Toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la magie
A.C. Clarke
Les secrets de la physique quantique : Le cauchemar d'Einstein
Le professeur Jim Al-Khalili retrace l'histoire de la théorie scientifique sans doute la plus importante, la plus exacte et pourtant la plus déconcertante jusqu'ici : celle de la physique quantique. Son histoire commence au début du XXe siècle, lorsque les scientifiques tentaient de mieux comprendre le fonctionnement des ampoules. Cette simple question les a bientôt conduits à se plonger plus profondément sur la question du fonctionnement mystérieux de la matière et les constituants élémentaires de l'atome dans le monde qui nous entoure. Ils ont alors découvert un phénomène différent de tout ce qu'ils connaissaient jusque-là, un royaume où la réalité n'apparaît que lorsqu'on l'observe. Einstein détestait l'idée que la nature, à son niveau le plus fondamental, soit gouvernée par le hasard. Jim révèle comment, dans les années 30, Einstein pensait avoir trouvé une faille dans la mécanique quantique. Cette assertion ne fut pas prise au sérieux avant les années 60.
"Le monde entier s'incline devant moi, mais moi, je m'incline devant le Maître Peter
Deunov."
Albert Einstein
Plasma (du mot grèque πλάσμα,
« quelconque formé »)
Compréhension conventionnelle
La physique conventionnelle nous dit que
le plasma est le quatrième état de la matière: solide, liquide, gazeuse et plasma. Mais le plasma semble plutôt être une condition de « particules » avant se manifester en matière.
La physique nous amène dans la recherche de la structure de l’univers: commençant par la matière, les choses; après on va au plus détaillé: l’atome et
après le nucléaire (le noyau de l’atome).
Comme toutes les autres disciplines de la science, la physique reste collée à la matière – de cette façon
le plasma est juste un autre état de la matière!
Maintenant, ils sont arrivé au niveau du
plasma, ce qui constitue le noyau des protons. Là, on découvre plein de particules bizarres dont la nature et le fonctionnement sont tellement ésotériques que seuls les grands scientifiques peuvent les saisir! Il est presque rigolo
qu’ils aient nommé « particule de dieu » – ce qui est le plus proche du plasma selon la compréhension de M. Keshe.
Compréhension nouvelle
Les 7 étapes du plasma
Le plasma fondamental est un neutron qui est composé de matière, d’anti-matière et de matière noire. Le neutron se décompose dans le proton, l’électron
(étant un mini-plasma provenant du plasma du neutron) et de petits fragments de champs magnétiques (lumière ou particules d’énergie).
Toutes les caractéristiques
des matières peuvent être atteintes en altérant l’Énergie Magnétique Plasmatique fondamentale (EMP, PME en anglais) de Champs Magnétiques Plasmatiques Spécifiques Entrelacés (CMPSE,
SEPMAF en anglais); comme sur l’image ci-dessous: EMP A et EMP B.
Les CMPSE sont ce qu’on
appelle en physique aujourd’hui: les parties initiales des particules et atomes fondamentales. Les protons,neutrons et électrons sont des collections de CMPSE pour lesquels leurs champs magnétiques ont un entrelacement structurel magnétique
spécifique, par exemple comme la double structure magnétique plasmatique montrée sur la première image 1A.
Chaque type de CMPSE possède sa propre force et structure
magnétique. Ces entrelacements magnétiques plasmatiques basiques ne font pas de liens fixes (comme dans les molécules) mais ils possèdent un champ magnétique fixe comme dans les aimants. Cette liaison plasmatique magnétique
libre d’un CMPSE peut être altérée par la présence, les caractéristiques et le comportement provenant d’autres CMPSE (comme vu sur l’image 1B, les EMP G & H dans l’EMP C). Les changements dépendent
de leur force et structure plasmatique magnétique, et par leur position et leur mouvement. La force de CMPSE du même type peut varier à l’intérieur de certaines limites, donc leur structure est dynamique. En d’autres
mots: Sous les bonnes conditions – par exemple une distance minimale – ces CMPSE interagissent les uns avec les autres et peuvent s’influencer mutuellement. Par exemple ; un ou plusieurs CMPSE peuvent subir un changement dans la structure
de leur champ magnétique plasmatique; ou ils peuvent se démêler ; ou se repositionner entre eux ou changer de position parmi les champs avoisinants. Lorsque les CMPSE sont en mouvement, ils seront influencés par les CMPSE qu’ils
passent et rencontrent.
Alors un atome est une combinaison de plusieurs types de CMPSE, et les molécules sont des CMPSE complexes.
Les interactions physiques entre les CMPSE oscillent entre équilibre et déséquilibre.
Pour l’observateur, ce flux de changements magnétiques signifie les
changements de propriété des atomes et des molécules.
Dans le monde matériel, nous sommes habitués à pouvoir tout mesurer,
contrôler, quantifier, mais tout ça est impossible dans le monde du plasma. Exemple: si deux personnes mangent une pomme de la même variété, chacun va avoir une expérience de goût différent parce que chacun
est un champ gravito-magnétique différent qui génère des interactions différentes. Par conséquent, il est à peu près impossible que deux chercheurs obtiennent le même résultat en regardant
le « même » plasma. On peut dire néanmoins que chaque plasma interagit avec tout ce qui a le même champ gravitationnel-magnétique; agis en prenant et en donnant pour continuer sa subsistance. Sa forme peut
changer tout le temps, ça dépend de son propre champs gravitationnel-magnétique en interaction avec les champs gravitationnels-magnétiques de son environnement. Ils peuvent ressembler à des galaxies qui ont des formes très
différentes.
Néanmoins, on peut dire que le « plasma idéal » a une forme sphérique ce qui veut dire qu’il
échange simultanément dans toutes les directions. Les sciences conventionnelles s’occupent seulement du plasma dans un état matériel et non pas avec le plasma libre (dont l’univers est fait).
Le plasma constitue la première manifestation de quoi que ce soit. On voit qu’il n’y a pas de différence entre un proton, neutron, électron, le soleil, l’univers… toutes les « particules »
sont pareil par rapport à leur structure.
Les différences entre eux se précise par la taille/densité du plasma à l’intérieur.
Leur fonctionnement est également pareil: ils ont un champs gravito-magnétique qu’ils partagent avec leur environnement.
Dans
l’histoire de l’univers la matière est crée lorsque les champs gravito-magnétique se ralentissent par l’interaction/collision avec d’autres champs. On peut observer le même processus dans les protons, électrons
et l’univers. Par exemple, un rayon de soleil (plasma) se répand et interagit avec d’autres champs pour se ralentir assez afin de créer une condition pour l’apparition d’une particule matérielle.
D’ailleurs, presque toute la matière de l’univers se présente en forme de plasma: le soleil, les étoiles et même l’espace entre
les galaxies n’est pas vide – il est rempli de plasma.
Ici sur terre on utilise le plasma pour les lampes au néon, la propulsion des fusées pour aller sur mars ou pour
des micro chips.
La génération du plasma par des méthodes conventionnelles se fait en ajoutant BEAUCOUP d’énergie:
La matière change d’état du solide vers le liquide et le gaz pour finir en plasma. Chaque transition d’état affaiblit les liens jusqu’à
la dernière étape où même les liens entre protons et électrons se défont. En état de plasma la matière peut libérer beaucoup d’énergie et elle est super conductrice d’électricité.
La partie droite de l’image montre comment nous pouvons contrôler le plasma par une bobine qui crée un champ électromagnétique qui contient les protons et électrons.
La technologie initiée par M.T.Keshe, diffusée par la Fondation Keshe continue à être développée par les « Chercheurs de Savoir/Knowledge seekers« . Cette
technologie est très différentes de la conventionnelle: elle n’utilise que des quantités minuscules d’énergies pour créer le plasma. Et les composants pour fabriquer cette technologie sont faits de matières
recyclées, ou très peu chers.
Dans l’univers les champs électromagnétiques vont dans toutes les directions (partie gauche de l’image). S’ils
sont de la même structure, soit par leur force similaire (flèche noir) ou force opposée (flèche rouge) ils vont interagir, se connecter. Leurs liaisons créent un mouvement centrifuge (spirale noire, champs magnétique)
et un mouvement centripète (spirale rouge, champs gravitationnel). Ils fonctionnent comme un aimant: deux aimants interagissent par leurs champs gravito-magnétiques (attirance ou répulsion selon leur position d’un par rapport à
l’autre). L’attraction est appelée « gravitationnelle » et la répulsion est appelée « magnétique ». Cela crée un bouclier (magnétique) et une attraction (gravitationnelle).
Si une « particule » est dans une condition plasmatique, elle est attiré (connecté magnétiquement) ou il attire lui-même (connecté gravitationnellement);
il donne, prends et connecte continuellement.
La terre par exemple, crée un champ gravitationnel et un champs magnétique, les deux en 360°.
De cette façon, elle établit un champ en forme de torus (prend par le Sud, gravitationnel; donne par le Nord, magnétique); une connexion d’échange continuel qui fait qu’elle peut exister dans son environnement.
Une définitions simple:
Citation:
Le plasma est l’interaction des forces gravito-magnétiques; la totalité crée ainsi un environnement d’interaction.
Tous les particules sont pareils (proton, électron, soleil, galaxie); nous
avons seulement crée des noms différents selon la masse de plasma dans leur centre. Tous dans l’univers est plasma; même la matière. La matière est la manifestation qui résulte de l’interaction de son champs
gravito-magnétique avec le champs de la terre (son environnement) comme un solide.
Tous les plasmas sont continuellement en train de se positionner vis-à-vis l’un de l’autre
– simplement par la force de leurs champs gravito-magnétiques (comme les aimants). Ils s’accommodent – ils ne se bataillent jamais.
Par conséquent il est maintenant possible de créer des matérialisations – en déterminant leur champs gravito-magnétiques et leur environnement. Voici une règle concernant le plasma: la force plasmatique est plus fort dans le centre qu’à la périphérie; donc quel élément nous allons créer dépend de la position dans le plasma qui nous recherchons.
Les flèches qui partent du plasma sont plus ou moins proche
du soleil au centre (plasma de plus haute densité). Une position loin du centre va créer un élément comme H (hydrogène) tandis qu’une position plus proche du centre va créer Au (de l’or).
La flèche dans l’image à droite est le gradient de la force du plasma (plus fort vers le centre du plasma). À la première intersection
elle a la force de 10¹, à la deuxième déjà 10 1million.
Mais l’environnement
(terrestre) joue aussi un rôle important: si on transporte un même élément dans un autre environnement, cela va changer sa densité plasmatique, donc sa « nature » – il peut devenir un autre élément.
La nature des « choses » dépend donc de deux conditions: la structure de son propre plasma et la structure plasmatique de son environnement.
Nous voyons maintenant
que tout ce qui apparaît dans l’univers (et sur notre planète) est continuellement crée à partir du plasma.
Il n’y aurait donc pas de manque de pétrole
par example… car le plus de CO2 on émet dans l’air le plus de pétrol va se créer; le pétrol est composé d’acides amininées (COHN, la composante CO provient du CO2).
Pour appeller des particules dans l’existence, il est nécessaire de créer une intensité plasmatique propre au particule ainsi qu’un environnement où les particules peuvent se connecter, donner
et prendre; si non ils ne peuvent pas exister. N.b.: cela propose une nouvelle façon de guérir les maladies (ne plus le combattre mais de changer leur environnement d’une façon que le cancer ne peut plus donner, prendre et se connecter
– pour le faire disparaître).
Cela propose aussi une autre façon de voyager (sans propulsion, sans carburant) juste en positionnant notre champs gravito-magnétique par
rapport à un champs où nous voulons arriver; et instantanément nous y serons.
Citation:
Lorsque l’homme a cuit son premier barbecue, il a fait le premier plaquage nano et lorsqu’il a mis le premier morceau de viande cuit dans son estomac il a fait du gans – tout sans le savoir.
Par conséquence c’est l’éngergie du plasma qui est libéré dans le corps et pas l’énergie de la nourriture.
Effets sur la
technologie
La technologie Keshe travaille avec des bobines simples recouvert d’une couche de carbone nano, des capaciteurs fait de la même façon et du « gans »
ce qui est du gaz CO2 en forme liquide.
Ces items simples assemblés créent un plasma sans introduire
de l’énergie mais plutôt en créant de l’énergie. Par exemple le « Réacteur Gans » diminue la consommation d’essence d’une voiture de 30% et ce immédiatement. Ou le « Magrav »
(une unité de force/power unit) peut créer 2 à 8 fois l’énergie électrique qu’il consomme.
Ces deux exemples cités représentent juste
la pointe de l’iceberg de tout ce qui peut être découvert à partir de cette technologie. La création du plasma par la technologie Keshe ouvre des portes inattendues afin de recréer une nouvelle ère pour l’humanité.
Nous avons vu que le plasma est un état ionisé de la
matière; c’est à dire que la matière n’est pas organisée (figée)
mais fluide, changeante, non-déterminée. Le plasma décrit l’état de la matière avant qu’elle « se matérialise »; c’est la jonction entre l’esprit et la matière.
Dans cette jonction se fait la transmission des formes, structures ou informations de l’esprit dans la matière. Dans la physique quantique on parle de l’effet de l’observateur qui
change la matière en y portant son attention ou son regard. C’est donc « l’espace » ou encore « le moment » où se décide ce qui va se créer et sous quelle forme.
Cela met beaucoup d’importance sur l’intention avec laquelle nous regardons, travaillons et créons.
Source: http://hob.pontdevie.org/
Le génie méconnu de Nicolas Tesla
Un sondage effectué parmi les élèves du premier cycle de l’INSA de Lyon, donnèrent des résultats surprenants : sur les 87 réponses que j’ai reçues, environ 4 étudiants étaient capables de me fournir des informations pertinentes sur Nikola Tesla, ce qui représente 5 % des étudiants interrogés. C’est très peu vu l’environnement scientifique dans lequel l’étude a été faite.
Cela est d’autant plus étonnant que Tesla a donné sa vie à la science, restant célibataire toute sa vie pour se consacrer pleinement à sa passion : l’invention. Au cours de sa vie, il a inventé de très nombreuses machines, dont certaines sont révolutionnaires, capables de bouleverser le monde entier. Personne n’en a jamais entendu parler.
C’est pourquoi nous avons décidé de choisir ce thème pour notre exposé. Il nous a semblé primordial dans une carrière de scientifique de connaître l’existence de cet homme remarquable ainsi que sa carrière qui fut semée d’embûches. Il a été à l’initiative de très nombreux progrès dans les sciences et techniques. Beaucoup de ses créations sont utilisées aujourd’hui quotidiennement sans que personne ne se pose la question de savoir quel a été le scientifique qui leur a permis d’avoir cette qualité de vie aujourd’hui. Le but de notre exposé est de mieux faire connaître ce génie méconnu, ainsi que ses inventions ingénieuses.
Nous axerons notre dossier sur la vie de Tesla et ses inventions ainsi que ses applications, et non pas sur les aspects techniques de toutes ses inventions. Il nous faudrait alors bien plus de temps et d’énergie pour comprendre dans les détails toutes ses inventions. Aujourd’hui encore, des scientifiques reprennent les travaux de Tesla. Pour toutes les inventions nommées dans ce dossier, il nous est possible d’en fournir une explication scientifique même si elles ne figurent pas dans le dossier. Nous tenons à le préciser car il est possible, à un premier égard, de supposer que ces machines contredisent les lois de la physique.
Pour finir, le débat nous aidera à réfléchir sur sa méconnaissance et sur la réaction de la société – publique ou scientifique – face aux nouvelles découvertes et inventions.
Introduction
Carte d’identité de Nikola Tesla
Nikola Tesla voit le jour le 10 juillet 1856 à Smiljan, en Croatie près de la côte Adriatique et meurt le 7 janvier 43. Son père est un ecclésiastique serbe orthodoxe et sa mère est intelligente mais illettrée. Nikola est l’avant dernier d’une famille de cinq enfants. Ses parents voulaient qu’il se destine à l’Eglise ou à l’Armée.
Il a de très nombreuses qualités intellectuelles, comme une très grande mémoire photographique, un génie inventif, le don de visualiser avec une telle acuité qu’il n’a besoin ni de maquette, ni de schéma, ni même d’expérience. Sa représentation mentale rend les modèles parfaitement réels. D’ailleurs dit-il lui-même : « tout ce que j’invente fonctionne comme je l’ai imaginé, l’expérience se déroule comme prévu ». Dès petit, il invente des objets originaux. Il a eu une enfance troublée due à une histoire familiale très forte qui lui créa des troubles psychologiques et des phobies. C’est seulement à l’âge de 17 ans qu’il commence à s’intéresser vraiment à ses inventions. Tesla apparaît comme un autodidacte.
Décorations de Tesla
Il a reçu de son vivant de nombreuses distinctions académiques d’universités américaines et d’autres pays :
la médaille John Scott
la médaille Edison qui est considérée comme la plus grande reconnaissance
dans le domaine électrique
de nombreux prix décernés par les gouvernements européens.
Mais il faudra 1975 pour que son nom figure au panthéon des inventeurs américains.
PORTRAIT DE NIKOLA TESLA
1ère PARTIE : L’ÉLECTRICITÉ
Ses débuts à l’école
En 1875 il rentre à l’école polytechnique de Graz en Autriche où il étudie les maths, la physique et la mécanique.
Son professeur de physique lui présente un appareil à courant continu qui fonctionne à la fois comme un moteur et une dynamo. L’inconvénient est que cette machine produit beaucoup d’étincelles. Tesla l’examine et propose de remplacer le courant continu en courant alternatif, ce qui conduirait selon le professeur à un mouvement perpétuel donc impossible.
L’idée de transformer cette machine ne le quittera plus : « pour moi, c’est un vœu sacré, une question de vie ou de mort. Je sais que je mourrai si j’échoue. Au plus profond de mon cerveau se trouve la solution, mais je ne peux pas encore l’exprimer ».
Invention du moteur à courant alternatif
Le Moteur à Induction:
Six ans plus tard, il présente une conférence à l’American Institute of Electrical Enginneers, où il révèle un nouveau principe scientifique, d’une simplicité éblouissante. Ses applications pratiques révolutionneront le monde technologique. Tesla vient de découvrir un nouveau système, le principe du champ magnétique rotatif, généré par des courants alternatifs au nombre de un ou plus déphasés les uns par rapport aux autres. Le moteur à courant alternatif est inventé.
Lutte pour la recherche d’un standard électrique
Dans les mois qui suivent cette conférence, il s’investit complètement dans le but d’inventer de nouvelles formes de machines à courant alternatif.
En 1883 il achève la construction de son premier véritable moteur à induction à courant alternatif. Incapable de provoquer l’intérêt de quiconque en Europe avec son procédé radical, Tesla accepta l’offre de Thomas Edison qui lui proposait de venir travailler aux USA.
L’année suivante, à l’âge de 28 ans, il décide de prendre le bateau et d’aller tenter sa chance pour aller travailler avec Edison aux Etats-Unis, où ce dernier vient de créer le réseau électrique qui alimente la ville de NY.
Ce réseau, basé sur le courant continu, souffre de sérieux malfonctionnements : accidents fréquents, pannes régulières, plusieurs incendies causés par l’électricité… De plus le courant ne peux être acheminé à longue distance (environ deux miles) car les lignes ne pouvaient supporter des tensions élevées, indispensables aux transmissions lointaines. Une centrale était nécessaire tous les deux miles.
Tesla intervient alors en parlant de son merveilleux moteur à induction à courant alternatif, selon lui tendance de l’avenir : « celui qui développera cette technique sera riche ».
Edison n’est pas d’accord. Il met à contribution Tesla pour réparer l’installation électrique d’un paquebot, ce à quoi il arrive rapidement. Il découvre le moyen d’améliorer les dynamos primitives d’Edison et se voit proposé 50 000 $ pour continuer son travail.
Edison n’aime pas le génie de Tesla, il se sent menacé par ses inventions talentueuses. Le problème grandit entre les deux hommes, ce qui amène Tesla à démissionner.
Un groupe de financiers, conscients du potentiel économique, propose à Tesla de fonder sa société, ce qu’il fit. Malheureusement il se fait avoir et se retrouve sans argent, les financiers ayant récupéré son entreprise où il avait investit ses économies.
Un dirigeant d’une grande société, Westinghouse, s’intéresse de près à son courant alternatif. En 1886 on assiste à la première inauguration commerciale du système de courant alternatif. Son moteur à induction est reconnu rapidement comme un élément de technologie nouvelle. Westinghouse, le concurrent direct d’Edison, rêve d’approvisionner les Etats-Unis avec le courant alternatif, il signe un contrat avec Tesla, à titre de consultant. Une lutte titanesque s’engage entre Westinghouse-Tesla et Edison, elle tourne à l’avantage de Westinghouse-Tesla.
Installation du courant alternatif aux États-Unis
Une des premières versions de sa Turbine :
Westinghouse, en janvier 1893, annonce que sa compagnie vient d’obtenir le contrat d’installation de toute l’infrastructure électrique. On utilisera bientôt exclusivement le
courant alternatif de Tesla, système tant bafoué et calomnié. Toute l’électricité utilisée dans le monde à cette époque sera produite, transmise, distribuée et transformée au moyen
de système polyphasé de Tesla. La transmission du courant sur des centaines voire des milliers de kilomètres n’est plus un problème. Les deux premières usines génératrices de courant sur le Niagara sont
construites dès octobre 1893, dont une sur les chutes du Niagara. La première sera finie en 1896 et alimentera Buffalo. A New York, les tramways et les métros fonctionnent au courant alternatif, l’électrification des chemins
de fer est en bonne voie.
L’industrie métallurgique a aussi besoin de hautes tensions que seul l’alternatif peut lui fournir, on assiste alors à un essor fulgurant de l’aéronautique. L’électricité permet de disposer à profusion d’énergie mécanique, calorifique, électromagnétique, ce qui entraînera une révolution extraordinaire pour l’industrie.
En 1906 Tesla invente une turbine : 4,5 kg et 30 chevaux vapeurs. Tesla pense qu’elle pourra faire baisser le coût de l’électricité en raison de faible coût de fabrication par rapport à ce qui se fait à l’époque.
2ème PARTIE : LA LUMIÈRE
Lampe à pastille de Carbone – lumière à haute fréquence
Le point fort de ses démonstrations dans ce domaine est la lampe à pastille de carbone, présentée en 1891.
Elle est constituée d’un tube à vide (mais contenant quelques ions à l’état gazeux) de 15 cm terminé par un petit globe de verre muni d’une minuscule pièce de matériau solide, montée à l’extrémité d’un fil de connexion unique avec la source de haute fréquence. La pastille centrale du matériau propulse électrostatiquement les molécules du gaz environnant vers le globe de verre, puis de la même façon les attirent ensuite, au rythme de la source haute fréquence. Au retour, en heurtant la pastille, les molécules la chauffent jusqu’à incandescence, dans un processus qui se répète plusieurs millions fois par seconde. La chaleur de la pastille incandescente se transfère aux molécules de la petite quantité de gaz dans le tube, et ainsi de la lumière est produite.
Cette lampe est très économique : pour la même dépense énergétique, elle est 20 fois plus brillante que l’ampoule d’Edison, celle utilisée de nos jours. Le seul problème est qu’il faut une source de courant à haute fréquence, ce qui n’est malheureusement pas compatible avec les 50 Hz traditionnels. Le tube néon est inspiré des découvertes de Tesla, mais son rendement n’est pas aussi intéressant.
Microscope électronique
La lampe à pastille de Carbone contient également le concept du microscope électronique.
On génère des particules qui sont envoyées en ligne droite à partir d’un minuscule point d’activité sur la pastille, maintenue à un potentiel élevé. Avec le courant continu, on arrive seulement à expulser les particules. Sur la surface du globe, les particules reproduisent en une image phosphorescente le dessin du point microscopique d’où elles sont émises.
En s’inspirant de cette constatation faite par Tesla, des scientifiques découvrent en 1939 la possibilité d’utiliser un microscope non plus avec de la lumière mais grâce à un flux d’électrons, ce qui donne une résolution beaucoup plus grande. La description par Tesla de l’effet obtenu avec sa lampe à pastille de carbone se retrouve quasiment sans changement dans les termes pour décrire le microscope électronique.
Accélérateur à particules
La lampe à particule contient aussi certains aspects des accélérateurs de particules. En effet, l’expulsion de particules à hautes vitesses dans les accélérateurs linéaires se retrouve dans la lampe. De plus, le phénomène de résonance (voir partie mécanique) intervient dans les accélérateurs de type cyclotron.
3ème PARTIE : LA MÉCANIQUE
Invention d’un avion à décollage – atterrissage vertical
C’est en 1928, à 72 ans, que Tesla construit un modèle d’avion à décollage – atterrissage vertical. Le modèle de Tesla est un premier pas incontournable dans la recherche dans ce domaine. Il est remarquable qu’il en ait eu l’idée, à une époque où l’aviation n’en était encore qu’à ses débuts. Les plans de Tesla ont été utilisés ultérieurement dans les recherches américaines pour le développement de leur avions. En 1980 on s’émerveille encore devant la possibilité de faire des avions avec cette spécificité.
Les oscillations mécaniques et vibrations harmoniques : la résonance
En 1898 il teste un minuscule oscillateur qu’il attache à un pilier de fonte qui traverse un immeuble. Cela entraîne la vibration de tout l’immeuble et la panique des habitants qui croient à un tremblement de terre. Tesla vient de montrer l’effet de la résonance: « cette poutre n’aurait pas pu être détruite avec des massues, ni même avec des leviers : il a suffi d’une rafale de petits coups qui, pris séparément, n’aurait pas fait de mal à une mouche ». Il est possible q’un gringalet pousse une grosse personne sur une balançoire s’il le pousse toujours au bon moment pour permettre une amplification du mouvement.
Ce phénomène a aussi des applications en électricité.
4ème PARTIE : L’ÉNERGIE LIBRE
Introduction
C’est au cours de la conférence du 20 mai 1891 à l’American Institute of Electrical Enginneers de New York, que Tesla a pour la première fois parlé de l’énergie libre. Voici ce qu’il annonce : « Dans quelques générations nos machines seront propulsées par cette énergie disponible à tout endroit de l’univers.[…] Dans l’espace il y a une forme d’énergie. Est-elle statique ou cinétique ? Si elle est statique, toutes nos recherches auront été vaines. Si elle est cinétique – et nous savons qu’elle l’est – ce n’est qu’une question de temps, et l’humanité aura mis en harmonie ses techniques énergétiques avec les grands rouages de la nature ».
Tesla publie le 30 septembre 1894 un article dans lequel il expose sa théorie de la lumière, de la matière, de l’éther et de l’univers et affirme que 90 % de l’énergie des lumières électriques est gaspillée : « j’espère vivre assez longtemps pour être capable de poser une machine au milieu de cette pièce et la faire tourner par la seule énergie du milieu environnant »
Notion d’éther et d’énergie du champ du vide
Le concept d’éther a été introduit par Aristote pour désigner le cinquième élément. Ce terme englobait à l’origine tous les objets qui se trouvaient à l’extérieur de l’atmosphère terrestre. Les physiciens du Moyen-Âge postulait que l’éther est une substance qui remplit l’espace. Newton en a fait aussi référence. Plus tard, Maxwell pense qu’ « il n’y a aucun doute que les espace interplanétaires et interstellaire ne pas vides, mais remplis d’une substance qui existe en très grande quantité qui est régulière »
Des expériences ont été réalisées pour essayer de prouver l’existence de l’éther. Une expérience est restée célèbre. Si l’éther existait, il existerait des « vents d’éther » dues à la rotation de la terre, supposaient les physiciens de l’époque. Deux signaux ont été envoyés : l’un contre courant des vents d’éther, et l’autre dans la même direction. Les scientifiques attendaient un écart entre les temps mis par les deux signaux pour parcourir un même distance. L’expérience ne révéla aucune différence. De ce fait, on assista au refus du concept d’éther. Mais beaucoup de scientifiques pensent encore que le concept de l’éther n’est pas une fiction. D’ailleurs, voici la liste des scientifiques qui postulent pour l’existence de cet élément – pour ne citer que les plus connus :
Paul Dirac (Prix Nobel, 1933)
De Broglie (Prix Nobel, 1929)
A. Michelson (Prix Nobel, 1907)
A. Einstein (Prix Nobel, 1921)
Sir Oliver Lodge
Beaucoup d’autres Prix Nobel
De cet éther, peut être tirée de l’énergie. L’espace présent entre les atomes n’est pas vide, mais rempli d’énergie. Sa concentration est extrêmement élevée, de l’ordre de 5000 kWh par cm3 d’après certaines estimations. Elle est difficilement perceptible, à moins de la faire agir avec des champs électromagnétiques ou de la matière. Il serait impossible de manquer d’énergie car elle est omniprésente. Pour faire une analogie, on peut citer cet exemple : un homme assis au fond de la mer avec une tasse à la main se demande comment il peut remplir sa tasse d’eau. Par analogie, l’eau joue le rôle de l’énergie, et l’homme au fond de la mer, l’Humanité qui vit sur Terre. L’omniprésence de cette énergie nous fait oublier qu’elle existe et qu’elle est infinie.
Mais le concept de l’éther tend peu à peu à s’effacer dans les pensées des grands physiciens de l’époque. A l’âge de 15 ans, Albert Einstein (1879-1955) pensait comme beaucoup d’autres scientifiques, qu’il existait bel et bien un éther que l’espace n’était pas vide. C’est plus tard qu’il abandonna cette idée et qu’il réfuta ensuite pendant de longues années. C’est à ce moment là qu’il développa la théorie relativiste qui s’imposa auprès des physiciens. On ignora tout ce qu’Einstein dit plus tard au sujet de l’éther. En 1934, il revient à cette théorie en disant que l’espace ne pouvait être vide, que l’espace est un médium dynamique.
LES MACHINES À ÉNERGIE LIBRE
La « N-machine » de Bruce DePalma :
Tesla est le pionner dans ce domaine. Il a été le premier à inventer une machine qui construisit une machine qui puisait son énergie dans une source infinie et inépuisable, l’énergie du point zéro, ou
plus communément appelée énergie libre.
Tesla inventa une machine qui est non-seulement capable de s’auto-alimenter, mais qui tire de l’énergie
de l’air environnant.
Son appareil était une bobine à électroaimants, pour laquelle il avait obtenu en 1894 un brevet. La forme de sa bobine permettait au système d’emmagasiner une quantité énorme d’énergie, en n’utilisant qu’une infime partie de cette énergie pour son propre fonctionnement. On peut la comparer à une voiture qui aurait un très grand réservoir d’essence toujours plein, et qui n’utiliserait que deux pour couvrir cent kilomètres.
De nos jours, des machines à énergie libre ont été construites et fonctionnent avec comme seul carburant l’air ambiant. Bruce DePalma est le plus connu des inventeurs en énergie libre avec sa N-machine. Il utilise dans sa machine des aimants très puissants pour mettre l’énergie de l’espace au travail sur la terre, car il considère que « l’aimant est une fenêtre sur l’énergie libre de l’espace ».
Il existe aussi une autre forme d’énergie libre : l’énergie Radiante. Tesla inventa un appareil capable de capter l’énergie directement du soleil. Ce procédé n’est pas très avantageux car son rendement n’est pas très élevé.
Actualités et mise à jour
Il est rare de voir dans les magazines des articles concernant l’éther et encore moins l’énergie libre puisque 95 % des personnes n’en ont jamais entendu parler. Mais dans le « Sciences et Avenir » de janvier 2002, dans le dossier « Les Hérétiques de la Science », Jean Pierre Vigier, probablement considéré comme le plus grand physicien français vivant, défend l’idée d’un éther matériel : « il y a un éther matériel, physique, qui porte les ondes et les particules, exactement comme la mer porte un navire ». Puis il continue en évoquant succinctement l’idée d’une énergie infinie : « Extraire de l’énergie du vide pour la convertir en une source inépuisable : vieux rêve ou fantasme ».
Une expérience a été faite pour essayer de mettre en évidence la force du vide : « Ils construisent une balançoire de 500 micromètres carrés suspendue à quelques centaines de nanomètres du sol. Puis il approche une sphère à moins d’un micromètre. Même sans contact, la balançoire se pencha ».
En physique quantique, le vide n’est pas vraiment vide, il est en fait le siège de fluctuations qui créent des particules virtuelles engendrant sur les plaques une force de pression attractive.
Les conséquences possibles
On peut trouver évidemment trouver une multitude de domaines dans lesquels l’usage d’une énergie propre et infinie serait très bénéfique. On peut citer l’automobile, le chauffage des habitations, plus généralement dans l’industrie. Il serait aussi très profitable de l’utiliser dans le domaine spatial. « Le génie inventif de l’homme nous permettra non seulement de voyager dans l’univers à une vitesse inimaginable, sur une trajectoire fixe. Il nous permettra aussi grâce à l’énergie que l’on pourra tirer de l’espace, d’être autonome et d’y séjourner pendant de longues périodes en consommant peu d’énergie »
Ces appareils à énergie infinie pourraient rendrent indépendants énergiquement la population. On peut imaginer des constructions privées d’appareils, de tailles variables : depuis le générateur dans son jardin, jusqu’à la centrale assez puissante pour éclairer toute une ville. Certains scientifiques pensent que c’est la voie à suivre pour l’avenir. D’autres, au contraire, pensent que « le fait de donner à la société une énergie abondante, bon marché et inoffensive, serait la pire des choses qui pourrait se passer sur cette planète, parce que les gens risqueraient de l’utiliser à des fins par forcément positives ».
Réfléchissons un peu quant aux bienfaits que peuvent nous apporter une énergie propre et infinie : toutes les forêts, mers, lacs, océans, ne seraient plus menacés d’être à nouveau contaminés par des déchets radioactifs, par le pétrole. L’air dans les villes serait plus pur, le bruit incessant des voitures serait moindre. Les industries rejetteraient beaucoup moins de produits polluants dans l’air. Bref, on arriverait à augmenter la vitalité des gens, car ils respirerait un air pur, boirait une eau dépolluée, et se nourrisseraient d’aliments sains.
5ème PARTIE : LA RADIOCOMMUNICATION ET LA TRANSMISSION PAR ONDES
Tesla a ouvert la voie à la transmission d’énergie et d’informations, ainsi que de l’électronique moderne.
À la base de tout : la bobine Tesla…
Une « Bobine Tesla » en fonctionnement :
C’est un transformateur
à air avec des bobines primaires et secondaires réglées sur la résonance qui convertit à hautes fréquences des courants élevés de tensions relativement faibles, en courant faible de hautes tensions.
Tant que les fréquences sont élevées, les courants alternatifs de très hautes tensions s’écoulent largement sur la surface de la peau, sans causer de dommages. Des milliampères pénétrant dans les tissus nerveux peuvent tuer alors que beaucoup d’ampères sur la surface de la peau peuvent être tolérés pendant de brefs instants !
La bobine de Tesla sert en tant que dispositif de production de hautes tensions, toujours utilisé de nos jours sous une forme ou une autre dans tout récepteur radio ou de télévision ; elle deviendra très rapidement une partie de l’équipement de tout laboratoire de recherche universitaire.
Sa bobine a plusieurs applications médicales. En 1890, il est publié un article qui donne les valeurs thérapeutiques sur le corps humain du chauffage interne par des courants de hautes fréquences. Ce phénomène sera connu sous le terme de diathermie. Les médecins s’intéressent de plus en plus à l’oscillateur thérapeutique de Tesla, une petite bobine de tesla. Il vend des bobines médicales à des hôpitaux et laboratoires, ce qui lui rapporte beaucoup d’argent.
LE RADAR
Le radar est l’outil de défense de base de tous les pays du monde.
Tesla découvre le principe du radar en 1900, il le met au point et publie malgré des problèmes financiers les principes de ce qui deviendra, presque 3 décennies plus tard, le radar.
Il fonctionne comme les ultrasons des chauves-souris : on envoie un rayon concentré d’un courant de minuscules charges électriques vibrant à une très grande fréquence, puis après réflexion sur la cible, on réceptionne le rayon et après analyse on obtient une image de la cible.
Quinze ans après la description du radar par tesla, des équipes de chercheurs américains et français travaillent parallèlement d’arrache pied à mettre au point un système fonctionnant selon ses principes. En 1934, une équipe française met au point et installe des radars sur des bateaux et sur des stations terrestres en utilisant des appareils conçus précisément selon les principes énoncés par Tesla. Le radar a été d’une grande aide aux Anglais pendant la 2nd guerre mondiale pour prévenir les attaques aériennes des Allemands.
Les robots télécommandés
Tesla définit les bases de la télé-automatique. Il conçoit qu’on puisse un jour commander des véhicules à des centaines de kilomètres sans qu’il y ait d’équipage, en utilisant la télégraphie sans fil. Il crée deux navires robots télécommandés dont un est submersible.
Ses brevets de 1895 contiennent en réalité les spécifications d’un bateau torpille sans équipage muni de six torpilles de 4,20 mètres. Il affirme qu’un faible nombre de ces engins suffit pour « attaquer et anéantir une armada entière en une heure, et sans que l’ennemi puisse jamais localiser ni identifier la puissance qui le détruit ». Mais les conceptions de Tesla sont trop en avance pour l’époque et les responsables de la défense américaine considèrent son projet comme un rêve irréalisable qu’ils qualifient d’expérience de laboratoire.
Un navire télécommandé :
Tesla qui a tant œuvré pour inaugurer l’ère de l’automatisation, sent qu’il est dans un monde manifestement pas prêt.
Ses recherches le poussent notamment dans certaines bases de l’informatique : des inventeurs de la deuxième partie du 20ème siècle qui voulaient déposer des brevets dans le domaine informatique, se sont aperçus que Tesla les avaient précédés. « je suis étonné par la répugnance qu’éprouvent les gens qui travaillent dans le domaine des ordinateurs à y reconnaître la priorité de tesla, alors que Mrs Brattain, Bardeen, et Schockley ont été couvert d’honneurs pour l’invention du transistor, qui a fait des calculatrices électroniques une réalité physique ».
Radio et télécommunications
En 1893 Tesla fait un nouveau pas pour le progrès de la science en décrivant en détail les principes de l’émission radio. A Saint-Louis, il fait la première expérience publique de communication radio, fait que l’on attribue généralement à Marconi en 1895. Il s’ensuis une compétition acharnée entre les deux hommes.
Marconi arrive à Londres avec un récepteur TSF. Son dispositif est identique à celui que Tesla a décrit en 1893. Marconi nie avoir eu connaissance de système de Tesla, mais le service chargé d’examiner les demandes de brevets aux Etats-Unis rejettera cette dénégation invraisemblable. Marconi a transmis le 12 décembre 1901 la lettre S à travers l’océan Atlantique. Cette nouvelle fait la presse mondiale. En fait, il a utilisé le brevet fondamental de Tesla (n°645.576), déposé en 1897 et homologué le 20 mars 1900. Il a aussi utilisé 17 autres de ses brevets. Mais en 1943, la confusion est finie : la cour suprême des Etats-Unis établit que Tesla est bien l’auteur de la découverte initiale de la radio, injustement accordée à Marconi. Cette information n’a pas encore pénétré les encyclopédies mais les ingénieurs radio s’accordent pour dire que c’est bien Tesla qui est à la base de la radio.
À la suite, nombreux sont ceux qui vont utiliser les brevets de Tesla pour développer la radio commerciale.
Son premier dispositif de radio :
Grâce
à son puissant récepteur radio, il perçoit d’étranges sons rythmés. Il semble en fait qu’il ait entendu des ondes radio émises par les étoiles. Il faudra attendre 1920 pour que les astronomes isolent
à nouveau ces signaux, connus sous le nom d’ondes cosmiques. Aujourd’hui l’écoute des étoiles est une pratique courante.
Le projet de radiodiffusion mondiale
Tesla n’abandonnera jamais l’idée d’un réseau mondial de télécoms. Il sait toutefois que l’époque n’est pas encore mûre et que le financement est un problème insurmontable : « l’humanité n’a pas atteint un stade suffisamment avancé pour se laisser mener de bon gré par l’instinct aigu du découvreur »
Tesla construit la tour de Wardenclyffe qui se veut être un centre mondial de radiodiffusion disposant de tous les services que l’on utilise aujourd’hui : interconnexions téléphoniques, synchronisation des faisceaux horaires, diffusion de bulletins d’informations sur les cours de la bourse, récepteurs de poches, réseaux de communications privées. Il en parle comme d’un système mondial de transmission d’informations.
6ème PARTIE : LA TRANSMISSION D’ÉNERGIE ET L’UTILISATION DES ONDES HAUTES ET BASSES FRÉQUENCES
En 1899, Tesla se retire dans les montagnes de Colorado Springs afin de faire des expériences sur les ondes électromagnétiques. Il construisit un laboratoire à haute tension, à haute altitude qui entourait la plus grosse bobine Tesla au monde. Ses recherches précèdent toutes celles sur l’électromagnétisme, « ses expériences présentent une étonnante similarité avec les travaux les plus tardifs en matière de communications à très basses fréquences ».
Au cours de ses multiples séjours dans son laboratoire, il réussit à concevoir un système de transmission d’énergie sans fil et découvrit le phénomène des ondes stationnaires. Nous verrons ensuite quelles sont les applications des inventions et découvertes de Tesla.
Transmission d’énergie sans fil
Lors d’une conférence, Tesla annonce qu’il peut voir son rêve le plus cher se réaliser : la transmission d’énergie sans aucun câble de connexion.
Un exemple de transmission d’énergie :
Tesla croit non seulement que le globe est un bon conducteur, mais que les hautes couches
de l’atmosphères sont conductrices et que celles qui sont situées à des altitudes très modérées qui sont aisément accessibles, constituent une parfaite voie conductrice. Ainsi, il pense prouver ainsi que
l’on peut transmettre de grandes quantités d’énergie électrique dans les couches supérieures de l’atmosphère, sur n’importe quelle distance.
En plus du projet de radiocommunication qu’il pensait mettre en place avec la tour de Wardenclyffe, il veut établir un système de transmission d’énergie sans fil. Par conséquent, on disposerait d’énergie électrique en n’importe quel point du globe. C’est précisément avec ce projet que Morgan, le créancier de Tesla à cette époque, n’était pas d’accord. Morgan décida de retirer son aide financière. L’excuse était : « si tout le monde peut puiser de l’énergie où mettrons-nous le compteur ? ». Elle fut détruite en 1917.
Certaines de ses expériences à Colorado Springs sont relatés par des journalistes. D’après eux, Tesla a réussi à allumer 200 lampes à incandescence de 50 watts à 42 km de sa station.
Si ce procédé vient un jour à être mis en place dans le monde, il serait « sur le point de provoquer une révolution industrielle d’une ampleur inégalée ».
Analogie sur le principe de la transmission d’énergie sans fil:
Découverte
de l’onde stationnaire
Le 3 juillet 1899 est le jour de la découverte par Tesla du phénomène des ondes stationnaires. Voici les observations qu’il lui ont permis de déduire l’existence de ce phénomène.
Dans le Colorado, de nombreuses décharges naturelles d’éclairs s’observent régulièrement. Ce 3 juillet, il remarqua que ses appareils réagissent parfois plus fort aux décharges très éloignés qu’à celles qui sont plus proches. Un violent orage éclate : des signes s’intensifièrent, puis après être passé par un maximum, il décrurent, puis cessèrent. Tesla a observé ce phénomène à intervalle réguliers. Puis l’orage se déplace. Il se retrouve à 300 km et ce phénomène continue à se manifester avec une force constante.
Autrement appelée « onde Tesla », l’onde stationnaire, comme son nom l’indique, ne se déplace pas, contrairement aux ondes hertziennes. C’est par addition de deux ondes hertziennes que l’on obtient une onde stationnaire. Si l’on définit un point de l’espace et une onde passant par ce point. Le point va parcourir toute l’onde, et par conséquent le point et l’onde auront un mouvement relatif. Si l’on ajoute deux ondes hertziennes de même fréquence, on obtient une onde stationnaire. Le point précédemment défini, restera fixe par rapport à la nouvelle onde ainsi formée.
Ondes Stationnaires- exemple
2:
On voit bien que la courbe noire ne se déplace que verticalement et n’a pas de mouvement de translation, alors que les courbes verte et rouge se déplacent
horizontalement.
Exploitation des découvertes de Tesla dans le domaine des ondes
Les découvertes de Tesla sur les ondes électromagnétiques peuvent avoir des répercutions importantes sur l’Humanité si elles sont utilisées à des fins destructrices. Voici quelques-uns uns des ces phénomènes qui peuvent être provoqués par l’utilisation des ondes électromagnétiques à très basses fréquences :
-Influence sur le climat
-Brouillage des liaisons radios et destruction des appareils électroniques
-Interférences dans les ondes émises par le cerveau, provoquant des troubles, des bourdonnements sonores
Nous verrons comment ces ondes sont probablement utilisées par des grandes institutions gouvernementales pour contrôler le climat, pour influencer la population, et certains comportements.
La guerre météorologique : le projet HAARP
HAARP est un centre de recherche Américain installé en Alaska, sur l’ionosphère. HAARP signifie ”High-frequency Active Auroral Research”. HAARP se fonde sur les recherches de Bernard Eastlund, qui s’est lui-même inspiré des travaux de Nikola Tesla.
Officiellement les scientifiques de ce centre de recherche travaillent sur un émetteur radio afin d’étudier l’ionosphère.
Officieusement, HAARP veut tirer parti de l’ionosphère pour en faire une arme à énergie. L’ionosphère est constituée de particules ionisées hautement chargées en énergie. Des recherches menées depuis un siècle par une série de scientifiques ont mis en évidence le fait que ce ”manteau énergétique” protégeant la terre, pouvait avec une technologie appropriée, devenir une arme stratégique de toute première importance.
Le projet étudie un puissant dispositif d’émissions à hautes fréquences, qui pourrait modifier localement l’ionosphère afin de neutraliser radars et radios, mais ce type d’émissions permettrait, d’après un chercheur au département de la Défense, d’agir sur la formation de phénomènes météorologiques, c’est un début de manipulation du climat.
C’est un projet de 30 millions de dollars de coût annuel que l’armée américaine présente comme d’innocente recherches sur l’ionosphère. Les promoteurs n’épargnent pas leurs dollars en campagnes de relations publiques et en publicité pour rassurer l’opinion américaine. Néanmoins, il est difficile de croire qu’il ne s’agit pas d’un projet à des fins militaires lorsque l’on sait que les vrais bailleurs de fond sont la Navy, l’Air Force, Raython (géant américain de l’armement) et le Département de la Défense.
Certaines institutions européennes sont inquiètent et « demande[nt] que soit établi un accord international visant à interdire à l’échelle mondiale tout développement et déploiement d’armes qui pourraient ouvrir la porte à toute forme de manipulation de l’homme ». Elles « considère[nt] que le projet HAARP, en raison de son impact général sur l’environnement, est un problème d’une portée mondiale ».
La guerre invisible des ondes
La recherche dans ce domaine est une préoccupation importante, ancienne et permanente des militaires. Ces redoutables armes sont en développement depuis plusieurs décennies, notamment dans les laboratoires Américains et russes. Les armes électromagnétiques sont développées dans le cadre d’inquiétantes collaborations entre le département de la Défense et de la Justice. Il existe un type d’arme très intéressant : les armes à basse et très basse fréquences : c’est la technologie ELF, Extremely Low Frequencies.
La fréquence de résonance de l’ionosphère est presque identique à celle du cerveau humain. L’ionosphère est donc une onde porteuse parfaite à partir de laquelle on peut atteindre le cerveau sans changer la fréquence d’émission. C’est ce lien entre la sphère électromagnétique de la Terre et les fréquences de résonances du cerveau qui est à la base des armes stratégiques.
Au cours du XXème siècle, on peut discerner quelques utilisations de ces ondes. De façon générale, elles sont utilisées pour refroidir les ardeurs d’association ou d’organes politique et syndicaux jugé trop militants par certains dirigeants. En voici un inventaire :
1962 : le signal de Moscou : les autorités américaines constatèrent que le personnel de leur ambassade à Moscou était exposé à des niveaux élevés de rayonnement électromagnétique. Il a fallu des années pour réaliser que les Soviétiques cherchaient à induire des effets biologiques, psychologiques et physiologiques.
1983-84 : les soviétiques voulaient les utiliser contre les forces rebelles afghanes
1987 : « un type d’arme radicalement nouveau, capable de dégrader les systèmes électroniques ou pouvant être utilisé en mode antipersonnel » (rapport du département américain de la Défense).
1989 : Boris Eltsine reconnaissait que le KGB avait en son temps étudié le recours à des émissions ELF pour tuer à distance par arrêt de la fonction cardiaque.
1996 : parution d’un article de Scientific Advisory Commitee de l’US air Force : «on peut envisager le développement de sources d’énergies électromagnétiques, dont le signal peut être
pulsé, mis en forme et dirigé, qui pourront être couplés avec le corps humain de façon à empêcher les mouvements musculaires volontaires et à contrôler les émotions (et les actions), endormir,
transmettre des suggestions, interférer avec la mémoire à court et à long terme, produire l’acquisition d’expérience ou effacé des expériences acquises»
Effets de ces ondes sur le corps humain
Au début des années 60, Pr Herbert König, a mis en évidence un certain nombre d’effet des basses et très basses fréquences. Dans les années 70, l’armée américaine a secrètement piloté des programmes de recherches sur ces effets. Ils ont confirmé la réalité des terribles effets induits par ces champs, c’est à dire des troubles cardiaques, l’altération des réflexes, un état de maladresse. Une irradiation chronique ou continue peut être à l’origine de tendances dépressives, troubles de la mémoire, affectation cutanées, hémorragies oculaires et même cancers.
Daniel Depris, physicien donne quelques explications : « la composante magnétique des rayonnements […] peut modifier le processus physico-chimique qui régit le métabolisme endocrinien, notamment au niveau de la glande thyroïde ».
On a pu aussi constaté la publication d’un mémorandum intitulé « entraînement biologique du cerveau par les radiations de basse fréquence » rédigé pour la NASA.
Exemple d’utilisation de ces armes psychotroniques en temps de guerre
Le principe de l’utilisation est simple : avec ces armes, il est aisé de priver de la conscience de veille tout soldat qui part à l’attaque et de lui enlever toute agressivité.
Le magazine 2000, n°97, déc. 93 indique à propos des armes psychotroniques :
« Vous souvenez-vous des images de la Guerre du Golfe lorsque des milliers de soldats irakiens sortirent de leurs tranchées en capitulant ? Ils se rendirent même aux journalistes qu’ils prenaient pour des soldats et ils furent la proie bienvenue des canons de l’artillerie américaine, bien qu’ils aient brandi leurs drapeaux blancs. De plus en plus d’experts militaires sont persuadés que ce n’est pas le ravitaillement, insuffisant des troupes de Saddam Hussein qui a provoqué cette capitulation soudaine et massive mais que ce sont bien les armes psychotroniques des Etats-Unis ».
On peut assister à la mise en place d’une arme capable de paralyser l’ennemi. Avec ce type d’arme, le premier but est de couper les systèmes électroniques ennemis. D’autres appareils produisent des ultrasons, des ondes de sons ELF qui provoquent des nausées et des vomissements et perturbent à l’extrême le sens de l’orientation des personnes ciblées.
Les armes à « énergie dirigée »
Tesla avait écrit sa théorie sur les armes à énergie dirigée avant le début du vingtième siècle. Son fameux « rayon de la mort », pensait-il, installerait la paix sur la terre parce qu’il pourrait détruire des cités entières partout dans le monde et instantanément.
Tesla annonce : « mon dispositif projette des particules de dimension relativement grande ou au contraire microscopique, nous permettant de transmettre sur une petite surface, à grande distance, une énergie des trillions de fois supérieure à celle de tout autre rayonnement ».
« Le Rayon de la Mort » :
Nikola Tesla a œuvré toute sa vie pour la science, pour l’avancée de la connaissance et des techniques. Toute sa vie a été dédiée à l’étude de l’électricité et du magnétisme ainsi qu’à leurs applications possibles qui pour une très grande partie entrent en jeu dans notre société moderne.
À sa mort, des messages affluent du monde entier et déplorent la perte d’un grand génie. Trois lauréats du prix Nobel, Millikan, Compton, et James Frank lui adresseront un ultime hommage : « un des esprits les plus extraordinaires du monde, qui a montré la voie des importants développements techniques des temps modernes ».
Il est difficile de trouver un autre homme dont les visions et les inventions ont eu autant de répercussions directes que celles de Nikola Tesla sur le style de vie de toutes les populations des pays industrialisés. Comme le dit si bien B.A. Behrend, président du American Institute of Electrical Engineers : « Si nous devions saisir et éliminer de notre monde industriel les résultats des travaux de monsieur Tesla, les roues de l’industrie s’arrêteraient, les trains seraient immobilisés, nos villes seraient jetées dans la pénombre et nos usines seraient mortes […] Son nom marque une époque dans l’avancement de la science électrique. De ce travail jaillit une révolution… »
Compte rendu de Débat
Quelle est la réaction de la société face
aux nouvelles théories
scientifiques, découvertes et inventions ?
Le
débat commence sur l’énumération des découvertes et des inventions qui ont mis un certain temps avant d’être acceptées.
Il a été cité spontanément beaucoup d’exemples : la rotation de la Terre autour du Soleil (Galilée), la Terre ronde, la théorie de Darwin sur l’évolution ainsi que la disparition des dinosaures, et plus récemment la dérive des continents et les théories quantiques et relativistes (Einstein).
Est ensuite demandé à l’assistance les raisons qui empêchent à ces théories d’être acceptées dès le départ.
La première réponse fut l’appréhension du changement qui peut déranger certains et même certaines institutions, comme l’Eglise : des théories remettaient en cause quelques « vérités » religieuses (l’homme au centre de l’Univers). Il est de plus difficile d’admettre que l’on se soit trompé et de remettre en cause les fondements de sa pensée (relativité, la Terre ronde,…). Aussi, certaines théories sont d’autant plus difficiles à admettre qu’elles sont abstraites et donc difficile à s’imaginer.
On peut penser que de nos jours, il existe d’autres raisons d’ordres politique ou économique.
On a tout d’abord relevé une opposition entre le secteur public et privé, que certains attribuent à la forme de puissance qu’est l’argent. Grâce à cet outil, des grandes entreprises richissimes échappent aux contrôles gouvernementaux grâce à l’influence qu’elles ont sur le monde économique. Il existe une distinction entre les objectifs publics et les objectifs privés (gagner le plus d’argent). Il y a de plus moins de contrôles dans le secteur privé. Plusieurs exemples ont été cités, comme les entreprises pharmaceutiques et pétrolières qui forment des lobbies. Il a aussi été mis en évidence le problème du clonage, financé par des milliardaires, et qui échappe au contrôle des autorités.
On s’est ensuite demandé si ces grandes entreprises puissantes pouvaient influencer les domaines de recherche.
Il est apparu que le monde industriel n’avait comme souci principal que la rentabilité. Les ventes de brevets et procédés technologiques se négocient à prix d’or, ainsi la recherche se dirige essentiellement vers les domaines permettant la création de richesses. L’énergie occupe une place importante dans les préoccupations des entreprises.
Le débat s’oriente ensuite vers la possibilité de cacher certaines découvertes pour éviter de perdre de l’argent, ou tout du moins pour en gagner plus.
Trois exemples ont été cités…
Le premier concerne la pharmacologie : les grands groupes possèdent des brevets sur des médicaments qu’ils vendent très chers, alors que l’arrivée des médicaments génériques réduit fortement la facture. La trithérapie pour diminuer les effets du SIDA se vend très cher, ce qui ne permet pas aux pays Africains de se la procurer ; mais d’un autre côté, la recherche a coûté cher. On peut se demander quels intérêts auraient les grands laboratoires à commercialiser un vaccin qui arrêterait l’épidémie et freinerait donc les rentrées d’argent (bénéfices seulement à court terme).
L’invention d’une source d’énergie disponible en tout point de la Terre (thème développé dans l’exposé) poserait le problème de la facturation : en effet il ne serait pas possible de poser des compteurs. Les grands groupes énergétiques, notamment pétroliers, ne pourraient que s’opposer à cette nouvelle source d’énergie, même si elle réduisait le problème des inégalités dans le monde. L’accent est mis sur la toute puissance des lobbies pétroliers qui exercent de fortes pressions sur les États, dépendants de leur énergie.
Le problème a aussi été montré dans l’industrie automobile. Des innovations technologiques (airbag, ABS, ESP,…) n’ont pas été mises immédiatement en circulation (à part sur les voitures haut de gamme), non pour une raison de coût de fabrication mais afin de montrer au public une évolution constante des moyens de sécurité. Tant qu’une évolution n’est pas demandée par le public, les modèles n’évoluent pas car ils se vendent très bien dans leur état d’avancée technique.
Une dernière interrogation a été posée : la gloire est-elle plus importante que l’argent ? Plus précisément est ce que l’on préfère de nos jours faire une découverte servant l’humanité et ainsi être reconnu, par exemple par un Prix Nobel, ou bien travailler ²dans l’ombre² mais en gagnant des sommes fabuleuses car on permet à une entreprise de gagner de l’argent.
Il est apparu que la tendance penchait plutôt vers l’emprise de l’argent ; de toute façon l’argent procure une gloire à lui tout seul, il n’y a qu’à voir l’étalage des richesses qui se produit dans notre société pour s’en convaincre. Il est donc plausible que l’argent supplante la gloire ou la dignité dans le monde moderne.
On retiendra de ce débat qu’il y a une opposition entre le secteur public et le secteur privé dans le domaine de la recherche. On a, dans ce dernier, « perdu la vocation de la science qui est de faire avancer la technologie et de comprendre le monde ». Ce constat a été attribué à l’argent, qui a une place prépondérante dans notre société et dans notre vie ; ce pouvoir permet notamment aux sociétés fortunées, surtout dans le domaine de l’énergie et de la pharmacie, d’user d’influence et ainsi de contourner les lois ou d’exercer un contrôle sur la recherche, dans le but de faire toujours plus de profit.
En annexe, le débat s’est terminé sur l’énumération – non exhaustive – des domaines de recherche prometteurs pour le siècle prochain :
La théorie qui permettra la réunification des 4 forces de l’Univers (gravitationnelle, électromagnétique, nucléaire faible, nucléaire forte)
La fusion nucléaire permettant de produire de l’énergie avec l’hydrogène
L’intelligence
artificielle
Livres à consulter :
« Coucou c’est Tesl – l’énergie libre », auteurs collectifs internationaux, Editions Felix, 1997.
« Le livre jaune n°5 », auteurs collectifs
internationaux, Editions Felix, 1997.
Energie libre et technologies, Jeane Manning, Louise Courteau éditrice, 2001.
Vidéo
« Science et Vie », dossier « La guerre des ondes », mensuel n°1009, octobre 2001.
« Sciences et Avenir », dossier « Les hérétiques de la science », mensuel, Janvier 2002.
« Sciences et Avenir », article « Gare à l’effet Casimir », mensuel, Décembre 2001.
Sites Internet
recherche Quanthomme : http://www.multimania.com/quanthomme/
les machines à énergie libre : http://www.multimania.com/pascuser/energie.html
Tesla, the electric magician : http://www.parascope.com/en/1096/tesindex.htm
L’énergie du point zéro : http://users.skynet.be/kurtgode/
The home of primordial
energy : http://depalma.pair.com/index.html
http://www.pbs.org/tesla
Au cours de nos recherches, nous avons créé un annuaire qui répertorie des liens vers des sites contenant des informations sur l’énergie libre et sur une forme de complot que nous avons évoqués au cours de l’exposé : http://secretlinks.free.fr
« ÉNERGIE LIBRE ET TECHNOLOGIES » de Jeane Manning
(Dernier trimestre 2001, Louise Courteau Éditrice)
Le monde se trouve aujourd’hui dans une quête assidue de nouveaux moyens de productions d’énergie qui respectent l’environnement. Ce livre, paru fin 2001, a été écrit dans ce cadre, et présente des inventeurs qui sont convaincus que nous sommes entourés d’une mer d’énergie, sur laquelle nous pourrons nous brancher. J’ai choisi ce livre car il aborde largement la notion d’énergie du vide, appelée énergie libre, que nous avons détaillée dans l’exposé.
Jeane Manning est une journaliste indépendante qui depuis 1981, voyage à travers l’Amérique du Nord et l’Europe, pour rendre compte des technologies en nouvelle énergie. Ses articles et ses essais ont été publiés dans de nombreuses revues spécialisées.
Le livre commence par présenter les fondements de la nouvelle énergie. L’historique de la nouvelle énergie est retracée et sont présentés les personnes du passé qui ont été en avance sur leur temps dans leurs travaux. Nikola Tesla est même considéré comme le père de l’énergie libre.
La deuxième partie analyse de plus près l’énergie de l’espace, la physique sous-jacente et se penche sur quelques inventeurs qui ont réussi à la capter. De nombreuses machines et procédés sont présentés en expliqués en termes techniques.
La partie suivante explorent les autres technologies en nouvelles énergies, comme la fusion froide et la technologie thermique. Il est présentés des nouveaux moyens de productions d’énergie : l’énergie hydraulique, énergie solaire, énergie thermique. Mais les procédés qui mettent en jeu ces énergies plus conventionnels sont tout aussi révolutionnaires.
Pour finir, l’auteur traite des problèmes et des avantages liés au développement des nouvelles énergies. Il s’interroge comment la société pourrait passer d’une économie basée sur les énergies fossiles à une économie basée sur les nouvelles énergies. Les scientifiques et les inventeurs rencontrent des obstacles, essentiellement des harcèlements, concernant la mise sur le marché de leurs inventions. Le pouvoir de voir un jour apparaître sur le marché des machines à énergie libre est entre nos mains.
Telle est la première phrase de la préface écrite par Dr Brian O’Leary, physicien et ancien astronome : « ceci pourrait être l’un des livres les plus importants que vous ayez jamais lus ». Il va sans dire que ce livre présente des informations hors du commun et on ne peut qu’être affecté.
Ce livre est un hommage à tous les inventeurs et scientifiques qui furent les pionniers sur la scène des énergies nouvelles. Ces énergies sont infinies et en harmonie avec la nature. Il retrace la vie de nombreux inventeurs qui se sont dévoués pleinement à la recherche de ces nouveaux équipements, sacrifiant presque leurs vie pour la science.
Ils ont été victimes d’harcèlements et certains trouvèrent même la mort. Il est absolument nécessaire que ces informations parviennent au grand public pour que tout le monde sache ce qu’il se passe réellement concernant le secteur des nouvelles énergies. Le «Syndrome de la Répression » s’infiltre dans chaque aspect de tout développement révolutionnaire. Il faut mettre au courant le grand public au sujet de l’existence de tels moyens de production et œuvré pour la mise en place d’une économie basée sur les nouvelles énergies.
Je fus aussi très étonné de voir que tant d’inventions qui sont en harmonie avec la nature ont été construites et fonctionnent sans que personne n’en ait jamais pris connaissance. Ces informations si précieuses ont bien été gardées du grand public. La possibilité d’une indépendance totale vis à vis de l’énergie n’est pas une utopie.
Si tout le monde prenait la peine de s’informer et de prendre conscience des informations qui sont évoquées dans ce livre, la société pourrait subir des bouleversements sans précédant.
LA GUERRE DES ONDES
Sciences et vie n°1009 – octobre 2001
L’article traite de l’utilisation des ondes dans un domaine militaire. Ces armes « du futur » sont à énergie dirigée, elles envoient des ondes électromagnétiques dans une direction précise. Elles neutralisent l’ennemi, matériellement ou humainement, sans détruire la zone visée. Ces armes se classent selon la fréquence du rayonnement.
Les armes à basses ou très basses fréquence SLF et ELF (Super [30-300Hz] ou Extremely [0-30Hz] Low Frequencies) sont produites grâce à de grandes antennes semblables aux relais hertziens. Elles sont non-ionisantes, elles ne peuvent pas créer de dommages cellulaires. Les études montrent cependant qu’elles engendrent des troubles cérébraux (interaction avec la mémoire, altération des réflexes et des mouvements volontaires, contrôle des émotions , troubles cardiaques) car elles ont des fréquences proches de celles du cerveau ; elles ont été utilisées notamment en 1962 : le « Signal de Moscou ». Elles ne créent pas de dégâts matériels.
Les armes à micro-ondes (3.1010-3.1013Hz soit une longueur d’onde de 10-6m à 1cm) sont ionisantes : elles détruisent les tissus et chauffent les molécules d’eau (principe du four). Elles sont redoutables et peuvent atteindre, par l’intermédiaire de gigantesques antennes ou de compresseurs de flux terrestres (une explosion ou une puissante source d’énergie créent un fort courant dans une bobine de cuivre, ce qui induit une impulsion électromagnétique), transportés par missile ou dans l’espace (« Guerre des Etoiles »), une puissance de quelques milliers de milliards de Watts, ce qui équivaut à l’explosion d’une bombe à Hydrogène (le rayonnement n’a pas la même fréquence mais les effets se ressemblent). Sous une telle intensité de micro-ondes, les êtres vivants cuisent littéralement et tout le matériel électronique et informatique est instantanément détruit dans un très large périmètre. Cela ressemble à une explosion nucléaire sans le souffle ni la radioactivité (les émissions électromagnétiques occupent une place importante dans la dévastation d’une bombe H). Ces armes terribles ont déjà été utilisées par les Soviétiques contre les rebelles Afghans en 1984 et par les Américains pendant l’opération Tempête du désert de la Guerre du Golfe contre les systèmes de défense antiaériens et les postes de commandement irakiens.
Il existe aussi les ondes à hautes fréquences, que les USA étudient dans le cadre du projet HAARP. Ces ondes peuvent modifier localement l’ionosphère, et neutraliser radar et radio qui l’utilisent comme réflecteur ; elles pourraient aussi influencer le climat et devenir de terribles armes climatiques.
On peut se demander pourquoi l’existence des armes électromagnétiques, ayant des effets aussi importants que dangereux, est aussi peu divulgué, que se soit par les militaires ou les scientifiques. Les ondes, invisibles, difficilement détectables, passent pratiquement inaperçues dans la panoplie des militaires, alors qu’elles sont peut-être encore plus destructrices que les armes que le 20ème siècle a apportées : contrôle des personnes (basses fréquences), mêmes effets que la bombe atomique sans explosion (micro-ondes), contrôle climatique.
Il est étonnant de voir que les avis des scientifiques sur les effets des ondes basses fréquences sur l’homme soient partagés alors que les militaires les utilisent depuis longtemps (Signal de Moscou : 1962). Les compresseurs de flux et leurs micro-ondes sont opérationnels (Guerre du Golfe : 1991) et pourtant peu de monde semblent s’intéresser à leurs effets dévastateurs. L’article parle d’un « épais silence » autour de ces recherches, cela rejoint l’idée que les forces armées et les gouvernements cherchent à camoufler ces armes qui peuvent faire agir les personnes contre leur volonté, ce qui est contraire aux Droits de l’Homme, ou avoir des conséquences terribles sans que l’on puisse forcément en connaître l’origine (compresseurs de flux). Ces armes électromagnétiques ont des enjeux militaires, stratégiques et opérationnels considérables, et les gouvernements se gardent bien d’en divulguer la connaissance.
Cette idée rejoint la thèse implicite soutenue dans notre dossier . Certaines découvertes ou inventions, certains faits, sont cachées aux yeux du public pour des enjeux militaires, économiques ou politiques. Cela apparaît quand on relève les incohérences dans les informations qu’on (ce « on » reste à définir) nous donne, par exemple pour les sujets suivants : énergie, assassinat de Kennedy, Tesla, attentat du World Trade Center, extraterrestres…
Conclusion Générale…
Cet exposé, durant sa réalisation, nous a beaucoup fait réfléchir sur le rapport entre la science et le monde moderne.
Ainsi Nikola Tesla, qui a fait nombre de découvertes, et qui de son temps (au début du siècle) était l’un des scientifiques les plus reconnus, est passé dans l’oubli et n’est même pas mentionné dans les livres scientifiques ou les manuels scolaires. Les traces écrites parlant de lui sont rares, très peu de livres parlent de lui, et de façon succincte. Par contre, les sites Internet foisonnent sur lui en le présentant comme l’inventeur d’une machine permettant de créer de l’énergie à partir du vide : la machine à énergie libre. D’après ces personnes, plusieurs machines de ce type auraient été construites et fonctionneraient, cependant elles affirment que les lobbies pétroliers et certaines institutions cherchent à cacher depuis longtemps cette invention qui permettrait d’obtenir de l’énergie gratuite et à volonté. L’une des hypothèses expliquant l’oubli de Tesla serait donc ce « complot » contre la connaissance de cette invention, formidable si elle existe réellement.
L’absence de documents a été un obstacle à la réalisation de notre dossier, mais à force de recherches, notamment sur Internet, nous avons réussi à trouver certaines informations. La difficulté a aussi été de rester objectifs devant certains sites qui parlaient un peu trop vite peut-être de « complot ». Ce qui est sûr, c’est qu’il a énormément œuvré dans l’avancé technologique de notre siècle, soit par ses inventions (courant alternatif, radiocommunication,…), soit par les principes qu’il a posés et qui ont permis à d’autre de faire avancer la science (principe du radar,…).
Nous continuons nos recherches pour peut-être comprendre un jour un peu mieux son œuvre.
Nous espérons que cet exposé intriguera suffisamment pour que certaines personnes aient la curiosité de voir par eux-mêmes que quelque chose n’est pas très clair autour de Nikola Tesla.
Sources: http://cerfbleu.free.fr/serieux/tesla/exposeweb.htm
Complément>>
L’électromagnétisme scalaire est une extension de l’électromagnétisme (EM) actuelle qui inclut la gravitation. C’est une théorie unifiée
pouvant être directement expérimentée. Ses bases ont été découvertes par Nikola Tesla. Dans l’extension EM scalaire, l’énergie du champ EM peut être transformée en énergie de gravitationnel
est vice versa. Cette transformation énergétique peut être structurée et localisée sur des zones ou des objets spécifiques.
La « charge électrique » d’une particule chargée (celle d’un atome ou des protons de son noyau) représente une différence d’intensité (potentiel) de fux entre la particule locale
et son vide environnant.
C’est un épanchement continuel de la charge gravitationnelle et de la charge électrique. Si cet épanchement
est inversé ou arrêté, il ce produit un effet radical sur la charge gravitationnelle : Le potentiel-5 et la charge-5 deviennent respectivement un potentiel-4-G et une charge-4-G.
En « chargeant » la structure EM scalaire d’un objet, on le charge aussi gravitationnellement. Un « canal d’épanchement » se produit alors à travers le champ
de force 4-G. Dans un noyau les nucléons vont et viennent continuellement entre protons et neutrons, ce qui fait que la charge électrique est « éparpillée » à travers le noyau et partagée par tout les nucléons.
Chaque isotope a alors son propre et unique « pattern d’ensemble » de fréquences scalaires d’expansion de Fourrier, d’amplitudes, etc.
Bien que ce pattern peut être reproduit artificiellement et être émis par des émetteurs EM modifiés, il y a cependant, une sorte de pattern (EG) d’EM scalaire « clef maîtresse »
pour les nucléons (protons et nucléons s’intervertissent en échangeant des courants de charges virtuels). Si on inverse la charge par l’inversion de cette structure et qu’on applique cette « charge inversée
à une masse », pour un observateur externe cette masse paraîtra de plus en plus légère (acquisition d’une masse négative) et son inertie de moins en moins importante (acquisition d’une inertie négative).
L’objet subira alors une accélération l’éloignant de la Terre (il tombera vers le haut au lieu de tomber vers le bas). Cela
engendrera aussi d’étranges effets sur le temps, un objet pourra ce déplacer plus lentement à travers le temps que l’observateur dans le laboratoire, ou même ce déplacer en arrière dans le temps par rapport
à l’observateur.
Un exemple concret :
Si l’on prend 2 aimant, chaque aimant à une polarité nord, et une polarité sud et quand on les rapproches en fonction de cette polarité les 2 aimants s’attirent ou au
contraire ce repoussent. Si ils s’attirent, c’est que les polarités des 2 aimants sont différentes (nord et sud) et si il ce repoussent ces qu’au contraire la polarité des 2 aimants est identique (nord et nord). Tout
objet (récepteur) évolue donc en fonction de sa polarité par rapport à une masse plus importante (émetteur). Il est donc tout à fait possible même irréfutable que l’on puisse adapté par des
moyens électromagnétique scalaire la « polarité gravitationelle » d’un objet comme un vaisseau spatial par rapport à la terre pour diminuer, annuler ou inversé complétement l’attraction électromagnétique
Terrestre.
la résonance électromagnétique scalaire, ou résonance électrogravitationnelle.
En premier, imaginez que vous ayez une cavité résonnante standard, dans cette cavité on a une onde EM résonnante qui va et vient,
selon les conventions, le vecteur de champ-E et le vecteur de champ-B sont à angle droit dans ce front d’onde en mouvement. Lorsque l’onde va et vient, les vecteurs varient en allant et venant ; cependant, à n’importe quel point
entre les parois, les deux vecteurs ont toujours la même valeur. Donc notre onde EM résonnante forme une onde stationnaire dans la cavité.
Maintenant
imaginez qu’un second front d’onde, précisément comme le premier et de la même fréquence, est superposé au premier et voyage avec lui. Cette seconde onde — « l’anti-onde » —
a ses vecteurs forces déphasés de 180 degrés d’avec les vecteurs forces de l’onde de référence. En conséquence la somme des champs-E et des champs-B des deux ondes superposées est toujours égale
à zéro, en n’importe quel point de la cavité. Pour un observateur externe, la cavité contient des champs de forces électromagnétiques non-ordinaires, d’où une énergie EM non-ordinaire.
Cependant la densité d’énergie d’une onde sinusoïdale EM dans le vide est donnée par :
Densité 2 [E + B] / 8 Pi
Cette densité d’énergie est
toujours positive, de là la densité d’énergie des deux ondes en n’importe quel point entre les murs est égale à :
2
* 2 [E + B] / 4 Pi
où E = E(x) ; B = B(x)
Ainsi
la densité d’énergie du vide varie avec X, rigoureusement, puisque la résultante des champs E et B est de zéro, cela décrit une onde gravitationnelle stationnaire. En conséquence nous avons une onde EG stationnaire
existant dans la cavité, voici un exemple de résonance scalaire. Rigoureusement la cavité a une masse et une inertie, pour un observateur extérieur, en résultat des deux courbures d’espaces-temps qu’elle contient.
Notez que dans un demi cycle la densité d’énergie du vide est plus grande qu’en ambiance, et dans l’autre demi cycle elle est moins
grande ; dans la zone d’un demi cycle le temps s’écoule à un rythme plus rapide que pour l’observateur ambiant, et dans l’autre demi cycle le temps s’écoule à un rythme plus lent que pour l’observateur
ambiant. Une moitié du cycle semble contenir la charge électrique et l’autre semble contenir la charge positive.
Un demi cycle semble contenir un pôle nord (potentiel scalaire magnéto-statique positif), et l’autre
demi cycle semble contenir un pôle sud (potentiel scalaire magnéto-statique négatif).
Peut-être que maintenant on peut commencer
à comprendre pourquoi un électron en continuelle accélération sur son orbite atomique n’émet pas d’énergie EM, en complète violation des équations de Maxwell, l’électron n’est
pas comme tel mais un aspect complexe.
La résonance scalaire n’est pas dans les manuels conventionnels.
La résonance scalaire est une multi-résonance électromagnétique particulière de somme zéro, de sorte qu’elle n’agit pas d’une façon
électromagnétique.
Une résonance scalaire est une onde électromagnétique stationnaire, elle peut être produite électriquement, mais elle n’est pas électrique dans son comportement.
Dans
n’importe quelle résonance scalaire, l’espace-temps est courbé et c’est l’ampleur (et direction) de cette courbure d’espace-temps qui oscille sous forme « d’onde stationnaire ».
Par rapport
au stress du vide moyen, la moitié d’une onde sinusoïdale stationnaire est extensible, l’autre moitié est compressible. Cependant, cela est par rapport au stress ambiant local du vide.
La « masse » d’une particule est juste une caractéristique exhibée par une résonance scalaire piégée, en fait ce piégeage est fait
par le « spin » de la particule individuelle.
Le concept de « masse » peut être comparé avec le concept de « capacité ». Ce qui signifie qu’une masse est un accumulateur d’ondes scalaires
; c’est-à-dire de résonances scalaires.
Elle se « charge » et « décharge » continuellement par absorption et émission d’ondes scalaires depuis et vers le flux d’ondes scalaires du vide
ambiant.
En conséquence la magnitude d’une masse peut être définie en terme de valeur absolue de ce taux de « commutation » (absorption = flux entrant ; émission = flux sortant).
Dans l’espace-temps linéaire normal, « charge » et « décharge » sont égales dans toutes les directions ; donc la masse exhibée est
identique dans n’importe quelle direction.
Par rapport à l’équilibre du flux de « l’observateur externe », un objet en mouvement rencontre une quantité accrue de taux de flux le long de sa ligne de mouvement,
exactement comme un objet se déplaçant sous une pluie torrentielle rencontre plus de gouttes de pluie par seconde dans la direction de sa trajectoire, que ne le fait un objet stationnaire.
La rencontre d’un flux accru d’ondes
scalaire (par rapport à l’observateur externe) force l’objet en mouvement à absorber et émettre des ondes scalaires à un taux plus élevé le long de sa direction de mouvement que lorsqu’il ne bougeait
pas.
Donc pour l’observateur externe, la masse de l’objet s’est accrue, en ce qui concerne n’importe quelle force perturbante le long de sa ligne de mouvement.
Cependant, orthogonalement à sa ligne de mouvement, le taux de flux est précisément le même que quand l’objet est au repos, donc, vu par l’observateur externe, la masse de l’objet
en mouvement n’a pas changé par rapport aux forces perturbantes orthogonales.
Ainsi se trouve expliqué les deux parties de l’un des grands mystères de tous les temps, la relativité : (1) comment la masse d’un
objet s’accroît selon son mouvement et, (2) pourquoi la masse s’accroît par rapport à sa ligne de mouvement et pas orthogonalement à elle.
L’inertie d’une particule est due à sa masse, c’est-à-dire à la magnitude totale de sa résonance scalaire piégée.
L’attraction gravitationnelle entre deux masses
est due à leur courbure d’espace-temps, de plus, la masse est comme une capacité, elle peut capturer des ondes scalaires complémentaires en tant que résonance piégée et de là accroître sa magnitude
ou « charge inertielle » ; ou bien elle peut se décharger de plus d’ondes scalaire qu’elle n’en absorbe et de là diminuer sa magnitude ou « charge interne »…
Ces ondes scalaires émises par la résonance sont émises comme un ensemble de patterns de la résonance, elles peuvent donc être considérées
comme constituant un courant de résonances scalaires quittant l’objet accumulateur de masse. Les ondes scalaires absorbées dans une résonance piégée peuvent être considérées comme constituant un
courant de résonance scalaire pénétrant l’objet accumulateur de masse, donc il est approprié de dire qu’une résonance scalaire est capable de « couler ».
En conséquence, il est possible d’accroître directement la masse d’un objet, en lui transmettant des ondes EM scalaires pour qu’il les absorbe. (Cela signifie qu’il
y a plus d’ondes scalaires à pénétrer l’objet qu’à le quitter, donc l’objet agit comme un accumulateur augmentant sa charge interne. Cela se fait en s’assurant que le potentiel de référence
de l’émetteur d’onde scalaire est plus élevé que le potentiel de référence de l’objet irradié.)
Il
est également possible de diminuer directement la masse d’un objet en lui transmettant des ondes EM scalaires, de façon qu’il émette plus qu’il n’absorbe. (Cela signifie qu’il y a plus d’ondes scalaires
à quitter l’objet qu’à le pénétrer, donc l’objet agit comme un accumulateur diminuant sa charge interne. Cela se fait en s’assurant que le potentiel de référence de l’émetteur scalaire
est plus bas que le potentiel de référence de l’objet irradié.)
Comme on peut le constater, « l’émetteur
» d’onde scalaire est en réalité quelque peu comparable à une pompe à chaleur ; il peut agir soit comme un « émetteur d’énergie » ou soit comme un « extracteur d’énergie
», selon la différence de potentiel entre « l’émetteur » et le « receveur ».
Une résonance scalaire
peut avoir une structure spécifique : tant dans ses aspects courbures spatiales et fréquences que dans ses aspects « débit d’écoulement du temps ». En effet, du point de vue scalaire chaque objet à son «
modèle scalaire » individuel lequel est une empreinte digitale unique. Puisque cette empreinte est spatio-temporelle, c’est un produit de l’histoire passée entière de cet objet.
Donc – d’un point de vue
scalaire – deux objets ne peuvent être identiques.
Cela montre un autre potentiel plutôt étonnant : si un modèle scalaire
suffisamment précis d’un objet peut être « irradié » et mis en résonance par des ondes scalaires, on peut, à distance, créer de l’énergie à l’intérieur de l’objet
ou en extraire, tout comme un diapason stimulé peut en exciter un autre à distance par résonance sympathique. Je vous laisse vérifier le rapport de cette assertion à la clairvoyance, radionique, vision à distance,
etc.
Pour le sceptique, cependant, nous devons signaler que — rigoureusement – la mécanique quantique exige que, continuellement,
dans n’importe quelle région localisée de l’espace-temps, le « pattern » de n’importe quel objet dans l’univers apparaisse momentanément en l’état virtuel, d’un point de vue purement
statistique seulement. Aussi longtemps que la situation reste statistique, n’importe quel lieu dans l’univers peut continuer d’avoir les « fantômes » de tout ce qui est présent là, dans un pattern fin et éthérique,
et le monde observable n’en sera pas affecté.
Cependant si on peut distinguer et « charger » scalairement ou « décharger » des patterns individuels dans ce « royaume-fantôme », l’action
à distance est directement possible, comme l’est la matérialisation et la dématérialisation. Si on accepte que même une pensée elle-même produit un tel « pattern-fantôme » virtuel dans
le flot de particules virtuelles du vide, alors il est au moins théoriquement possible de matérialiser des pensées et des images pensées.
Nous sommes entrés dans une nouvelle sorte de réalité où les anciennes règles et les anciennes limitations ne s’appliquent pas nécessairement.
Comme signalé, nous pouvons grandement simplifier le problème en le considérant comme des « courants de résonances scalaires », ces courants coulent du potentiel le plus
élevé vers le potentiel plus bas, indépendamment de ce que nous considérons « émission » ou « réception ». En effet, émettre à un potentiel plus bas c’est recevoir, et recevoir
à un potentiel plus haut c’est émettre. Donc « l’émetteur-récepteur » est un système spécial où en biaisant simplement deux nœuds différemment on détermine dans quel
sens la résonance scalaire s’écoulera. On peut augmenter et diminuer la masse et l’inertie d’un objet, simplement en biaisant d’une manière appropriée les deux nœuds de l’émetteur-récepteur.
Lors d’une expérience accidentelle d’une durée de quelques heures :
« Golden a chargé une zone de sorte que, localement toutes les horloges ont été faussées, cela incluait des horloges électriques, des montres à piles et une horloge
ancienne à pendule, le débit du flux de temps lui-même a été apparemment altéré dans la zone locale par la charge accumulée, laquelle a mis quatre jours à s’épancher et se décharger.
Au bout de quatre jours de décharge, toutes les horloges et les montres sont revenues à la normale ».
"MA MACHINE VOLANTE AURA NI AILES NI HÉLICES
SOURCE
En 1911, Nikola Tesla a dit le New York Herald qu'il travaillait sur un anti gravité "machine volante".
"Ma machine volante aura ni ailes ni hélices. Vous pouvez le voir sur le terrain et vous ne devineriez jamais qu'il était une machine volante. Pourtant, il sera en mesure de se déplacer à volonté
dans l'air dans toutes les directions avec une parfaite sécurité, à des vitesses plus élevées que celles qui ont encore été atteint, indépendamment des conditions météorologiques et oublieux
de "trous" dans l'air ou des courants à la baisse. Il montera dans ces courants si désiré. Il peut rester absolument immobile dans l'air, même dans un vent, une grande longueur de temps. Sa puissance de levage ne dépendra
pas de tels dispositifs délicats comme l'oiseau doit employer, mais sur une action mécanique positive. "
La
soucoupe volante de Tesla a été alimenté par le système d'énergie libre à un moment où l'aviation naissante et de l'industrie d'automobile dépendaient de l'huile et du pétrole. Son invention a
rencontré le même sort que son système d'énergie libre.
«PREMIERE SOUCOUPE VOLANTE DU MONDE »
un brevet très, très intéressant que Tesla avait présenté, avec sa conception picturale – intitulé «Premiere soucoupe volante du monde » –
et l’ illustration ressemble à un OVNI que vous verriez dans un film de Steven Spielberg – la partie la plus étrange ? Le brevet a été déposée il y a plus de 100 ans.
Si Tesla n’avait pas fait des inventions et des recherches comme il le fit fait en son temps, notre technologie aujourd’hui serait bien moins avancée. Mais reste-t-il quelque chose de plus de Tesla ?
A-t-il en fait eu des contacts avec les aliens comme il l’a proclamé publiquement ? Il est l’un des inventeurs les plus étonnants que notre civilisation ait jamais connu et ses connaissances et idées allaient bien au-delà de ce qui a été connu à l’époque, Tesla était un génie, et ses inventions et idées n’ avait pas de limites.
Il y a plus de cent ans, au cours de la première décennie du XXe siècle, Tesla a déposé une demande de breveter pour un avion particulier, qu’il a appelé « la première soucoupe volante au monde.
dès lors qu'une structure équilibrée est aboutie de manière harmonieuse ou remarquable en termes d'application ou de fonction, alors nous pouvons y chercher une fonction du Nombre d'Or... Le Nombre d'Or n'est pas le produit d'une imagination mathématicienne, mais un principe naturel lié aux lois de l'équilibre. (1)
On peut se demander ce qu'ont en commun les pyramides d'Egypte, le portrait de Mona Lisa par Léonard de Vinci, les tournesols, les escargots, la pomme de pin et nos doigts.
La réponse se trouve dans une séquence de nombres découverte par le mathématicien italien Fibonacci. Ces nombres, qu'on appelle également les nombres de Fibonacci, sont caractérisés par le fait que chacun d'entre eux représente la somme des deux nombres qui le précèdent. (2)
Les nombres de Fibonacci
0, 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34, 55, 89, 144, 233, 377, 610, 987, 1597, 2584, …
Les nombres de Fibonacci ont une propriété très intéressante. Lorsque vous divisez en séquence un nombre par le nombre qui le précède, vous obtenez deux nombres qui sont très proches l'un de l'autre. En fait, ce nombre après le 13ème de la suite devient invariable, et on l'appelle "la proportion dorée".
La proportion dorée = 1.618
233 / 144 = 1.618
377 / 233 = 1.618
610 / 377 = 1.618
987 / 610 = 1.618
1597 / 987 = 1.618
2584 / 1597 = 1.618