation la plus spectaculaire correspond au moment de l’extinction des dinosaures il y a 65 millions d’années, et elle
continue à ce jour à un niveau plus élevé que pendant la plupart des derniers 3 milliards d’années. Il est manifeste que la Lune a été fortement attaquée par des
météores et des comètes à des époques récentes et cela signifie que la Terre a subi le même sort. Selon la recherche de Muller, nous sommes encore à un des niveaux les plus élevés
de bombardement que la Terre a vu au cours des derniers 3 milliards d’années. Il n’y a absolument rien qui indique que c’est terminé ; au lieu de cela, les faits suggèrent que cela continue. [Richard Firestone, Le%20cycle%20des%20catastrophes%20cosmiques%20p.%20248]
©Culler, et al.
Il y a un [/url]extrait souvent cité du « Critias » de Platon (env. 428 – env. 347 av. J.-C.) dans lequel il décrit une rencontre par Solon, son ancêtre,
avec un prêtre égyptien. Cela vaut la peine d’être répété ici (12) :
Critias : Prête donc l’oreille, Socrate,
à un récit qui, même s’il est tout à fait étrange, reste absolument vrai, comme l’a affirmé il y a longtemps le plus sage des sept sages, Solon. Solon avait des liens de parenté avec Dropide, mon
arrière-grand-père, pour lequel il avait en outre beaucoup d’affection, comme il l’a fait lui-même savoir en maints endroits de son œuvre poétique. Devant Critias, mon grand-père, il raconta – récit
que celui-ci à son tour dans sa vieillesse me fit de mémoire – que, dans le passé, notre cité accomplit de grands et admirables exploits, dont le souvenir s’est effacé sous l’effet du temps et en raison
des catastrophes qui ont frappé l’humanité, mais que, parmi ces exploits, l’un surpassait tous les autres. Cet exploit nous permettrait, si nous nous le remettions en mémoire, en même temps de te rendre grâce …
[…]
Dans cette ville, où l’avait conduit son voyage, disait Solon, on lui témoigna beaucoup de considération. Et, racontait-il entre autres, un jour qu’il interrogeait sur les choses du
passé les prêtres les plus versés en la matière, il lui apparut que ni lui ni aucun autre Grec ne savait pour ainsi dire presque rien sur la question.
Or, comme il souhaitait amener les prêtres à
parler de l’antiquité, il se mit à évoquer ce qui chez nous remonte à la plus haute antiquité. Il raconta le mythe de Phoronée, qu’on dit être le premier homme, et de Niobé ; puis celui
qui décrit comment Deucalion et Pyrrha survécurent au déluge. Il fit aussi la généalogie de leurs descendants, et il essaya de calculer à combien d’années remontaient les événements qu’il
évoquait, en se remettant en mémoire leur âge.
C’est alors qu’un prêtre dont l’âge était particulièrement avancé, l’interrompit : « Solon, Solon,
vous autres Grecs êtes toujours des enfants ; vieux, un Grec ne peut l’être. »
Sur ce, Solon s’enquit : « Que veux-tu dire par là ? »
Et le prêtre
de répondre : « Jeunes, vous l’êtes tous par l’âme, car vous n’avez en elle aucune vieille opinion transmise depuis l’antiquité de bouche à oreille ni aucun savoir blanchi par le temps. »
Voici pourquoi. « Bien des fois et de bien des manières, le genre humain a été détruit, et il le sera encore. Les catastrophes les plus importantes sont dues au feu et à
l’eau, mais des millions d’autres causes provoquent des catastrophes moins importantes.
Prenons par exemple cette histoire qu’on raconte chez vous. Un jour, Phaéton, le fils du Soleil, attela le char de son père,
mais comme il n’était pas capable de conduire en suivant la route de son père, il mit le feu à ce qui se trouvait à la surface de la Terre et périt lui-même foudroyé.
Ce récit n’est qu’un mythe, la vérité la voici. Les corps qui, dans le ciel, accomplissent une révolution autour de la terre sont soumis à une variation, qui se reproduit à de longs intervalles ;
ce qui se trouve à la surface de la Terre est alors détruit par un excès de feu. A ces moments-là, tous les êtres humains qui sont établis sur des montagnes et en des lieux élevés ou secs périssent
en plus grand nombre que ceux qui habitent au bord des fleuves ou près de la mer. Nous, c’est le Nil, notre sauveur en d’autres circonstances qui, en cette situation difficile aussi, nous sauve par sa crue.
Platon
continue à écrire sur l’Atlantide. Mais c’est une autre histoire… Ce qui est important ici est que le prêtre égyptien dit à Solon que le mythe reflète des cycles de
destruction astronomiques réels et qu’ils ne croient pas au mythe en tant que fait littéral, mais ce qu’il représente en réalité.
Revenons au présent ; Laura Knight-Jadczyk
a écrit au sujet de l’apparition de nouvelles lunes autour de Neptune, Saturne et Jupiter :
Pour revenir à notre conversation sur l'humanité qui a dépassé sa date « d’extinction », j'ai songé que quiconque avec des yeux et des oreilles et un peu de connaissance scientifique
peut regarder autour de lui et voir que quelque chose se passe « là-bas ».
Le problème est, bien sûr, que les masses de l'humanité sont si distraites par tous les soucis de la vie quotidienne
- dont beaucoup sont tout à fait sérieux de nos jours, particulièrement la menace de guerre nucléaire apportée à nous par George W. Bush et les conservato-sionistes - que la plupart d'entre eux n'ont pas d'indice leur
disant qu'ils ne doivent probablement pas s’inquiéter du réchauffement mondial. (Et juste parce que je dis que les gens ne doivent pas s'inquiéter du réchauffement mondial ne veut pas dire qu'ils ne doivent pas s'inquiéter !)
La preuve qui est tout autour de nous nous aide de nos jours même à se rendre compte qu’il n’y avait rien de vraiment magique ou mystérieux dans l'histoire de Noé. La Bible nous dit que Dieu a dit à
Noé que quelque chose était en cours, que quelque chose aprochait et qu'il devait construire une arche et cela permettrait à lui, sa famille et quelques créatures de survivre.
Mais évidemment, actuellement,
nous n'avons vraiment pas besoin de Dieu pour nous dire que quelque chose de mauvais arrive par ici.
En tout cas, ce qui est parfaitement clair est que l'histoire de Noé et l'histoire de l'Atlantide sont apocryphes : beaucoup de petits groupes de gens dans le monde entier ont réchappé de l'événement il y a
12 000 ans ici et là et très probablement beaucoup d'entre eux ont réchappé parce qu'ils ont compris ce qui venait. Après, dans leurs histoires et légendes, leurs descendants ont attribué leur survie à
l'intervention de leur déité particulière pour donner plus d'autorité à cette déité.
Il y a eu récemment un autre article d’Alexander Cockburn, peut-être le seul auteur libéral ici-bas parlant contre le « réchauffement climatique » ou l’idée que l’homme
en est la cause. Il écrit :
Nous ne devrions jamais être plus vigilants qu’au moment où un nouveau dogme est en train d’être installé. La claque approuvant ce qui est maintenant honoré
comme « la théorie dominante » du réchauffement planétaire s’étire des verts radicaux par Al Gore jusqu’à George W. Bush, qui s’est engagé à la fin du mois de mai. La
gauche a été balayée, fascinée par le charme du climat comme agent révolutionnaire, concevant naïvement le réchauffement global comme une crise qui forcera des changements sociaux radicaux dans le capitalisme
par le poids de l’urgence globale.
Parmi l’écroulement de la politique authentiquement radicale, ils l’ont vu comme une alarme annonçant un nouveau Grand éveil spirituel.
Hélas
pour leurs illusions.
Le capitalisme est en train d’ingérer le réchauffement planétaire avec autant de bonheur qu’un python avale un porcelet. La presse, qui prospère avec la peur, promeut cette menace
inexistante aussi vigoureusement qu’elle a faite de l’imminence de l’attaque soviétique pendant la guerre froide, de concert avec l’industrie de l’armement. Il y a de l’argent à faire, et donc comme l’a
dit Talleyrand, « Enrichissez-vous ! »
M. Cockburn embrouille certains des faits, mais le fond de son article est correct (voir les commentaires dans le lien ci-dessus). Ce qui se passe est que les contrôleurs
utilisent le réchauffement planétaire comme une distraction pour consolider leur main mise sur le public, l’économie, et maintenant même l’armée :
Un rapport secret, supprimé par les chefs de la défense américaine et obtenu par The Observer, avertit que les principales villes européennes seront englouties sous les mers dont le niveau monte tandis que l’Angleterre sera plongée dans un climat sibérien en 2020. Conflit nucléaire,
méga-sécheresse, famine et émeutes répandues éclateront à travers le monde.
Le document prédit qu’un changement de climat brutal pourrait amener la planète au bord de l’anarchie
tandis que les pays développeront une menace nucléaire pour défendre et sécuriser la nourriture, l’eau et l’énergie en diminution. La menace de la stabilité mondiale éclipse celle du terrorisme,
disent les quelques experts qui sont au courant de son contenu.
L’analyse du Pentagone conclut : ‘Perturbation et conflit seront des caractéristiques endémiques de la vie’. ‘Encore une fois,
la guerre définirait la vie humaine. Les découvertes s’avéreront humiliantes pour l’administration Bush, qui a constamment nié que les changements de climat existent. Des experts ont dit qu’ils feront aussi une
lecture dérangeante au Président qui a insisté pour que la défense nationale soit une priorité.
Le rapport fut commandité par Andrew Marshall, conseiller à la défense du Pentagone, qui
a eu une influence déterminante sur la pensée militaire américaine au cours des trois dernières décennies. Il fut l’homme derrière une récente revue considérable qui visait à transformer
l’armée américaine sous le Secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld.
Le changement du climat ‘devrait être élevé au-delà d’un débat scientifique vers un
souci de sécurité nationale américaine’, disent les auteurs, Peter Schwartz, consultant de la CIA et ex-chef de la planification dans le groupe Royal Dutch/Shell, et Doug Randall du Global Business Network basé en Californie.
Un scénario imminent de changement de climat est ‘plausible et lancerait un défi à la sécurité nationale des Etats-Unis de manières qui devraient être prises en compte immédiatement’,
concluent-ils. Dès l’année prochaine, des inondations étendues, dues à une montée du niveau des mers, créeront des cataclysmes majeurs par millions.
Bien sûr, cela ne s’est
pas avèré du tout humiliant pour Bush. En fait, il a fait son jeu, étant donné qu’il a englobé encore plus de pouvoir, comme le python qui avale le porcelet.
Comme je l’écrivais au début
de cet article, « Si nous ne pouvons empêcher un astéroïde ou une comète de nous percuter, pensez-vous qu’ils sèmeraient la panique dans le public en annonçant à l’avance une collision imminente ? »
Néanmoins, semer la panique est de rigueur pour les Pouvoirs en place, mais uniquement pour les choses qu’ils peuvent maîtriser. Le réchauffement planétaire qui va lentement se
concrétiser au cours des décennies est le problème idéal pour ceux qui cherchent le pouvoir : les avertissements toujours plus sinistres sont tout bénéfice pour les contrôleurs, étant donné
qu’ils l’utilisent pour justifier des dépenses militaires toujours plus grandes, le démantèlement des libertés individuelles, plus de contrôle pour les sociétés, et des invasions « préemptives »
dans la quête de ressources en baisse. Ce dont le public ne se rend pas compte est que ce peut très bien être en préparation pour le moment où ce premier essaim de comètes nous paniquera, nous, petits terriens qui n’avons
ni bases souterraines, ni réserves de provisions, ni protocole pour survivre à un tel événement, pour faire surface de l’autre côté toujours en contrôle.
Que ce soit un cycle de 3600, 4200,
6000, 20 000, 41 000 ans et que ce fut il y a 3600 ou 4200, 6000, 12 000, 20 000 ou 41 000 ans ne fait pas de différence pour notre date d’extinction. Comme je le notais plus haut, les cycles convergent et le moment est maintenant. En effet, Quelque chose de mauvais arrive par ici.
Si l’humanité pouvait se réveiller à ce qui lui est réservé, elle pourrait être capable de rejeter le bagage idéologique
et culturel fixé sur nous depuis la naissance et arrêter de nourrir un système géré par des psychopathes, tous trop heureux de nous asservir avec le joug de la peur et la guerre perpétuelle, et FAIRE quelque chose.
Et c’est ce qu’Ils craignent.
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(1) NdT : Le stade du Dryas récent, nommé d'après
la Dryas octopetala de la toundra et de la flore alpine, fut une brève ( approximativement 1 300 ± 70 ans) période climatique froide précédée par l'interstade de Bölling-Allerød à la
fin du Pléistocène entre approximativement 12 700 et 11 500 ans avant le présent,
et précédant le Préboréal de l'Holocène précoce. En Irlande, la période est connue en tant que stade Nahanagan, alors qu'au Royaume-Uni il est appelé le stade de Loch Lomond. - http://fr.wikipedia.org/wiki/Dryas_r%C3%A9cent
(2) NdT : La circulation thermohaline
est la circulation permanente à grande échelle de l'eau des océans engendrée par des écarts de température et de salinité des masses d'eau. - http://fr.wikipedia.org/wiki/Circulation_thermohaline
(3) NdT : La culture Clovis (ou culture Llano) est une culture préhistorique de l’Amérique du Nord qui est apparue, d’après les sites archéologiques
d’Amérique du Nord, il y a environ 11 000 ans, à la fin de la dernière ère glaciaire. - http://en.wikipedia.org/wiki/Clovis_culture
(en anglais)
(4) NdT : Les fullerènes sont des molécules
composées de carbone et pouvant prendre la forme d'une sphère, d'un ellipsoïde, d'un tube
ou d'un anneau. Ils sont similaires au graphite, qui est composé de feuilles d'anneaux hexagonaux liés, mais contiennent
des anneaux pentagonaux, et parfois heptagonaux, ce qui empêche la feuille d'être plate. Les fullerènes tubulaires sont appelés nanotubes.
Les fullerènes ont été découverts en 1985 par Harold Kroto (Université de Sussex), Robert Curl et Richard
Smalley (Université Rice à Houston). Cette découverte leur valut le prix Nobel de Chimie en 1996. - http://fr.wikipedia.org/wiki/Fuller%C3%A8ne
(5) NdT : Biote : Représente la somme de la faune et de la flore vivant dans une région donnée.
(6)
NdT : Dans la mythologie nordique, Fenrir ou Fenris est le fils de Loki et de la géanteAngrboda (http://fr.wikipedia.org/wiki/Fenrir)
(7) NdT : BP = Before Present – datation depuis l’époque actuelle, calée en 1950.
(8)
NdT : limnologie : « science des eaux superficielles continentales ou intérieures » (eau douce ou salée, stagnante ou mouvante, dans les lacs, rivières, marécages...).-
http://fr.wikipedia.org/wiki/Limnologie
(9) NdT : Spéléothermes : Dépôts de calcaire créés par la calcite et qui forment des stalactites et des stalagmites.
(10) NdT : YD = Younger Dryas
= Dryas récent
(11) NdT : IRD = Ice Rafted Detritus = Objets transportés par les icebergs
(12) NdT : Traduction française de Luc Brisson
http://quantumfuture.net/fr/dryas_recent.htmhttp://quantumfuture.net/fr/dry…
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Les Égyptiens
Les Égyptiens
Définir l’origine des Égyptiens est une tâche très ardue avec ce que nous possédons comme informations.
Officiellement, la
civilisation égyptienne débute avec la première dynastie vers -3150 av J.C. (N. Grimal), vers -2850 (R Kraus), vers -2828 (J. von Beckerat) et vers -2793 (J. Malek) . Il devient assez difficile de prendre position puisque ces dates sont
toutes établies par des spécialistes.
Mais que disent les anciens égyptiens eux-mêmes sur leur origine?
La source d’infos
principale, à mes yeux, est celle trouvée dans la tombe de Sethy 1er qui mentionne comme premiers rois d’Égypte : les Horus.
Et nous faisons, encore une fois, face au même problème créé par les premiers égyptologues qui voyaient des « dieux » partout dans les écrits anciens. Étant donné les caractéristiques
superlatives du premier Horus, fils d’Osiris, ces égyptologues traduisirent le nom Horus par « dieu ». En réalité, Horus signifie : « Puissant ».
Selon la tradition, rapportée par plusieurs « Pharaons », la civilisation égyptienne est marquée, à ses tout débuts, par une guerre entre les suivants de Seth et ceux d’Osiris, son frère.
Ce sera Horus, fils d’Osiris qui héritera de la moitié du royaume égyptien usurpé par Seth qui avait trucidé Osiris.
Curieusement, dans la tombe de Sethy,
on date la venue du premier roi Horus vers -5300 av J.C. Ceci signifie que pour Sethy 1er une partie du territoire égyptien fut attribué à Horus vers -5300 av J.C. et que la guerre entre
Seth et Osiris s’était déroulée avant cette date. Acceptons que Séthy 1er , roi d’Égypte vers -1290 av J.C. aie pu être au courant de l’histoire ancienne
de son pays un peu mieux que Manéthon qui vivait vers -260 av J.C. et que ceux-ci aient pu connaître leur histoire de l’Égypte, un peu mieux que nous aujourd’hui.
Ceci dit,
toutes les sources d’informations anciennes parlent de l’arrivée du Dieu Horus et de sa prise de possession d’une partie du Territoire Égyptien. La date donnée par Sethy 1er
est vers -5300 av J.C. C’est également l’époque de l’apparition de la « culture » Badarienne en Égypte.
Remarquons tout de suite que, pour
qu’Horus puisse s’approprier d’une partie du territoire, il fallait que, déjà, des hommes vivent sur ce territoire qui, auparavant était le domaine de Seth. Cette population venait du Sahara et d’Éthiopie
entre autre.
Seth était de la famille dont l’emblème était le Serpent; Horus était de la famille dont l’emblème était le Faucon. Ce que la tradition
raconte, dans ce cas, c’est que l’Égypte d’avant Horus appartenait à la famille « Serpent » et elle fut envahit et divisée par ceux de la famille « Faucon/Horus ».
Ces deux familles « Serpent » et « Faucon » se retrouvent dans l’histoire de la Mésopotamie; plus précisément, dans l’histoire des « dieux »
sumériens. La famille du « Serpent » est celle de Enki et celle du Faucon (ou de l’Aigle) est celle de Enlil.
Les « Lugal E » sumériens sont les divinités
sumériennes et, là aussi, « Lugal E » signifie « Puissant ». Pour en ajouter un peu plus, le nom EL, qui n’est pas d’origine hébraïque, signifie également « Puissant ».
Le mot hébreu « Élohim » est le pluriel du mot EL et signifie alors « Les Puissants ».
Résultat : Les fameux « Puissants » sont
à l’origine de la civilisation sumérienne vers -5,400 av J.C., ils envahissent ensuite le territoire égyptien, déjà sous le contrôle de Puissants du clan Serpent, vers -5300 av J.C. et ces deux événements
« civilisateurs » se produisent suite au cataclysme géologique qui a défoncé le détroit du Bosphore vers -5,460 av J.C. Il est donc plus que probable que les habitants du plateau continental de la mer noire
, fuyant leurs contrée inondée en 30 ans, se réfugient en Mésopotamie en y apportant la civilisation, et 100 ans plus tard, envahissent une partie de l’Égypte. C’est de cette invasion dont parle la tablette
sumérienne dans l’histoire de l’aigle et d’Etana. Qui précède l’installation de la royauté sur la Terre par les « Puissants ». Mais je ne dévoilerai pas tout ici, sinon, vous
n’aurez plus besoin de lire mes livres.
Mais comment peut-on justifier que ces habitants de la mer noire puissent être qualifiés de « Puissants » par les autres humains qui habitent
partout ailleurs? Pourquoi n’étaient-ils pas tous du même niveau d’évolution?
La réponse est partiellement fournie en géologie : Lors de la fonte des glacier, vers 9,500
av J.C., les niveaux océaniques montèrent de 300 pieds (120 m). L’eau de la Méditerranée était alors contenue par le « barrage » du Bosphore qui ne débloquera qu’en -5,460 ava J.C.
et la Mer Noire était une mer d’eau douce.
L’archéologie fournit l’autre partie de la réponse. Des faucilles servant à faucher les graminées et datant de -15,000
av J.C. furent découvertes par nos archéologues. Étant donné qu’officiellement, l’agriculture n’est apparue, au plus tôt, que vers -8,000 av J.C. on « déduisit » que ces faucilles
primitives servaient à couper la graminée sauvage. Donc, durant 7,000 ans, les hommes firent des faucilles pour couper des foins sauvages sans penser de faire pousser ce foin dans des prés. Il faut remarquer que 7,000 ans est une période
plus longue que celle qui nous sépare nous, de l’apparition de la première civilisation sumérienne. La civilisation est apparue il y a environ 5,200 ans. Cette « théorie » de la faucille à faucher
le foin sauvage qui dure 7,000 ans est complètement irrecevable.
Mais par quoi pouvons-nous la remplacer qui serait acceptable?
Ce n’est pas tellement compliqué. -15,000
ans est antérieur à l’époque de la fonte des glaciers. Ce qui signifie que les plateaux continentaux de tous les océans n’étaient pas encore inondés. Les hommes de cette époque n’étaient
pas différents de nous et des autres animaux et s’installaient comme nous, près de l’eau. Ceci signifie que la majorité de l’humanité d’alors était installée sur les littoraux de la Méditerranée,
de la Mer Noire, de l’Atlantique et du Pacifique, partout là où le climat était acceptable. Cela signifie également que ces hommes possédaient des faucilles et qu’il est fort probable qu’ils faisaient de
l’agriculture. La preuve se retrouve sur l’île de Chypre où les premiers habitant, vers -8,000 av J.C., fuyant l’inondation, apportèrent leurs troupeaux de bœufs sur les hauteurs de l’île et faisaient
déjà de l’agriculture pour les nourrir en enclos. C’est aussi à cette époque que les premières traces d’agriculture apparurent en Mésopotamie.
Nous nous retrouvons alors devant un scénario très différent de l’histoire officielle avec des « dieux » très humains, de leur vrai nom : « Les Puissants », qui étaient
originaires de la Mer Noire. Ces « Puissants » appartenaient à une civilisation qui maîtrisait l’agriculture depuis, à tout le moins, -15,000 av J.C. jusqu’en -5,460 av J.C. c'est-à-dire près
de 10,000 ans d’évolution sans cataclysme pour les retarder. Les autres humains avaient subit la catastrophe écologique de la fonte des glaciers et leur propre civilisation s’était éteinte vers 9,600 av J.C. les obligeant
à tout recommencer sur des terres non inondées.
À partir de cette époque de la fonte des glaciers, partout dans le monde, nous assistons à une période de guerres et
d’invasions de territoires élevés; cela à partir de -9,000 av J.C. Et toujours, les envahisseurs sont plus « évolués » technologiquement que les envahis. Ce scénario se reproduisit vers
-5,460 av J.C. avec, cette fois-ci, des hommes ayant une avance technologique de 4,000 ans d’évolution additionnelle, donc énormément supérieure à l’évolution générale de l’humanité.
Il n’est plus surprenant que les hommes d’alors qualifiaient ces « envahisseurs » de « Puissants » et que ce furent ceux-ci qui prirent le contrôle des centres civilisateurs.
Résultat : Les habitants de la Mer Noire furent les instigateurs des deux civilisations principales de notre histoire; c'est-à-dire la civilisation Sumérienne et la civilisation Égyptienne. Il semble, d’après les
dernières découvertes, qu’une civilisation Éthiopienne ait précédé l’arrivée d’Horus en Égypte. Celle-ci serait alors la civilisation contrôlée par Seth qui était
de la famille du Serpent; c'est-à-dire la famille de Enki. ET lui aussi était originaire de la civilisation de la Mer Noire.
(Note : Il est impossible que les hommes aient pu vivre en vase
clos un peu partout dans le monde. Chaque évènement social ou géologique provoquait une réaction partout dans le monde.)
André Lefebvre
16 février 2011 extrait di site http rustyjames
on peut appeler çà comme on veut c'est un miracle une intervention divine ...chacun appellera
çà comme il le conçoit néanmoins il y'a bien des forces en actions autour du soleil pour nous éviter le pire ,2012 n'aura pas lieu ,c'est un signe évident qui nous est envoyé.une question me chiffonne a qui
appartienne ces vaisseaux près du soleil ,des vaisseaux humains ,mais alors dotés d'une technologie qui aurait plus de 40 d'avance sur la notre si on considère que une année militaire équivaut a 4 année civil et je
suis gentil pour pas choquer les plus sceptiques cela équivaut a une technologie supérieur a 160 ans d'avance
c'est pour cette raison que jules vernes connaissait déjà les plans secret du 20e siècles il n'ya rien de
visionnaire la dedans il y'a ceux qui savent et ceux qui ignorent parce qu'ils ne font pas partie de cercles secrets.
une planète géante près du soleil d'un diamètre de quelque 3000 km, sa composition est très métallique
et sa vitesse orbitale est extrêmement haute. Quelque 200.000 kms/h.il existe un point que nous appellerons « point critique ». Nous l'appellerons ainsi, parce qu'une fois traversé ce point critique on court le risque que l'objet
soit recueilli dans la gravité solaire. Selon nos calculs ce point critique est entre les 20 et 25 UA du soleil.
Jusqu'ici le petit résumé de la situation qui se déroule en étendant dans les jours successifs, avec des formules, des calculs et des explications plus détaillées. Passons maintenant les images d'hier montrées par LASCO 3 et aux satellites Stereo. L'analyse de l'objet en LASCO 3.
Bien. Cet objet rond est cette planète En passant à des 20~25 UA du soleil. Dans la zone de l'anomalie que nous avions déjà reportée (Sagittaire). Ce qui est curieux de cette photo est la « route » qu'elle suit, qui nous laisse perplexes. Puisqu'elle est retournée sur ses pas . incroyable d'un point de vue physique, Cela nous emmène aux images de la Stereo.
Ceci, aussi nous laisse stupéfaits! . ces objets depassent de très loin ce que nous sommes capable d'imaginer: Ils ne sont pas des comètes, ils ne sont pas des étoiles, ils ne sont pas des ovnis déjà analysé auparavant dans l'espace
ET le plus frappant,c'est que ces vaisseaux dans un ordre alignés ils ont encerclés le soleil l. ET ceci; 1 heure avant que Némésis atteigne le point critique » possible de non retour, en entrant dans notre système solaire. Mais on n'a pas fini les surprises . Peu avant que l'objet recule, il est arrivé ceci:
Ceci nous savons ce qu'il est. Un rayon de protons. D'une puissance démesurée. 10^38 ( (unités de flux de particules)en million de volts d'électron. Simplement EXTRAORDINAIRE. Ce qui provoque ce rayon,
ET
en voyant l'alignement, et en calculant les positions. Ce rayon de protons a frappé de plein fouet notre planete repoussant sur une orbite stable de sa naine marron quelque par à 35 UA du soleil, hors du « point critique » d'attraction.
Nous avons exposé les données. Maintenant que chacun juge ce qu'il a vu. Toutes ces photos ont été sorties des bases de données de la NASA. perso je ne sais pas a quoi ils jouent la haut mais ils nous ballades bien
avec leur pseudo technologie dépassée depuis plus d'un siècle. En tous les cas cette planete repassera pres de la zone critique vers juin 2011 nous verrons a ce moment là ce qui se passera .
http://starviewer.wordpress.com/2009/08/18/informe-sobre-lo-acontecido-ayer/
pardon j'oubliais le lendemain de cette évènement deux cropcircle sont apparue résumant ce qui s'était passé c'est ce que jen ai déduit vu la netteté du message .ils sont très très fort ...........
il y'avait un premier trait
les suivants sont ceux produits par les agriculteurs qui effacent les traces avec leurs moissonneuse batteuse.
« Fondateurs de la quasi-totalité de nos arts et de nos sciences, ils furent les pères de nos croyances fondamentales ; ils furent les premiers civilisateurs, les premiers navigateurs, les premiers commerçants, les premiers colonisateurs de la terre ; leur civilisation était ancienne alors que l’Egypte naissait, et il allait s’écouler des milliers d’années avant que l’on ne songe même à Babylone, Rome ou Londres. Ces disparus étaient nos ancêtres, leur sang coule dans nos veines ; on entendait prononcer dans leurs villes, leurs cours et leurs temples, sous leur forme primitive, les mots que nous utilisons quotidiennement. Chaque lignée de race et de pensée, de sang et de croyances ramène à eux. »
Ignatius Donnely
On pouvait ranger les atlantes de l’époque en deux catégories : « Les Fils de la Loi de Un » et « Les Fils de Bélial ». Les premiers,
constituant « la race pure », demeuraient dans leurs actions et leurs pensées, assez proches du Créateur. Les seconds n’avaient pas de morale, pas de conscience, sinon celle de la satisfaction de soi.
Avec le temps, ce peuple autrefois spirituel, a été déchiré en deux groupes. Les Fils de la Loi de Un perpétuaient la tradition spirituelle de leurs aïeux, pendant que les Fils de Bélial étaient absorbés à satisfaire leurs appétits physiques et leurs désirs. Cette division, ajoutée à l’alliance entre les Fils de Bélial et Mu dans l’intention de piller l’Atlantide et la guerre qui s’ensuivit, mena à la chute du continent et finalement à sa destruction.
Les Fils de Bélial firent une mauvaise utilisation des rayons solaires mystérieusement transformés en cristaux, dans des fosses de contact, par les ingénieurs atlantes. Ils inventèrent les explosifs ainsi que ces étranges instruments appelés à mettre en mouvement « les feux du centre de la terre ». Le résultat ne se fit pas attendre : l’Atlantide fut partiellement détruite. A cause d’un cataclysme qui entraîna la séparation du pays en plusieurs îles, cinq en tout. L’une d’entre elles s’appelait Poséidia.
En tombant dans la matière, les atlantes recherchèrent les plaisirs physiques. Mais ils recueillirent également les mauvais fruits de la condition humaine : douleur, froid, maladie, mort. Le nouvel univers qu’ils se façonnèrent n’était pas dépourvu d’aspects positifs. Mais ces aspects positifs s’effacèrent bientôt devant l’offensive des « forces destructrices ». Autrement dit, en introduisant dans leur nouveau plan de conscience la notion de progrès, les atlantes devinrent autant maîtres qu’esclaves. Ils innovèrent l’illusion manichéenne de l’existence physique.
De 50.000 à 10.000 avant J.C., l’Atlantide connut un relatif âge d’or. Il semble que les Fils de la Loi de Un ont davantage en main les destinées de la nation.
Le progrès fut mis au service de l’ensemble des citoyens. Les dispositifs inventés furent appliqués aux besoins et au confort des populations. En ce temps-là, on voyageait dans des vaisseaux capables d’évoluer aussi bien dans les airs que sous l’eau. Des radars sophistiqués les guidaient à travers l’espace vers d’autres pays. La technologie atlante était supérieure à la nôtre. Les musiciens étaient capables de produire, sur leurs instruments, des sons de toute nature. Dans les universités, on enseignait la transmission de pensées dans l’éther. On connaissait la télévision et l’enregistrement de la voix. Les techniciens de l’époque n’ignoraient rien des forces électriques, mécaniques et chimiques.
Il est également question de la découverte d’un cristal terriblement puissant. Or, cette découverte fut mal maîtrisée puisqu’elle entraîna des destructions. Idem en ce qui concerne la mystérieuse « pierre de feu » qui avait le don de faire avancer les vaisseaux, les véhicules de plaisance et les sous-marins. Signalons également que cette pierre de feu produisait l’énergie nécessaire aux villes et aux villages atlantes. Elle fut, accidentellement, à l’origine de la deuxième période de forces destructrices, qui anéantirent le pays, dans ces îles qui allaient encore souffrir plus tard de nouvelles destructions.
En ne se concentrant principalement que sur la matérialité et en ignorant leur vraie nature spirituelle, les Fils de Bélial ont attiré sur eux une série de trois cataclysmes.
Le premier, quelques 50.000 années avant J.C., a détruit leur source principale de pouvoir. Le second, approximativement en 28.500 avant J.C., a disloqué le continent en trois plus petites îles : Poséidia, Og et Aryen. La troisième et dernière destruction – celle dont parle Platon – s’est produite aux alentours de 10.500 avant J.C. et a causé l’engloutissement des trois îles.
Alors, beaucoup de chefs émigrèrent vers des pays étrangers. Les Fils de la Loi de Un comprirent que les terres de Poséidia-Atlantide allaient être définitivement englouties et l’exode se généralisa. La majeure partie de la population atlante se dispersa vers l’Egypte, l’Arizona, le pays Inca, le pays Maya. Certains groupes de fuyards gagnèrent même l’Espagne. Sans oublier le Portugal et les Pyrénées où les atlantes s’étaient déjà établis et avaient construit des temples.
Les atlantes avaient comme façon de vivre le système de Communauté. La société atlante était structurée ainsi. Ils avaient douze communautés qui vivaient autour des points de puissance spirituels sur la terre (temples), qui seraient l’équivalent d’une ville de nos jours, car les gens n’étaient pas aussi nombreux qu’aujourd’hui. Ces douze communautés se combinaient entre elles pour former une grande puissance se centralisant sur un temple qui était le centre spirituel d’une région particulière. Au niveau suivant, il y avait douze temples qui constituaient encore un autre groupe, et ainsi de suite. A noter que les atlantes étaient végétariens.
Les atlantes possédaient la grande connaissance en concentrant des énergies cristallines puissantes dans les instruments curatifs. Ils ont créé les cristaux synthétiques qui ont été utilisés dans ce que nous appellerions aujourd’hui la chirurgie au laser. Il y avait également divers outils curatifs qui ont été utilisés pour les diagnostics, aussi bien que pour les soins.
Dans un futur proche, les scientifiques découvriront un disque provenant de l’Atlantide, mais le but de cette connaissance n’est pas de satisfaire la curiosité de l’humanité mais de la préparer à la réapparition prochaine de l’Atlantide. Il ne faut pas croire que cette renaissance soit seulement positive, car, avec la résurgence de l’Atlantide à la surface, il viendra également le mal qui l’a détruite : toutes les disharmonies qui ont provoqué sa destruction il y a tant d’années.
La civilisation atlante s’est élevée bien au-dessus de beaucoup de civilisations, à un état très élevé d’accomplissement technologique. Elle a su utiliser l’énergie du soleil pour la création et la subsistance de sa société. L’humanité ignore encore aujourd’hui les vrais cadeaux que peut faire le soleil, mais les atlantes ont identifié sa vraie puissance et l’ont employée. Ils l’on employée non seulement pour le transport, pour la construction, pour la médecine, mais aussi pour chaque aspect de leur vie spirituelle, pour le culte. Les atlantes pensaient qu’il y avait un aspect de la divinité dans chaque cellule de la matière, activée par le soleil, et que donc toute la matière était commandée par le soleil. Ils ont découvert le rapport entre le facteur d’activation du soleil et la vie sur cette terre.
Il y a encore aujourd’hui quelques exemples des immenses constructions que les atlantes ont créé : les grandes pyramides d’Egypte, Stonehenge en Angleterre, sont des exemples d’architecture atlante. Il y a également beaucoup de mystères archéologiques dans d’autres pays que l’humanité d’aujourd’hui ne peut pas résoudre et dont les atlantes sont à l’origine.
Etant donné que les atlantes avaient compris la structure de la matière, ils pouvaient la dissoudre et la recréer. Les vastes blocs de pierre qui ont été utilisés dans la construction de ces édifices étaient dématérialisés puis matérialisés à l’endroit désiré de la construction.
Le gouvernement de l’Atlantide était naturellement dirigé par les prêtres, ou bien par des aînés du temple. C’était des âmes de grande évolution, des maîtres qui s’étaient exercés et s’étaient incarnés particulièrement pour ce rôle ; ils ont régné et ont enseigné le pays avec une grande spiritualité.
La communication avec les esprits supérieurs était journalière. Tandis que les prêtres pouvaient s’adapter à volonté à la hiérarchie spirituelle, les gens du peuple pouvaient s’adapter aux plans plus élevés de l’existence au moyen d’un dispositif magnétique. En attachant sur eux ce dispositif pendant les périodes de prière et de méditation, ils intensifiaient leurs vibrations, et ainsi, pouvaient communiquer directement avec les esprits supérieurs.
Les atlantes pouvaient voyager sur les autres planètes, mais pas par l’utilisation de fusées ou autres vaisseaux spatiaux. Parce qu’ils avaient découvert la puissance de l’esprit, les atlantes avaient conquis la force de la pesanteur et pouvaient voler. Ils pouvaient se déplacer d’un endroit à l’autre, défiant les lois de la pesanteur.
Dans le cadre de la médecine, les atlantes avaient découvert que la source de la maladie ne se situait pas dans le corps physique mais dans un corps plus subtil et plus élevé. Par conséquent, ils traitaient le corps plus élevé afin de guérir le corps physique. Si une personne était malade, elle était amenée dans un lieu de soin, un temple, dans une salle qui était construite avec un certain type de pierre, où étaient disposés des cristaux de telle manière que la puissance du soleil se répandait dans des faisceaux de lumière et d’énergie cosmique de différentes couleurs. La personne était alors placée au milieu de la salle, selon la nature de sa maladie, de sorte que les rayons adéquats de lumière et de couleur soient dirigés vers elle. En outre, les prêtres, étant des âmes évoluées avec un degré élevé de conscience, pouvaient lire le disque akashique de la personne malade, parce que la maladie n’a pas forcément pris naissance dans sa vie actuelle, mais pouvait s’étirer en arrière sur beaucoup de vies précédentes. Ils pouvaient traiter la véritable cause de la maladie chez la personne.
Bien que les atlantes aient atteint un point d’évolution très élevé, bien qu’ils aient été branchés sur des puissances cosmiques, bien qu’ils aient développé leurs capacités psychiques à un point tel que cela serait au-delà de votre compréhension, ils ne se sont pas motivés correctement. Ils ont utilisé leur connaissance du cosmos, leur degré d’évolution, non pas selon la volonté de leur créateur et de son plan divin mais pour accomplir leurs propres idées de création. Ils utilisaient leurs connaissances pour leur satisfaction et leurs gains personnels, pour obtenir la puissance, amasser les richesses, commander les autres, quel qu’en soit le prix. La puissance que les atlantes possédaient, et qui, initialement, était employée pour la construction, a été par la suite utilisée pour la destruction, et ainsi la chute de l’Atlantide commença.
La chute de l’Atlantide a été provoquée non seulement par les êtres évolués de la hiérarchie spirituelle mais également par les quelques prêtres vrais restants de l’Atlantide. Ces prêtres avaient compris que l’Atlantide devait être détruite et ils ont proposé de mourir avec elle afin de contenir le mal. Ils se sont rendus compte que l’humanité devait vivre d’autres cycles d’évolution avant d’être prête à accepter la responsabilité et la connaissance de l’Atlantide. Plusieurs des âmes qui ont habité l’Atlantide se sont réincarnées en vue de sa prochaine résurgence. Malheureusement, bon nombre de ces âmes sont actuellement mal orientées parce qu’elles manquent de motivation spirituelle et parce que leur esprit élevé ne peut comprendre ou accepter les restrictions de la vie physique de la terre d’aujourd’hui, parce qu’ils se rappellent surtout la spiritualité de la vieille Atlantide.
Les atlantes ont établi des centres d’études en Egypte, construits comme leurs propres temples, sous forme pyramidale. Dans ces centres d’études, ils ont caché leurs secrets, en langue symbolique, pour qu’ils ne puissent être accessibles uniquement par ceux étant dignes d’acquérir et d’utiliser cette connaissance sacrée.
Il y a bien longtemps, les atlantes, connaissant le cataclysme qui allait les frapper, ont entamé un projet qui a pris plus de 100 de nos années pour être accompli. Loin de leur patrie, dans une région sûre, ils ont construit une capsule temporelle, une sorte de message pour aider les humains du futur à comprendre ce qui s’était produit. Ils connaissaient les erreurs qu’ils avaient faites pour eux-mêmes. Mais il était trop tard pour arrêter la destruction, parce que les changements de la terre étaient commencés, détruisant leur patries et les grandes civilisations qu’ils avaient établies. Ils savaient que des changements terrestres se produiraient encore, pendant que la précession atteindrait son apex une fois de plus, 13.000 ans par conséquent. Ils ont construit leur capsule temporelle pour avertir les futures générations et leur permettre d’éviter les erreurs que les atlantes avaient commises. Cette capsule temporelle n’est pas simplement un bâtiment, mais une sorte de machine, un instrument qui pourrait prévoir le moment crucial où le destin des êtres du 20ème siècle devra s’accomplir. Cette capsule est la grande pyramide de Guizeh, en Egypte. La grande pyramide de Guizeh a été construite il y a 12.500 ans.
En septembre 2002, les archéologues ont exploré un conduit à partir de la chambre de la reine, à l’aide d’un robot. Au bout de ce conduit, une dalle bloquait l’accès.
Derrière cette dalle, il y a un passage dont les murs sont recouverts de métal ; ensuite on débouche dans une autre salle. Dans cette salle, se trouve un trône, avec à sa droite, une porte. A gauche du trône, une colonne sur laquelle est posé un crâne de cristal du nom de « Drohmi ». Je me rappelle très bien, lors de cette visite à l’aide des annales akashiques, avoir vu un prêtre égyptien qui se tenait devant la porte, près du trône. J’ai appris, quelques jours plus tard, que, encore à l’heure actuelle, des égyptiens disent avoir aperçu à plusieurs reprises, des hommes vêtus comme les anciens prêtres égyptiens.
Si le cycle doit se répéter, les changements viendront vite et sans avertissement. En Atlantide, près de 95 % de la population est morte noyée, sachant qu’elle contenait 7 millions et demi de personnes.
Poseidia est l’un des cinq grands royaumes de l’Atlantide. On la connaît pour ses riches cultures et ses temples de la sagesse. Des milliers de personnes arrivent quotidiennement pour commercer et pour assister aux activités culturelles. Elle possède l’université la plus célèbre, Ata-Ruumm, située sur la côte. L’université est présidée par un haut prêtre, initié de cinquième niveau, qui est aussi professeur. Cette université enseignait l’héritage atlante et leur origine aux étudiants, dans la salle des âges. Dans la salle des sciences, on enseignait la pensée collective. Elle possède une bibliothèque virtuelle, sous forme d’hologramme, où toute l’histoire atlante peut être consultée. Dans le même bâtiment, dans une salle carrée de 30 m de côté, façonnée de blocs de pierre à chaux, se trouve un dôme, d’or et de couleurs, qui est appelé le dôme de lumière, secret de la puissance de l’Atlantide.
Il y avait un temple curatif principal, de forme circulaire, d’un diamètre de 18 m. Le plafond voûté contenait des douzaines de cristaux qui n’étaient pas utilisés pour les soins, car les atlantes n’avaient pas de maladies comme nous les connaissons à notre époque, mais pour équilibrer leurs fréquences et aligner les chakras.
Les pyramides atlantes étaient faites de cristaux. Elles étaient utilisées comme des antennes pour attirer et amplifier les énergies de l’univers. Il y avait environ une centaine de ces édifices. Ils ont été construits sous forme de triangulation sur toute la planète. Ils ont mis en place un système global de grille d’énergie magnétique divisant la planète en différents centres magnétiques géographiques, notamment pour maintenir la planète sur son chemin orbital. La plupart de ces pyramides ont été détruites, mais certaines existent encore, enterrées à différents endroits.
En Atlantide, les femmes enceintes étaient placées dans une chambre pendant 24 heures où un cristal envoyait des fréquences plus élevées au foetus. Les enfants restaient avec leurs parents pendant les deux premières années de leur vie. Ils étaient ensuite pris en charge par la communauté toute entière.
Des cristaux étaient utilisés pour donner des enseignements aux étudiants. C’était de grands cristaux, d’au moins 1 m de long, avec une pointe à une extrémité.
Lorsqu’une personne était vieille et que le corps était trop usé, elle se couchait, dormait, et ne se réveillait pas. Comme l’âme de la personne était en paix dans ses rapports avec le créateur, il n’y avait aucune crainte de la mort. Le corps physique n’est rien d’autre qu’un outil de manifestation de conscience de l’âme. C’est le véhicule par lequel l’âme s’exprime. Lorsque l’âme a terminé le travail pour lequel elle s’est incarnée et que le corps physique ne peut plus suivre, il est dans notre capacité de fermer les yeux pour laisser l’âme s’en aller.
Les disques renfermant l’histoire de l’Atlantide, se trouvent à trois endroits différents : à Bimini, dans une salle sous le Sphinx en Egypte, et dans le Yucatan.
Concernant le Sphinx, il existe effectivement des salles enfouies. Lors d’une séance dans les annales, je me suis retrouvée directement dans la salle sous le Sphinx, ce qui fait que je ne sais pas comment j’y suis arrivée (soit à partir du Sphinx, soit à partir de la grande pyramide, là où je m’étais arrêtée l’autre jour), mais toutefois, il me semble avoir descendu des escaliers. La salle est ovale, avec des piliers ronds tout autour sur lesquels il y a des peintures de type égyptien (un personnage tourné sur le côté droit, qui semble accroupi, les mains levées à hauteur de la bouche, comme s’il tenait quelque chose devant sa bouche). Au centre de la salle, au sol, il y a un soleil stylisé en relief, de couleur or. En face de moi, il y a une estrade (une marche puis l’estrade elle-même) d’une matière noire brillante, que je suppose être de l’obsidienne.
Sur l’estrade, une grosse boite en métal gris (à peu près de la taille d’une ancienne machine à laver mais rectangulaire) avec sur le dessus, sur un des petits côtés, deux espèces de viseurs noirs. Cet appareil est un générateur à ondes de particules servant à l’enregistrement moléculaire des personnes et à la téléportation, relié au dôme de cristal se trouvant sous le triangle des Bermudes. Le dôme du triangle des Bermudes se trouve juste au centre du triangle lui-même, mais il y a d’autres dômes ailleurs sur la planète, notamment sous la glace (je n’ai pas eu d’infos plus précises). Le problème est que lorsque les dômes enfouis sont utilisés, la puissance qu’ils dégagent à ce moment là peut déclencher des séismes, du fait, justement, qu’ils sont enfouis. S’ils étaient à la surface, cela ne se produirait pas.
Je ne connais rien du tout en physique, mais d’après l’explication qui m’a été fournie en même temps, chaque personne était enregistrée au niveau moléculaire par cette machine, ce qui fait que la personne n’avait pas besoin d’être présente devant l’appareil pour être téléportée. Elle pouvait être téléportée où qu’elle se trouve, vers n’importe quelle destination, directement à partir de la machine. Elle a été actionnée il y a bien longtemps par les atlantes, qui s’en sont servis lors de l’exode lorsque l’Atlantide a sombrée. Elle sert de générateur entre les divers dômes de cristal pour la téléportation afin de passer d’un endroit de la planète à l’autre sans se faire remarquer, par les peuples de l’Agartha, qui sont les descendants des atlantes parvenus à s’échapper de l’île. Ce sont les Gardiens du savoir atlante. Ils vivent dans des anciens volcans et/ou dans des galeries sous la terre.
La machine ne peut fonctionner avec les êtres humains d’aujourd’hui, du fait qu’elle ne contient aucun enregistrement de ce type et que le taux vibratoire et moléculaire est différent. Les Gardiens du savoir qui les utilisent ont quelque chose de spécifique qui leur permet de l’utiliser.
Concernant le dôme de cristal, il sert effectivement à la téléportation au sein d’un même monde mais aussi vers les mondes parallèles et les autres espaces temps.
Petite précision : la machine sert encore à l’heure actuelle…
Dans la salle où se trouve la machine, se trouve aussi une sphère de cristal à inclusions pyramidales. C’est l’une des trois sphères atlantes existant encore.
Source : La mémoire de l’Atlantide
De nombreux ouvrages et articles de presse, nous entretiennent d’histoires de mammouths congelés découverts presqu’intactes près du cercle polaire nord et beaucoup d’auteurs insistent sur le clonage possible (et c’est bien sûr encore de la Science Fiction) de ces animaux par l’intermédiaire de femelles éléphants.
La genèse de l’affaire
C’est dans la prestigieuse collection, hélas disparue « Les chemins de l’impossible »,
et dans l’ouvrage remarquable de Peter Kolosimo de 1970 suivant :
Que nous avons eu pour la première fois le bénéfice de découvrir cette affaire de mammouth congelé qui nous interpelle aujourd’hui et dont le chapitre II intitulé « Catastrophes cosmiques » commence ainsi :
Qu’est-ce qui pourrait avoir effacé d’un seul coup de la surface de notre globe des civilisations florissantes, décimé des populations et les condamner à chercher refuge dans des cavernes dont, après des luttes millénaires, leurs ancêtres étaient arrivés à sortir ?
Evidemment, et uniquement, des cataclysmes qui dépassent l’imagination, des cataclysmes capables de mettre sens dessus dessous tout ce qui existait sur Terre.
De nombreux faits nous donnent la certitude que ces terribles catastrophes ont véritablement eu lieu et parmi ceux-ci nous citerons la découverte des carcasses de mammouths dans les toundras sibériennes et dans l’archipel de la Nouvelle-Sibérie.
C’est un cosaque qui, en 1797, découvrit le premier mammouth parfaitement conservé, et si bien conservé que sa chair fut dévorée par les chiens des traîneaux.
En ce temps-là, la chose ne parut pas importante ; la science n’était pas encore capable d’analyser les restes d’animaux.
Plus tard, les gens qui rencontrèrent des mammouths furent plus prudents, car peu à peu le progrès rendit possibles diverses études et analyses.
Charles Hapgood, célèbre anthropologiste américain,(auteur du célèbre ouvrage qui parle des cartes de Piri Reis : »Les cartes des anciens rois des mers « aux Éditions du Rocher 1981) écrit :
» Si quelques carcasses et quelques squelettes furent retrouvés intacts la majeure partie des animaux apparaissaient comme lacérés par une force colossale. Dans certaines régions, les ossements forment encore des tas gigantesques, hauts comme des collines et des mammouths sont mêlés à ceux de chevaux, d’antilopes, de bisons, de loups, d’énormes félins et d’autres bêtes plus petites.
Depuis fort longtemps les hommes connaissent l’existence de ces extraordinaires cimetières et les défenses de mammouths, souvent longues de plus de trois mètres ont fourni le commerce des Asiatiques durant des siècles, sinon des millénaires.
De 1880 à 1900, on a recueilli en Sibérie plus de 10 000 paires de défenses et les réserves ne semblent pas sur le point d’être épuisées.
Le mystère s’épaissit en 1901 quand on découvrit, au bord de la rivière Beresovka, une carcasse complète de mammouth. L’animal paraissait mort de froid en plein été.
Le contenu de son estomac était si bien conservé qu’il fut facile d’identifier les herbes qu’il avait absorbées : des boutons d’or, des haricots sauvages en pleine floraison, c’est-à-dire dans l’état où cette plante se trouve fin juillet ou début août.
La mort avait été subite : dans la gueule de l’animal il y avait encore des brins d’herbe et des fleurs.
Sans aucun doute, il avait été surpris par une force prodigieuse, brusquement déchaînée, qui l’avait transporté à des kilomètres de distance de son pâturage habituel.
Une patte et le bassin fracturés, il était tombé à genoux et il était mort de froid… dans la saison la plus chaude de l’année. »
Personne n’ignore ce qu’est la toundra sibérienne : une sorte de désert où règne une température plus basse qu’au pôle Nord, avec une moyenne annuelle de – 16° (15° en juillet et – 49° en janvier).
Il est impossible d’imaginer les mammouths vivant dans une pareille région et les expertises et examens accomplis sur les carcasses ont démontré (contrairement à ce que beaucoup de gens prétendent encore) qu’il s’agissait d’animaux habitués à, des climats modérés, tout autant que les chevaux, les bisons, les tigres, les antilopes, morts en même temps qu’eux.
La nourriture trouvée dans l’estomac des proboscidiens prouve que la Sibérie était à cette époque une région tempérée et couverte d’une végétation luxuriante.
Les mammouths durent mourir en masse à la suite de ce cataclysme et leurs carcasses durent être immédiatement recouvertes par un immense sépulcre de glace grâce auquel elles se maintinrent intactes.
Cette catastrophe procura à la Sibérie le climat le plus rigide du monde. Mais pas seulement à ce qu’il semble à la Sibérie.
Beaucoup de gens croient encore aujourd’hui que les régions antarctiques sont recouvertes depuis des millions d’années par des dalles de glace de plus de 1 500 mètres d’épaisseur, mais l’expédition dirigée en 1946-1947 par l’amiral Byrd apporta des éléments d’information d’abord, négligés, mais aujourd’hui réévalués, si on en croit les renseignements donnés par l’Année Géophysique Internationale.
Les savants américains ont pêché dans les grands fonds de l’océan, au large du sixième continent des échantillons de sédiments fangeux prouvant qu’à une époque relativement récente les rivières antarctiques apportaient à la mer des alluvions provenant de terrains qui n’étaient pas recouverts de glaciers.
Cette époque se situerait il y a 10 à 12 000 années et justement moment où les mammouths furent tués d’une manière si surprenante.
Est-ce à la même et unique catastrophe que serait dû le brusque changement de climat en Sibérie et au pôle Nord ?
De nombreux faits nous permettent de le croire… »
Fin de citation
Auparavant, illustrons cette découverte par une photo des découvreurs de 1901, venant du Comité sur le mammouth de l’Académie des Sciences de Russie :
Ce qui nous préoccupe ici ce sont donc les termes si étranges utilisés dans le texte précédent, ce cimetière d’au moins 10000 paires de défenses surprend.
Soit les mammouths supposés vivre dans une zone tempérée, étaient assez intelligents pour décider d’aller tous mourir dans un même lieu (les spécialistes du comportement des animaux pourraient nous éclairer sur ce point), soit et cela est plus difficile à expliquer que ces animaux ont été emportés, pendant des siècles, par des puissants courants marins d’un parc au climat tempéré à déterminer, vers un lieu d’échouage naturel.
Venons en maintenant au point crucial du mammouth de 1901: L’animal paraissait mort de froid en plein été.
Faisons une fois de plus appel aux spécialistes des mouvements climatiques de cette planète.
Peut-il exister dans les annales connues un cas de changement climatique instantané où un animal aussi gros qu’un mammouth, puisse être congelé à une vitesse telle l’animal n’ait même pas eu le temps d’avaler l’herbe qui était dans sa gueule. C’est la question clef. Nous attendons vos réponses.
Pour mieux appréhender ce phénomène voyons ce qu’en disent d’autres auteurs:
Voici ce que nous lisons par exemple dans la revue le Point n° 1148 du 17 Septembre 1994 :
Vous avez noté, nous l’espérons, l’expression : » émergent de temps à autre du permafrost de la steppe aussi « vivant » que pourrait l’être un éléphant contemporain conservé dans un congélateur. » Pas mal n’est-ce pas comme allusion ?
Mais il y a encore mieux: Dans l’émission intitulée « Le mythe du déluge » de la Chaine PlanèteSat telle que
:
Nous allons donc voir ce que l’on nous dit au sujet des mammouths.
Mais d’abord, permettez nous de faire ici une petite digression :
C’est ainsi que l’on peut y découvrir une large exposition des cartes de Piri Reis et de d’autres cartes fantastiques évoquées plus haut au sujet de Charles Hapgood. Il y a aussi cette affaire de têtes géantes à traits négroïdes.
Voici d’ailleurs une autre image de ce documentaire :
De même, on nous montre les incomparables murs de Sacsahuayman au Pérou.
Et Colin Wilson, auteur du livre intitulé « l’archéologie interdite de l’Atlantide au Sphinx », nous dit : » la forteresse inca de Sacsahuayman a été bâtie par un peuple qui ne possédait ni outil en métal dur, ni ciment, et ne connaissait, ni la poulie, ni la roue, ni la grue.
Regardez ce bloc, il doit peser l’équivalent d’au moins 200 voitures. Cela montre le savoir faire des artisans
qui l’ont construit et aussi leur capacité à déplacer des blocs de cette taille. Comment ont-ils pu le mettre en place? «
Plus loin on trouve aussi : »On a essayé d’introduire une épingle à la jointure des blocs, impossible à aucun endroit. Quelle perfection!! ».
Fin de citation et de la digression.
Mais revenons à notre affaire insolite de Mammouths congelés. Voilà ce que ce documentaire nous en dit :
» ….Dans le sol perpétuellement gelé de la Sibérie et de l’Alaska on trouve des millions d’ossements mélès ayant appartenu à des animaux qui ont péri dans un cataclysme.
Le grand mammouth, n’a pas succombé aux chasseurs de la préhistoire, il a été fauché par une catastrophe naturelle.
Au début
du 20éme siècle, des trappeurs sibériens découvrent
le squelette d’un animal gigantesque. on le déterre, puis on
l’analyse.
Son estomac contient des restes de plantes poussant dans un climat tempéré.
L’animal a été congelé à une vitesse qui dépasse les capacités des congélateurs les plus modernes.
Ce dont on est sûr, c’est qu’il a 12000 ou 13000 ans, un grand froid s’est abattu sur la Sibérie, qui ne s’est plus jamais réchauffée depuis.
L’énigme des mammouths congelés en quelques heures a suscité quantités d’anecdotes.
Certaines sont véridiques d’autres non comme celle des steaks de mammouth servis à Ferbanks en Alaska.
L’une des anecdotes probablement authentique est celle du baron Wrangel, un naturaliste russe du 19eme sur l’ile qu’il découvre dans l’archipel aux ours du Nord de la Sibérie et à laquelle il va donner son nom.
Le sable était retenu par des digues de défenses de mammouths et des ossements d’autres animaux disparus lors d’une mystérieuse catastrophe primitive.
Ces extinctions de masse, cette terrible activité volcanique, la rapidité de la fonte des glaces, tout cela semble indiquer qu’une immense révolution climatique a eu lieu, il y a 12 000, mais la cause de cette révolution reste énigmatique.
Arrêtons là notre transcription surprenante, bien que nous aimerions en dire plus. Vous avez noté le fait que l’on parle, à un endroit, de » L’énigme des mammouths congelés en quelques heures » et a un autre endroit plus haut « L’animal a été congelé a une vitesse qui dépasse les capacité de congélateurs les plus modernes.
La question qui se pose là, dans ce discours, est de savoir s’il faut quelques heures à un congélateur moderne pour figer complètement un animal qui n’a même pas le temps d’avaler l’herbe qu’il a dans sa gueule ? Ne trouvez vous pas qu’il y là comme un hic ?
Et puis pourquoi des animaux qui ne vivent pas mélangés entre eux comme des antilopes, des bisons, des loups, d’énormes félins… se retrouvent tous vautrés les uns sur les autres dans une mort inexplicable ?
Vivaient-ils dans un paradis terrestre où le carnivore jouait avec l’herbivore pour aller par la suite bras-dessus bras-dessous au même cimetière quand l’heure était arrivé, cataclysme ou pas ?
Nous ne contestons pas que la Sibérie ait changé de climat à une époque donnée et que divers animaux y vivaient alors.
Mais hélas en ce qui concerne la soudaineté du phénomène qui a frappé, par exemple le mammouth de la Beresovka, c’est le silence glacial, si l’on peut nous autoriser ce jeu de mot de circonstance. A vous donc de juger tout cela.
Mais pour compléter cette plongée dans cet univers réfrigérant, voici ce que nous avons déjà écrit dans notre article sur Byrd.
Début de citation
» Ce même auteur Peter Kolosimo, né en 1922, journaliste de vulgarisation scientifique et qui a côtoyé les savants Jacob Eugter, Hermann Oberth et Werner Von Braun ainsi que des savants soviétiques et qui a reçu l’important prix littéraire italien « le Premio Bancaracella » qui le fit connaître dans le monde entier après la traduction de ses ouvrages en 8 langues européennes, nous dit aussi dans un autre ouvrage publié également chez A. Michel en 1974 et intitulé « La Planète inconnue »:
» Plus prudents furent les auteurs de la seconde découverte en 1909 dans la vallée de Bérescova, toujours en Sibérie.
Il y a quelques années , le corps d’un troisième mammouth non détérioré revit le jour dans la toundra de la péninsule de Tamir, sur la côte de L’océan Glacial Arctique; soumis à une autopsie, il révéla un détail qui excita l’imagination des journalistes et des écrivains.
Dans l’estomac du gigantesque éléphant furent retrouvés intacts les restes de son dernier repas: de l’herbe et des fruits appartenant sans aucun doute à la flore d’une région très fertile.
Cette constatation ne pouvait laisser la place qu’à une seule hypothèse : la mort des animaux devait avoir été brutale, déterminée par une catastrophe imprévisible: les Mammouths avaient certainement été enveloppés, tout de suite après leur mort , par un manteau de glace.
Comment expliquer autrement leur extraordinaire conservation? »
Ces hallucinantes narrations de Peter Kolosimo semblent le plonger, comme tout un chacun d’ailleurs, dans la perplexité la plus totale, devant l’incroyable soudaineté du phénomène de congélation de l’animal, qui a dû surprendre bien des scientifiques et dont nous attendons toujours l’explication, autre que (ces informations de 1901 et 1909 sont-elles fiables?).
De plus, nous constatons que malheureusement, l’auteur ne nous dit rien, sur la datation trouvée, pour les inflorescences recueillies dans la gueule de l’animal.
Mais, et ce »mais » est d’une importance notoire, pensez-vous que cette datation aurait fait l’objet d’une déclaration à l’Académie des Sciences, si l’on avait trouvé que l’animal vivait à une époque très proche de nous et non pas du tout, il y a 20 000 ans, date supposée à laquelle vivaient ces mammouths ? A bon entendeur salut… »
Fin de citation.
Voyez donc (dans ce même documentaire de La Chaine Planète) en effet ce qui est arrivé à l’archéologue Jean Steen-Mackintyre qui en 1966 découvrit un site au Mexique, possédant des outils en pierre et des ossements humains qu’elle fait dater par divers laboratoires, persuadée que ces objets avaient, au plus, 20 000 ans date voisine de ce qui est accepté officiellement.
Mais le résultat de ces laboratoires surprendra tout un chacun, car les objets furent datés de 250 000 ans :
Jean Steen-Mackintyre qui voulait s’en tenir aux résultats des datations fut discréditée et elle perdit son emploi car le site fut fermé par les autorités…
Plus tard on trouva en Russie un site analogue vieux de 300 000 ans ce qui donnait bien raison à l’ archéologue déchue Jean Steen-Mackintyre.
Malheur donc à ceux qui osent défier les pontifes…
Conclusion
On pourrait donc épiloguer encore longtemps sur cette incroyable affaire du
mammouth de 1901.
Mais pour les novices qui découvrent pour la première fois cette histoire, précisons que nous avons une hypothèse qui seule peut expliquer la soudaineté de la congélation de l’animal qui, nous le répétons, n’a même pas eu le temps d’avaler l’herbe qui était dans sa gueule.
Alors attachez vos ceintures car il va y avoir de fortes turbulences.
C’est en effet en 1913 qu’un certain Marshall B.Gardner un habitant d’AURORA dans l’Illinois publia, à ses frais, un petit livre intitulé « Voyage à l’intérieur de la Terre » où il fait état de ce soleil central.
En 1920, il réédita son ouvrage en le complétant jusqu’à ce qu’il atteigne 456 pages, et en l’agrémentant d’une bibliographie d’une cinquantaine de titres, presque tous axés sur l’exploration polaire.
Voici donc une photo de l’auteur, suivie de celle de la couverture de son incomparable ouvrage:
L’explication serait d’après cet auteur : » que les mammouths sont des animaux qui habitent actuellement l’intérieur de la Terre. Certains d’entre eux arrivent jusqu’à la surface, transportés par les fleuves, et là, ils sont frigorifiés et enfermés dans des blocs de glace comme dans des cercueils à la sortie de l’ouverture polaire, puis ils dérivent ensuite avec les icebergs. »
C’est à notre avis bien sûr, pour l’instant, la seule explication capable de résoudre cet irritant problème de la soudaineté de la congélation qui s’attache au phénomène.
Il y a aussi le fait que ces fleuves sans doute aussi puissants que l’Amazone, charrient des tas d’animaux de toute nature qui y tombent accidentellement et déposent leurs cadavres congelés en masse, pendant des siècles sur les bords de la Sibérie, de l’ile Wrangel ou d’autres, ou de l’Alaska, et cela en fonction des courants, ce qui pourrait expliquer la présence de ces prétendus cimetières faits de tant d’animaux disparates.