Historique parallèle

Alain Boudet Grille planète

ce document est superbe en 3 parties, tiré d'un livre d'Alain Boudet

 et

par Louis Galador

PHILIPPE JEAN CHRISTIAN PIGOT

En cette fin de notre civilisation, sachez qu'en les archives secrètes du Vatican, des documents top-secret traitent de DEUX PEUPLES se vouant une lutte sans merci à travers les âges : la lignée terrestre de Mû représentative du Principe Féminin et la lignée belliqueuse des rescapés de Maldek, exilés de Mars pour cause de destruction atomique (raison pour laquelle Mars est le Dieu de la Guerre) et réfugiée sur Terre au tout début de l'épopée Atlante. Les Atlantes, quant à eux, représentatifs du Principe Masculin, furent rapidement corrompus par les exilés de Maldek et ce qui devait arriver arriva, l'orgueil, l'arrogance et un besoin maladif de conquêtes afin de s'approprier les terres d'autrui poussa le peuple Atlante à livrer une terrible guerre au peuple de Mû.

Voici quelques clefs sur ce qu'il advint des Atlantes au sortir d'un ultime conflit nucléaire, provocateur d'un effroyable cataclysme qui effaça du globe l'Atlantide, traduit dans les Ecritures sacrées par ce que l'on nomme la CHUTE DES DIEUX :

Partons des fresques trouvées dans le Temple d'Abydos en Egypte où l'on voit très clairement des OBJETS VOLANTS PARFAITEMENT IDENTIFIABLES et passons aux innombrables peintures, sculptures et artefacts trouvés partout dans le monde où l'on voit des personnages semblables à des cosmonautes. Le parallèle est ensuite fait inévitablement avec les traditions orales des Amérindiens tels que les Hopis et les Navajos, des Dogons du Mali, les védas de l'Inde, les tablettes sumériennes aussi bien que de la Bible, qui TOUS parlent des DIEUX ou FILS DE DIEU qui s'accouplèrent avec les FILLES DES HOMMES et l'Histoire mythique de l'Egypte qui situe le règne de ses Dieux et demi-Dieux voilà pas moins de 36.525 ans, j'explique logiquement pourquoi on les a appelés FILS DE DIEU ou IMMORTELS : ce sont en fait les ATLANTES.


Voilà 25.920 ans, il y eut un énorme cataclysme planétaire comme il y en a à chaque fin d'un cycle. En ce temps-là, existait sur notre planète une extraordinaire Civilisation, bien plus évoluée que la nôtre, à la fois technologiquement et psychiquement : les ATLANTES. Ils avaient atteint un degré supérieur de Conscience en canalysant les deux Energies qui régissent l'Humain, ne pratiquant pas les actes sexuels. Après cette Catastrophe, il y eut quelques survivants qui purent sauver quelques "ENGINS VOLANTS" ; ils arrivèrent chez des peuples primitifs ne connaissant rien de leur civilisation et, pour ne pas voir leur lignée disparaître, ils n'eurent d'autre choix que de s'accoupler avec les femelles primitives. Voilà la signification du PECHE ORIGINEL repris par l'église catholique romaine. Voilà où se situe LA CHUTE DES DIEUX... Ces femmes primitives engrossées des oeuvres des Atlantes accouchèrent de Géants (devenus en l'Inconscient Collectif Humain les Ogres dévoreurs d'enfants de nos mythes et légendes) et autres Titans fauteurs de tant de troubles et dévastations qu'ils durent être éliminés par leurs pères Atlantes, Anges Déchus des Ecritures, c'est à dire : tombés ou plus précisément VENUS du Ciel.

Les religions du monothéisme patriarcal,création de l'AUTRE PEUPLE, ont constitué durant plus 20 siècles le noyau d'endoctrinement des âmes humaines, ayant asujetti l'Humanité entière à leur esclavage mental. Jusqu'à présent, l 'église catholique romaine a occulté ainsi à la fois ses antiques doctrines et la vérité quant à la véritable origine de l'Humanité dite ADAMIQUE, emprisonnée par et dans une Dualité conflictuelle savamment orchestrée et entretenue au cours des siècles par l'élite sacerdotale de souche Hyksos, c'est à dire descendante des exilés de Maldek !

Alors qu'en cet achèvement cyclique le Pouvoir en place et son Système vivent leurs derniers instants, le moment est venu de révéler la Vérité qui fâche ou qui gêne, c'est selon... Ici, par d'intox, pas de manipulations "new-âge" (mouvement de nouvelles croyances apparu simultanément à la diffusion du LSD, crée et financé par la CIA durant les années 1960-1980), pas d'extra-terrestres sauveurs ou envahisseurs, seule la Vérité Nue, plus simple, plus juste, mais bien plus dérangeante...

Tout d'abord, abordons la notion de Temps : on vous inculque faussement dès la petite école que notre temps est linéaire, qu'il se déroule du passé au présent vers l'avenir ; pour fixer dans les esprits ce mensonge grossier, les "manipulateurs de la Conscience Humaine mirent en place notre calendrier grégorien qui est totalement faux et dérègle notre horloge biologique interne, le pire étant atteint de nos jours avec l'instauration de l'heure d'été et l'heure d'hiver. En réalité cette notion du temps qui passe est une illusion dans l'Illusion de ce monde phénoménal, c'est à dire uniquement appréhendable par nos sens si peu développés ! Pour revenir à la réalité des choses, il faut étudier le principe des calendriers Mayas où la Temps est percu comme la manifestation cyclique spiralée d'énergies cosmiques affectant la vie sur notre Planète. Un album-photos sur les Mayas est en préparation, vous y trouverez le développement complet de cette thématique. En bref, imaginez que l'Univers réel est un Océan de multiples énergies variées dont les vagues ou ondes déferlent sur les mondes, générant la Vie. En ce qui nous concerne ici-bas, notre Planète - et par conséquent NOUS - serions situés en les Abysses (l'un des infra-mondes) de cet Océan Energétique.

Dès lors qu'est acceptée l'idée d'un temps cyclique non linéaire, il devient possible d'appréhender la notion d'éternel Instant Présent, ou Temps de l'Ici & Maintenant. En ce "lieu spatio-temporel" très particulier, il n'existe plus ni passé ni futur et notre Conscience accède au Champs Akhashique, c'est à dire aux informations mémorielles de l'Univers stockées en la Matrice (une nouvelle fois, tentez d'imaginer l'idée d'un super-ordinateur quantique). Et là, plus question de mensonges !

Hors donc, il y a de cela des lustres (en temps linéaire) c'est à dire plusieurs centaines de millions d'années, notre Planète n'était formée que d'un unique continent nommé Gondwana ou Pangée par les érudits. Sur ce continent, à la végétation luxuriante de type tropical, se développa une civilisation Primoriale de type saurienne, profondément enracinée à, l'on pourrait dire aussi "en osmose avec" la Terre à laquelle ce Peuple Primordial vouait son culte, celui du Principe Féminin que l'on retrouve exprimé au fil du temps en tous les peuples du monde par des "Mamas" ou Vierges Noires. Mû, M, la Mère Terre d'où découle toutes formes de vie ! C'est ainsi qu'en Egypte Isis est noire, n'en déplaise aux menteurs institutionnels. Hors, le NOIR n'entre pas dans le spectre des couleurs, le Noir c'est la Nuit étoilée, et pour les Initiés, il est le symbole de tout ce qui est mystérieux, Savoir Secret connu seulement du Créateur... Les lieux où cette vénération de la Mère Divine (la Planète à leurs yeux étant un Être Vivant dont ils étaient les Enfants) s'exerçait était soigneusement choisi en fonction de la puissance des forces de la Nature : volcan, grotte généralement située en altitude aux 2/3 du flanc d'une montagne, source souterraine d'eau pure, etc... Ainsi, le Peuple de Mû, sensible à l'électro-magnétisme, se régénérait littéralement en énergie vitale en ces hauts-lieux cosmo-telluriques, sachant que le corps physique de la Terre, à l'instar des veines et artères du corps humain charriant le sang, possédait un réseau énergétique souterrain parcouru de courants énergétiques qu'ils nommaient SERPENT ; ce savoir subsista jusqu'aux druides celto-gaulois qui le nommaient la Wouivre. Le village de Rennes le Château, dans l'Aude, ancien Royaume Wisigoth, était d'ailleurs nommé AER-RED, soit LE SERPENT COUREUR, et non pas Rhedae qui en est L'INVERSION. Les Guildes de Maîtres-Bâtisseurs des cathédrales du moyen-âge utilisèrent cette Connaissance retrouvée : tous les autels et labyrinthes initiatiques furent placés en de tels hauts-lieux privilégiés, lesquels systématiquement étaient dotés d'une crypte en laquelle était placée une statue de Vierge Noire ou Notre Dame de Dessous Terre !

Après une période de cohabitation en bonne intelligence, un certain jour, le Peuple de Mû (dont les descendants ne furent autres que les pharaons noirs des toutes premières dynasties égyptiennes, Indiens de l'Inde et Amérindiens des Amériques, Mayas entre-autres) dû faire face aux Atlantes, à l'intellect pollué par l'idéologie technologique marsienne des exilés de Maldek, menés par leur redoutable reine en une guerre de conquête dont la résultante fut la destruction cataclysmique, par palliers successifs, des deux continents respectifs. Des rescapés des deux Peuples survécurent en de gigantesques bases souterraines, à l'origine des mythes traitant de Shambalah sous le désert de Gobi pour les uns et de l'Agartha sous l'Himalaya pour les autres, ainsi que du thème récurrent du Roi du Monde qui n'est autre que le SANAT KUMARA, l'Ancien des Jours ou Veilleur Silencieux, dont on fit opportunément SATAN, etc... etc...

Selon l'Histoire Secrète de l'Humanité, l'Homme a toujours été l'Homme avec la différence essentielle que l'Homme Primordial bénéficiait d'un corps physique plus ethéré, au cerveau doté du 3ème oeil, également appelé le 6è sens (perceptions extra-sensorielles, reliance à l'Univers) ; la peau de couleur bleue était recouverte d'écailles et résistante à l'eau, favorisant l'aspect amphibien. C'est ainsi que les Sumériens vouaient un culte à leur déité aquatique Enki-Ea-Oannès, que les Egyptien célébraient Asar-Osiris, dieu aquatique des réincarnations et de la résurrection, et que les 1ers chrétiens associèrent le corps du Christ au Poisson (Joshua signifiant "fils de Nun", soit : fils du poisson) : toutes ces croyances et superstitions religieuses traitent en réalité du souvenir des deux race d'Anciens : le Peuple de Mû et les Atlantes. En chaque être humain, il subsiste d'ailleurs encore à l'heure actuelle un reliquat de Mû : la partie la plus archaïque du cerveau humain qui s'appelle "cerveau reptilien" : c'est cet organe qui gère toutes les fonctions relatives à l'instinct de survie, déclenchant des réflexes d'une rapidité supérieure à toute autre fonction de notre cerveau mamalien, de conception plus récente.

De ces révélations, vous détenez désormais la capacité de fonder votre propre opinion, n'étant plus tributaires d'antiques fausses croyances ou de manipulations contemporaines, celles notamment très à la mode du conspirationisme reptilien de nature extra-terrestre qui va bon train. Remarquons que ceux qui se font les agents de propagation de cette "conspiration extra-terrestre" bénéficient d'une excellente couverture médiatique, participant donc de la désinformation, puisque manipulés à des degrés divers.

Pourquoi donc ne pas toujours garder à l'esprit la question : "à qui profite telle ou telle information ?" et que pour les "manipulateurs de Conscience", un mensonge n'est bon que s'il est forgé sur une part de vérité !

Par conséquent au lieu de sans cesse évoquer des extra-terrestres, avec une grande peur distillée en toile de fond, il serait plus juste de parler d'INTRA-TERRESTRES à la durée de vie extrêmement longue, influençant l'Evolution Humaine au moyen des sociétés occultes, ce terme évoquant aussi bien le Peuple au "sang bleu" des toujours survivants de Mû (les minimoys arthuriens des films au message ésotérique de Luc Besson, la B.D. des Schtroumfs du dessinateur non moins initié Peyo, et le plus récent AVATAR de James Cameron qui n'a pas surgi au hasard sur les toiles cette anné 2010) que les Atlantes... D'un côté, on s'evertue de garder l'emprise psychique sur l'âme humaine, de l'autre des pans entiers de la Vérité surgissent du Voile enfin levé...

Avouez que cette Vérité est bein plus spectaculaire et dérangeante que la fiction imaginée par nos marionnettistes eux-mêmes tributaires de ces "Supérieurs Inconnus" auxquels ils obéissent au doigt et à l'oeil ! Et de grâce, cessons d'entretenir cette dualité pour REUNIR les deux principes opposés. L'Edda Scandinave est clair à ce sujet : l'entente du Peuple AESIR d'Odin (les "dieux" du Ciel) et des VANES (les "dieux" de la Terre) qui fut faite, mais brisée, doit être réhabilitée. Car Toutes et Tous, en Vérité, ne sommes que les fragments d'UN SEUL ESPRIT qui appelle à la Réunification.

Découverte des premières pyramides d'Europe

http://www.wikistrike.com/article-decouverte-monumentale-dans-les-pyramides-de-bosnie-119538049.html

PHILIPPE JEAN CHRISTIAN PIGO suite

Développement et Chronologie

par Monsieur PHILIPPE JEAN CHRISTIAN PIGOT
Un grand Merci à lui


MÛ - ATLAN - KUSH - SUMER - ÉGYPTE :
« Le delta égyptien et le croissant fertile mésopotamien sont souvent mentionnés, en
une vision bien réductrice, comme étant les lieux d'émergence de la civilisation
humaine. C'est faux ! La vie humaine était alors aussi florissante aux Amériques,
particulièrement le long des côtes de Géorgie, de la Caroline du Sud et de la Floride,
tout autant que plus au nord, en l'actuel province canadienne du Québec.
Cette première civilisation terrestre d'un peuple uniformément noir de peau (ou brun
foncé) est connue des seuls Initiés du nom de Mûviens (ou Lémuriens). Maîtrisant les
quatre Eléments, vivant en étroite symbiose avec la Nature, et vouant un culte de type
matriarcal puisque dédié à la Grande Déesse-Mère, l'Âme du Monde, ce peuple
accédait alors à des dimensions vibratoires plus éthérées. Il advint cependant qu'au
terme de son cycle, cette civilisation disparue par cause de l'engloutissement de ses
territoires sous les eaux océaniques du Pacifique Sud.
De nos jours, des vestiges de la civilisation de Mû sont visibles au large du Japon, en
Micronésie, en Amérique du Sud, en l'île de Pâques, etc... Alors si vous prenez la
peine de chercher au fond de vos mémoires, guidés par l'intuition du coeur, de vieux
souvenirs peuvent ressurgir la nuit dans vos rêves, ou la chair de poule accompagnée
d'un grand frisson sera un signe complémentaire que oui, vous y étiez en des temps
immémoriaux ! Car nos Grands Ancêtres vinrent de Mû, puis d'Atlantis, pas
d'Afrique! Certaines ethnies d'Amérique du Sud, à la peau brune ou marron, sont
constituées des descendants à la fois de Lémuriens et d'Olmèques, venus plus tard
d'Afrique. Il y a plus de 250.000 ans, les actuels états américains que sont la
Géorgie, la Caroline du Sud, la Floride, l'Arizona, l'Arkansas, le Tennessee,
l'Oklahoma le Mississipi, le Missouri, l'Alabama et une partie du Nouveau-Mexique
faisaient corps à cette civilisation Olmèque du Royaume d'UTLA,présente également
enAethiopia/Égypte.
Plus tard, UTLA fut tournée en ATLAN, d'où découlera ATLANTIS. Les pyramides à
degrés sont des édifices qui parsèment encore la totalité de la planète; nous ne
provenons ni du singe, ni d'Afrique ! Nos ancêtres, les Grands Anciens, étaient
PARTOUT ! La réalité, c'est que Kémèt ou Khemet, la TERRE NOIRE, aujourd'hui
nommée l'Égypte, ne fut que le DERNIER des Grands Royaumes des Anciens. De
fait, l'histoire véritable des premières dynasties égyptiennes se dévoile aujourd'hui,
les faits authentiques étant finalement rendus publiques au compte-gouttes, à savoir,
entre-autres que ces ingénieux Maîtres-Bâtisseurs furent Aswud Nanya Netert-aat Wa
Neteraat, venus spécialement d'Amérique Centrale. L'Empire Égyptien fut l'oeuvre
des Nuwbun du Royaume de Kush, partie de l'Empire Olmèque régit à Assouan au
Soudan ou Ta Nehisi. Cet empire était alors formé de l'actuelle Éthiopie, du Soudan,
de la Nubie, de l'Ouganda et du Kenya, bien avant la création de l'Égypte. En fait,
les initiateurs de l' Égypte Ancienne n'en étaient pas natifs, mais venaient de Méroé,
et de Kush en Mésopotamie.
Ils migrèrent en Égypte, construisant temples et pyramides. Certains d'entre-eux
firent même le voyage depuis l'actuel désert du Sahara, que certains historiens
pointent comme l'un des hauts-lieux Atlantes où était établi le royaume de la reine
Antinéa. C'est pourquoi Mû, la Lémurie, Atlantis, et les bases souterraines de ces
civilisations paraissent encore si mystérieux...
Les scientifiques ont désormais prouvé que LUCY, le squelette féminin de souche
négroïde retrouvé en Éthiopie et daté officiellement de 3.2 millions d'années, fait
remonter l'origine humaine bien plus loin que ce que tend à démontrer
fallacieusement la Bible. Et à bien l'examiner, ce squelette est parfaitement hominien,
n'a strictement rien à voir avec celui d'un singe, et n'est pas le plus vieux specimen !
Il y a maintenant 11 ans, des scientifiques du Kenya et de France ont trouvé à Tugen
Hills au Kenya ce qu'ils ont appelé l'Homme Millénium, daté de 1.5 millions
d'années. Mais un paléontologue du nom de Martin Pickford a démontré qu'il est en
fait vieux de 6 millions d'années, ce qui valide une fois de plus la réalité que l'espèce
humaine est bien plus ancienne que l'officialité ne veut bien l'admettre. D'autres
squelettes de femmes ont été successivement découverts au Kenya, tous de femmes
négroïdes de petite stature, à l'identique des Ptahites Nuwbun, des Pygmés, ou du
Peuple
Twa.
Nombreux sont ceux qui pensent et disent que Kémèt, ou Kemet, Khemet, fut le nom
premier donné à l'Égypte. Mais c'est inexact, son nom originel authentique fut TAMA
RÊ, signifiant la Terre de Rê; ce n'est qu'ensuite qu'elle fut nommée Tar, puis Khemet,
et Mitsrayim déformé ensuite en Misraïm, puis Aethiopia, et finalement Égypte. Les
noms originels en référence à la Haute et à la Basse Égypte étaient respectivement
Uazit et Nekhebit, terres unies régies par le Roi Narmer ( = Ménès), dont la famille
était originaire de Ta Nehisi, d' Assouan, de Nubie et Mésopotamie, pas d'Égypte ! la
fusion de Uazit et de Nekhebit effectuée par Maluk Ménès constitua le début des
DynastiesÉgyptiennes.
Pratiquement personne ne sait que les Rois (pas des pharaons) fondateurs de
l'Empire d'Égypte n'étaient pas des égyptiens, mais les descendants d'une ancienne et
brillante civilisation. Si l'on s'en tient à la thèse officielle, Osiris (Asar, Asaru, Ousir,
Wosiré) et Isis (Aset) sont mentionnés en la période de la 4è dynastie et les plus
vielles archives les concernant datent de 2.500 ans avant notre ère. Hors, si l'on se
donne la peine d'investiger plus avant, l'on remonte à Ma'at, de la 3è dynastie de
l'Ancien Royaume datée à env. 2.780 - 2.250 avant notre ère, et là, nous découvrons
qu'il est dit de Tehuti ou Thoth qu'il vient de Teotihuacán en l'actuel Mexique, État
d'Amérique Centrale, là où les Olmèques vivaient aux environs de 3.100 avant notre
ère. Et les archives olmèques précisent bien que Tehuti fut exilé d'Égypte et dû
revenir à Teotihuán au Mexique, là où tous les Dieux se réunissaient, et là où les
hommes devaient se rendre pour devenir des "dieux". L'empereur olmèque Meci
(Messie) apparaît aussi dans le Popol Vuh des Mayas comme vivant en Amérique
Centrale aux environs de 3.113 avant J.C.; ce qui pose un sérieux problème aux
chercheurs européens de l'officialité!
Le calendrier découvert par Goodman Martinez Thompson en le site olmèque
d'Izapa, dans la province de Vera-Cruz au Mexique, prouve que les Olmèques
donnèrent naissance au système de calendrier Mésoaméricain et qu'ils vivaient en
cette zone bien avant la date officielle de 1.500 av. J.C. puisque la date du 13 août
3.113 av. J.C. y est inscrite ! L'écart de datation est de plus de 1.600 ans, ce qui n'est
pas rien, et l'on doit admettre que l'existence des Olmèques est donc forcément
antérieure à celle d'Osiris, Isis, Horus et Ma'at dès l'instant où l'on se conforme à
cette vraie datation.
Khemet ou Kémèt, fils d'Utnaphistim - c'est à dire le Noah ou Noé sumérien, protégé
d'Enki - Ea, le dieu Ptah égyptien - ne naquit pas en Égypte, mais y émigra depuis
l'Empire Olmèque de Nuwbun en Nubie. Son père était cependant originaire de
Sumer, l'actuelle Iraq. La lignée Olmèque et le sang royal des Anous ont été
d'ailleurs tracés par les spécialistes jusqu'à Utnaphistim (Noah - Noé) en
Mésopotamie. Ce fut Maluk Narmer, le Roi Narmer, aussi connu du nom de Ménès, le
fondateur de la 1ère Dynastie d'Égypte, ses parents dirigeant l'Éthiopie et la
Mésopotamie, mais pas encore l'Égypte. Khnoum, l'un des quatre Suprêmes Grands
Hiérophantes ou Maîtres de Tama Rê (Égypte) vint aussi de Ta Nehisi, et il lui fut
donné la Charte Chimique de l'ADN michotondriaque; car c'est en Nubie que
Khnoum - connu du nom de Dedun "le Procréateur" - fut responsable de la création
génétique de spécimens humains faits à l'image des "Dieux".
L'histoire de la Création rapportée par les tablettes sumériennes prend sa source en
Nubie, là où était installée la "Maison de Vie" de AN.KI (Enki-Ea) et Ninkhursag-
Ninmah : un laboratoire de sciences génétiques ! L'épouse de Khnoum - Anakis ou
Anoukis - était originaire de Ta Nehisi au Soudan, ainsi que sa soeur Satis, née à
Assouan.
Une trop grande confusion, savamment entretenue, règne sur l'histoire de l'Ancienne
Égypte, confusion orchestrée par les Conjurateurs de l'Histoire. Tout lien entre
l'Égypte, les Olmèques et les Sumériens est systématiquement évité : ce sujet est
tabou ! L'empire de Kush (déformé en Kish), qui devint ensuite le Royaume de Kush
ou l'Empire Coushite, fut élaboré par les Nuwbuns, que l'on nomme les Olmèques.
Kush fut l'un des 14 Royaumes initialement formés par les Olmèques au Ganawa,
c'est à dire l'Afrique ET la Mésopotamie réunies. Le nom original donné à l'Afrique
était alors Ganun El Nuwba ou plus simplement Ganawa. Référence : El Katub Shil
El Mawut par Amunnubi Ruakhtah.
L'on a tort, une fois de plus, de croire aveuglément que l'Afrique fut nommée par
Tirus Afrik, empereur du Zingh, il y a 15.000 ans. Ce ne fut pas le cas : le mot
Afrique provient de l'arabe Afriqqiya ou Ifriqqya, signifiant "diviser" ou "séparer",
parce que l'ensemble de ce continent fut effectivement séparé du continent américain,
après la cassure en plusieurs plaques du Gondwana, le continent primordial. Cette
division continentale n'existait pas encore lorsque le Peuple de Mû migra aux
Amériques pour fonder Atlan, en fait Utla signifiant "terre vacante" en langage
olmèque ou Ku-Shi.
Le Peuple de Mû nomma ainsi UTLA le continent américain (à noter que l'Utah est
l'un des états des États-Unis d'Amérique), plus tardivement nommé ATLAN et
ATLANTIS; l'Amérique du Sud quant à elle fut nommée XIAN (nom attribué à une
province de CHINE où subsistent de mystérieuses pyramides à degrés), puis
AFMURRICAN, et bien après AMEXEN; Les Mûviens ou Lémuriens appelèrent
l'Amérique Centrale ULMAN ou OLMAN et l'Afrique, GANUN EL NUWBA, c'est à
dire "la Terre de l'Or"; CIBOLA, l'Impériale Cité de l'Or, fut transformée en les
légendaires 7 Cités d'Or d'Amérique du Nord. Toutes ces informations sont
authentiques, pour le grand public malheureusement inaccessibles, parce que
uniquement lisibles à l'intérieur même des pyramides, seuls des archéologues et
historiens, spécialistes assermentés du Système, en ayant eu l'accès. Les Wa-Shi-Taw
formèrent la première branche du peuple Olmèque aux Amériques, et les Washitaw,
Ku-Shi ou Coushites, la branche de Kush qui se fixa sur un territoire englobant
l'Éthiopie et la Nubie. Ces deux branches d'un même peuple partage le mot "SHI" ou
"XI" - signifiant Énergie Divine, Déesse-Mère, Honneur, Respect - que l'on retrouve
dans la dynastie impériale chinoise des Xi, autant qu'aux Indes dans la lignée
"divine" des Marichi (le nom de mon grand-père maternel était Marichy). À chaque
fois que le mot Xi ou Shi apparaît, son origine a à voir avec le peuple Olmèque. En
la culture chinoise, l'on trouve les mots Shidoshi (Maître ou Enseigneur), Mitsubishi,
Xian, etc... Sachez enfin que les Mayas, pour leur part, utilisaient les termes Xibalba,
Xihi, Xiy pour désigner la divinité solaire : une fois encore 'Xi étant racine de ces
mots. Et ce n'est pas un hasard si "Xi" se retrouve dans la culture Aztèque en des
termes tels que Xiuhcoatl (le Serpent), Xiuhtecuhtli (déité du Feu) et Xihuitl (l'année
solaire). "Xi" est aussi la 14è lettre de l'alphabet grec, alors que "Nu" est la 13è, Mu
est la 12è et "Chi" est la 22è. Simple coïncidence ? Pas du tout : les Ku-Shi et les
Wa-Shi formaient la branche Olmèque des hommes grands tandis que les Pygmés, les
Ptahites (Nuwbun) étaient les petits hommes.
L'Empire de Koush - créé depuis Kush en Mésopotamie par les Anous, lignée royale
des Olmèques Mûviens - s'étendit à l'Afrique, devenant Kush avant d'être nommé
Cush, l'Éthiopie biblique. Les preuves en sont inscrites en le Livre d'Ether Kish gravé
sur la tablette de la croix, à Palenque au Mexique ainsi qu'à San Lorenzo
Tenochtitlan, au sud du Mexique, sur une pierre gravée connue du nom de
"Monument 47" décrivant le roi Olmèque nommé Kush, qui s'assit sur le trône le 25
mars de l'an 967 av. J.C. : l'Empire de Kush original eut une existence de plusieurs
milliers d'années, et ce, AVANT la création de l'Empire d'Égypte.
De fait, en 750 avant notre ère, le roi Kashata de Napata, actuelle capitale du
Soudan, dû se déplacer en Égypte pour rétablir l'ordre, suite à des troubles politiques
provoqués par le vol de certains secrets au profit de prêtres étrangers. Lors de ces
évènements, Tefnout, fille d'Atum Rê et de Khepri, n'eut d'autre choix que de quitter
l'Égypte à destination de la Nubie, où elle devint la divine Femme-Chatte (Cat
Woman) ou la reine Jaguar de la Terre.
Au cours de l'histoire mouvementée de l'Egypte, les cruels et belliqueux rois-pasteurs
menant les Hyksos Pisidiens, marchands nomades sino-sémites envahisseurs de
l'Égypte, suivis des empereurs Romains et des Grecs, TOUS reçurent ou
s'accaparèrent de grandes portions des Connaissances des Anciens dont les ultimes
gardiens furent les Rois des dernières authentiques Dynasties Égyptiennes. La
résultante en fut l'assassinat de ceux-ci, par convoitise et jalousie, entraînant par
suite l'usurpation des fonctions royales et sacerdotales par ces conquérants étrangers
avides du pouvoir qu'ils étendirent au fil des siècles à l'Europe par leur "saint"
Empire Romain-Germanique, puis au monde, au moyen des religions, des sociétés
secrètes fomentatrices des guerres, et des colonisations. Cette élite faussement juive
(Ashkénazis, de groupe sanguin A négatif) vola l'héritage des vrais Yehouds de Nubie
et de ceux, Sépharades d'Espagne, du Maroc, du Niger, et d'Éthiopie. Aujourd'hui,
cette fraction du même Savoir des Anciens est utilisé en des technologies contraires à
notre bien-être et provocatrices de la fin prochaine d'une civilisation humaine
dégénérée et sans repères. Les Olmèques et leurs descendants se sont bien gardés
cependant de tout se laisser voler par ces gens là. C'est pourquoi leur langage est
encore une énigme, et qu'il reste impossible de savoir pourquoi ni où ils disparurent
soudainement (ainsi que les Mayas). Malgré leur acharnement à tout piller, les
usurpateurs de la Noblesse Noire ne savent pas non plus construire selon les règles
de la Géométrie Sacrée, ni ouvrir les Portes multi-dimentionnelles, ni voyager dans
l'Univers, mais ce qu'ils savent pertinemment, c'est que leur domination malsaine se
termine et que l'heure de la Justice a sonné. Il ne leur servira à rien de se terrer en
leurs blockaus souterrains; et l'or et les milliards accumulés sur la misère humaine
ne sauveront pas les Fils de Bélial et de Brutus...
La vérité, c'est que les Nuwbuns de Nubie ne dirigèrent l'Égypte qu'une dizaine
d'années, après quoi ils la quittèrent pour se déplacer aux Indes, en Asie et aux
Amériques. Ces faits historiques n'ont encore jamais été révélés au grand public. Et
il est très difficile d'accepter la vérité après des millénaires d'endoctrinnement
mensonger. Mais si vous vous donnez la peine d'effectuer quelques recherches, vous
découvrirez vite les structures de complexes et de villes immergées au large de l'Asie,
du Japon, et de Chine; vous trouverez aux quatre coins du globe des cités vieilles de
plus de 10.000 ans, aux monuments et aux temples dont les pierres sont gravéees de
visages toujours identiques... Le plus énorme des mensonges qu'est l'histoire
officielle de l'humanité ne deviendra jamais la Vérté.

Michael Cremo a bouleversé le monde de la paléontologie

https://fr.scribd.com/doc/98178389/L-Histoire-Secrete-de-l-Espece-Humaine

Michael Cremo a bouleversé le monde de la paléontologie : « nous ÉTIONS LÀ il y a 600 millions d’années »
Interview Source : Nexus n°57

La publication en 2002 de son Histoire secrète de l’espèce humaine, coécrite avec le docteur Richard Thomson, le chercheur Michael Cremo a bouleversé le monde de la paléontologie. Lors de cette interview accordée en 1995 à la journaliste Laura Lee, il explique comment il en est arrivé à la certitude que le modèle de la préhistoire humaine sur lequel nous nous reposons depuis deux cents ans est totalement erroné.

Laura Lee (LL) : Laissez-moi vous parler de quelques-unes des plus extraordinaires découvertes archéologiques faites à travers le monde. Une sphère de métal incisé datant du Précambrien en Afrique du Sud ; une empreinte de chaussure datant, elle, du Cambrien, à Antelope Springs (Utah) ; un vase de métal du Précambrien, à Dorchester, dans le Massachusetts ; un clou en acier datant du Dévonien, fiché dans une pierre en Écosse ; un fil d’or dans une pierre datant du Carbonifère à Tweed, en Angleterre, et, de la même période, à Wilburton, en Oklahoma, un pot métallique… Que nous racontent ces découvertes à propos de notre histoire ancienne ?
Michael Cremo : Eh bien, si vous regardez dans les livres, vous penserez que les humains comme nous — l’Homo Sapiens — ont évolué assez récemment, en l’espace de 100 000 ans depuis des ancêtres ressemblant à des singes. Tout, dans ces livres, renvoie à cette idée qui, en conséquence, semble acquise. Mais quand j ’ai commencé à étudier cela, je me suis aperçu que ces cent cinquante dernières années, les anthropologues avaient enterré autant de preuves allant contre cette idée qu’ils en avaient découvertes. Ces preuves montrent que des hommes comme nous ont habité cette planète durant des centaines de millions d’années. Vous évoquez quelques-unes des preuves les plus éclatantes, comme ce magnifique vase métallique que l’on a retrouvé dans des roches du Précambrien à Dorchester cela signifie qu’il a plus de 600 millions d’années.
LL : Dites-moi, selon vous, que se passerait-il si toutes ces preuves étaient révélées au grand jour, s’il n’y avait pas de discrimination, s’il n’y avait pas de théorie absolue sur l’histoire de la race humaine sur la planète Terre ?

MC : D’abord, il faut dire que si l’on devait mettre toutes les preuves sur une table, il faudrait plusieurs tables, vraiment. Si l’on prend en compte toutes les preuves, on est obligé d’admettre que des êtres humains comme nous ont coexisté avec d’autres espèces d’êtres et cela aussi loin que l’on puisse remonter dans le temps.
LL : La théorie de la coexistence n’est pas si stupide à envisager puisque les anthropologues pensent que les hommes de Néanderthal et de Cro-Magnon ont coexisté...
MC : C’est exact et il y a même des savants comme l’anthropologue anglaise Myra Shackley qui avancent que nous coexisterions toujours avec des créatures comme l’homme de Néanderthal. On trouve beaucoup d’histoires à travers le monde évoquant différentes sortes d’hommes sauvages, comme le Yéti ou l’Homme des neiges dans l’Himalaya, le Bigfoot ou le Sasquatch en Amérique du Nord, et d’autres créatures du genre ailleurs sur la planète. Alors, oui, je dirais que l’idée d’une coexistence est valide.
LL : Vous faites remonter l’homme primitif beaucoup plus tôt que ce qui est généralement admis. À propos des découvertes extraordinaires datant de millions d’années dont nous parlions plus haut, pouvez- vous nous expliquer les circonstances de leur découverte, ce que l’on sait de ces objets et où ils sont aujourd’hui.
MC : Je vais donner un très bon exemple tiré de l’histoire récente. C’est un de mes préférés. En 1979, à Laetoli, en Tanzanie, un pays d’Afrique orientale, Mary Leaky, qui est la femme de Louis Leakey, l’un des anthropologues les plus renommés du XX° siècle, trouva des empreintes de pas dans des cendres volcaniques datant d’environ 3,6 millions d’années. Des experts des empreintes, anthropologues et autres, les analysèrent. Le National Geographic et des publications scientifiques en ont beaucoup parlé et nous les citons dans notre livre. Et si vous regardez les photos de ces empreintes, vous constatez qu’elles sont identiques à celles d’un homme moderne. Un chercheur a dit que si l’on allait aujourd’hui sur une plage et que l’on y regardait des empreintes de pas, elles ne seraient pas différentes. Malgré cela, le schéma mental des chercheurs est tel qu’ils n’ont pu tirer la conclusion qui s’imposait à savoir que ces empreintes ont été faites par des créatures très proches de nous.

LL : En somme, ils utilisent les preuves quand elles les arrangent, mais se refusent à le faire quand cela les dessert. Est-ce que ce ne serait pas un peu hypocrite ?
MC : Ça l’est. On appelle cela un « filtre à connaissance ». Ces gens s’engagent plutôt dans une espèce d’autocensure. Par exemple, à propos de ces empreintes, ils disent « Bien, ça doit être celles d’un australopithèque », même s’ils ont des os de pieds d’australopithèques et qu’ils savent bien qu’elles ne correspondent pas. Les os de pieds des hommes très anciens, semblables à des singes, ont des orteils courbes et très longs. Le gros orteil ressemble à notre pouce. Regardez les pieds d’un chimpanzé. Le gros orteil est large, gros et mobile, un peu comme notre pouce, de manière à pouvoir attraper des branches. Donc, les empreintes trouvées en Afrique datent de 3,6 millions d’années, mais ne sont pas du tout celles d’un pied d’australopithèque.
LL : Pourquoi l’australopithèque leur sert-il d’explication?
MC : Parce qu’ils estiment que c’est la seule créature bipède de cette période, et parce qu’ils ignorent les preuves, les énormes preuves, montrant que des êtres humains comme nous vivaient à ce moment-là. Tirer des conclusions pourtant évidentes n’entre simplement pas dans leur tête. On a des empreintes comme celle d’un homme, un homme a dû les faire.

LL : Et les Leakey, quelle interprétation ont-il fait ?
MC : Mary Leakey a voulu dire que ces empreintes étaient celles d’un homme-singe avec des pieds comparables à ceux d’un humain. Si c’était la seule et unique preuve à notre disposition, on pourrait s’en contenter, mais dans l’Histoire secrète, nous avons vraiment beaucoup de preuves : outils de pierre, artefacts, ossements humains, squelettes complets d’hommes de cette période. C’est ce qui nous fait dire que ce sont bien des hommes qui ont fait ces empreintes. Un autre cas très intéressant est celui d’un squelette, lui aussi découvert en Afrique, au début du siècle, en 1913, par le Dr Hans Reck qui, je crois, était de l’université de Berlin en Allemagne. Il se trouvait dans ce que l’on appelle aujourd’hui la gorge d’Odulvai.
LL: Qui est très connue pour les découvertes qu’on y a faites, non ?
MC : Oui. C’est là que les Leakey ont fait plus tard la plupart de leurs travaux, En 1913, on y découvre dans une strate de plus d’un million d’années, un squelette fossile anatomiquement identique à celui d’un homme moderne. C’est très étonnant car, selon la science actuelle, on ne devrait avoir d’êtres humains modernes, anatomiquement, que depuis 100 000 ans. Donc...
LL : Quelle explication ont-ils donné ? En 1913, l’archéologie n’en était-elle pas qu’à ses balbutiements pour l’homme ? Pourquoi des découvertes comme celle-ci n’ont-elles pas été mises en équation ?
1894. C’est aspect est très intéressant. Cela ressemble à une enquête policière : lorsque Charles Darwin a écrit son Origine des espèces en 1859, cela a fait comme une onde de choc à travers le monde. La question qui intéressait tout le monde était l’origine de l’être humain. Je me suis rendu compte qu’entre 1859, date de parution du livre de Darwin, et 1894, date de la découverte de l’Homme de Java, rien n’avait été écrit. Cela m’a intrigué. On aurait pu imaginer que, presque tout de suite, des savants du monde entier auraient recherché le chaînon manquant et découvert des tas de choses. J’ai donc demandé à l un de mes chercheurs-assistants d’aller dans une bibliothèque et de me rapporter des manuels d’anthropologie des années 1880-1885, histoire d’y jeter un œil, et j’ai été choqué par ce qu’il m’a rapporté. D’authentiques savants, écrivant dans des journaux, faisaient état de quantité d’éléments attestant que l’homme moderne, anatomiquement parlant, avait vécu il y a 10, 20, 30 ou 50 millions d’années, aussi loin que l’on pouvait remonter Je ne parle pas d’une ou deux découvertes, je parle de centaines de découvertes
LI : Extraordinaire ! J’aimerais savoir où sont ces découvertes aujourd’hui. Que leur est-il arrivé ? Parmi ces centaines et ces centaines de squelettes identiques au nôtre qui ont au moins 100 millions d’années, quel est le tout premier sur lequel on a de la documentation ?
MC : La toute première découverte, ce n’est pas un squelette humain, mais un objet... Il s’agit d’une sphère métallique cannelée découverte en Afrique du Sud. On en a trouvé beaucoup - parfaitement sphériques, métalliques, quelques-unes avec des cannelures au niveau de l’équateur — et elles datent de 2,8 milliards d’années.

LL : Milliards ? Pas millions ?
MC : Oui, et on estime que la Terre a environ 5,3 milliards d’années... Ils sont donc très vieux. D’autre part, le signe humain le plus ancien est une empreinte de chaussure découverte à Antelope Springs (Utah) en 1968, elle remonte au Cambrien, c’est-à-dire à environ 500 millions d’années.
LL : Pouvez-vous nous dire un mot du plus ancien squelette moderne ?
MC : C’est un squelette humain découvert dans du charbon dans le comté de Macoupin (Illinois) en 1862, ainsi que cela est rapporté dans un journal appelé The Geologist. Il date du carbonifère et pourrait avoir 300 millions d’années. Ce sont donc des découvertes extraordinaires. Maintenant, il arrive que si une chose est en contradiction avec le concept le plus partagé, on ne fait pas forcément l’effort de la préserver. Au contraire, si c’est conforme à notre attente, on fait tout pour le garder. Si l’on a quelque chose qui correspond aux théories en cours sur les origines de l’homme, l’establishment le conserve soigneusement. (...) Vous avez des gens vraiment puissants dans ces domaines, ils contrôlent les fonctions, publications et le financement des recherches si vous voulez faire votre chemin, il faut faire avec ça. C’est ainsi que le système marche fondamentalement. J’ai personnellement parlé avec des gens qui avaient eu des problèmes avec ce système, qui n’ont pas pu publier, qui n’ont pas pu accéder à des postes, qui n’ont pas pu avoir de financement pour leurs recherches.
LL : Et de quelle hérésie les accusait-on ?
MC : Simplement leurs façons de voir les choses. Un des cas que nous évoquons dans notre livre est celui de Virginia Steen-Macintyre, une géologue qui travaille pour l’US Geological Survey. Dans les années 1970, elle et quelques autres géologues ont daté un site à Hueyatlaco au Mexique où des outils de pierre très bien faits avaient été trouvés, des outils que seuls des hommes anatomiquement moderne ont pu fabriquer. En utilisant entre autres des techniques de datation par l’uranium, ils les datèrent d’environ 300 000 ans. Or, selon la théorie officielle, il n’y avait pas d’hommes en Amérique du Nord jusqu’à il y a 12 000 ans, même si certains aimeraient remonter jusqu’à 25 000, 30 000 ans. La doctrine officielle et conservatrice est de 12 000 ans. Ces outils parfaits de 300 000 ans sont donc vraiment incongrus aucun humain de cette sorte ne devrait vivre avant -100 000 ans. En fait, des outils semblables ont été trouvés en Europe, mais ils n’avaient pas plus de 40 000 ans ceux du Mexique avaient donc 250 000 ans de plus.
LL : Ça pose un problème, non?
MC : Ces chercheurs ont fait un rapport qui n’a pas pu être publié. Personne n’a voulu le publier. LL : Mais qu’est-il arrivé aux outils, où sont-ils aujourd’hui?
MC : Ils sont entreposés quelque part dans un musée. Comme ils ont été découverts assez récemment, on peut les retrouver. On a essayé d’avoir l’autorisation de les photographier pour notre livre, Histoire secrète, mais on ne nous a pas donné l’autorisation les a de publication des photos, sauf si on leur donnait une date maximale de 25 000 ans. Si l’on disait, comme le disent les géologues, que ces outils avaient 300 000 ans, on n’avait aucune autorisation.
LL : Toutes les informations dont nous disposons posent le problème de leur interprétation. Michael, racontez-moi encore quelques cas, puis j ’aimerais avoir votre sentiment sur cet héritage mondial — qui peut se prévaloir d’en dire quelque chose ? Quelles sont les restrictions ? Comment procède-t-on aux datations ? Comment sait-on de quelle manière sont datés les objets... ? Je sais que dans beaucoup de cas on s’appuie sur la stratification géologique, mais dites m’en plus et parlez- moi des enjeux autour de ces découvertes.

MC : Une découverte intéressante est le coquillage gravé trouvé au XIX’ siècle par Henry Stopes, un membre de la Société de géologie d’Angleterre, dans la formation de Red Crag, en Angleterre, qui date de la fin du Pléistocène, environ 2 millions d’années. La gravure est celle d’un visage humain et, selon le point de vue actuel, il ne peut dater que de 40 000 ans, tout au plus 2, voire 3 millions d’années, c’est donc anormal.
LL : OK, une autre découverte « anormale » ?
MC : Revenons en Amérique du Nord et à une période plus récente pour trouver un assez bon exemple de la manière dont une preuve peut être supprimée. Un certain docteur Lee a découvert des outils d’environ 70 000 ans dans une formation glaciaire à Sheguiandah, sur l’île de Manitoulin, dans la région des Grands Lacs au Canada. Comme je l’ai dit, la théorie veut qu’il n’y ait pas eu d’êtres humains en Amérique du Nord avant -12 000 ans. Lee travaillait au Musée National du Canada au moment où il a fait ces découvertes. Un géologue est venu sur le site pour confirmer la datation... avant d’être licencié. Personne ne voulait publier son rapport et il n’a pas pu trouver de travail pendant des années, il a été très touché et tous les outils découverts ont été remisés quelque part par le Musée, sans qu’il puisse dire le moindre mot.
LL : Il existe une bonne documentation sur la plupart des objets que vous évoquez dans votre livre; ça vous a demandé de mener une enquête dans la littérature scientifique, à la manière d’un détective. Mais vous mentionnez aussi quelques objets moins connus...
MC : En 1897, le Daily News d’Omaha, au Nebraska, publiait un article intitulé « Un os gravé enterré dans une mine. » Il s’agissait un morceau de roche d’environ 60 cm sur 30, gravé en forme de diamants. Des marques divisaient la surface en diamants, et chaque diamant avait au centre la gravure d’un visage humain, plutôt d’une personne âgée. La mine descendait profondément, à environ 40 m. Les mineurs ont expliqué que le sol n’avait pas bougé, ce en quoi on peut leur faire confiance puisque leur vie en dépend. S’ils se rendent compte qu’un glissement a pu faire bouger le charbon, ils sont très attentifs, car ils risquent d’en être prisonniers ou d’y laisser la vie. Dans cette région, le charbon a environ 300 millions d’années. Maintenant, où se trouve cet objet ? Nous sommes partis à sa recherche, mais nous n’avons pas retrouvé sa trace. On a trouvé une abondante
littérature le concernant, mais c’est tellement éloigné de ce qu’attendent les universitaires modernes que cela n’a pas été mis dans un musée. Probablement que l’un des mineurs l’a gardé et qu’à sa mort, il est revenu à quelqu’un de sa famille qui, peut-être, l’a jeté.
LL : J’ai aussi entendu parler de murs de pierres ensevelis à 45 m de profondeur. Je crois savoir qu’il en existe des exemples au Texas et en Californie. Vous vous êtes penché sur ces artefacts énormes que sont les murs ?
MC : Oui, nous nous sommes intéressés à ce genre de choses. On les mentionne dans notre livre. Un des cas est celui de Heavener, en Oklahoma. Un rapport mentionne un mineur de charbon qui, en 1928, travaillait dans une mine à plus de 3 000 mètre profondeur. Cette mine était faite d’une succession de chambres que l’on faisait exploser tous les jours. Un matin, donc, on procédait à l’explosion du charbon quand les mineurs ont vu, au bout de la chambre, un mur semblable à du ciment, doux et poli. Ils en ont parlé aux responsables de la mine qui ont fait sortir les mineurs de la zone avant de la combler.
LL : Si un jour la Terre devenait transparente, nous permettant de voir vraiment ce qu’elle renferme depuis si longtemps, les os de dinosaures, tous ces objets étranges, les empreintes de pieds, les restes humains, que pensez-vous que nous verrions, Michael, dans quelle proportion ?
MC : Nous aurions un tableau de toutes sortes de créatures, des humains entre autres, et cela en remontant sur des périodes très très anciennes. Mais voir n’est pas suffisant, on peut toujours voir les choses et laisser de côté les explications. On se heurte au fait qu’il y a deux manières de faire. Si une chose va dans le bon sens, alors pas de problème. Si on va à contre-courant, on vous trouvera toutes sortes de contre-arguments et même dans le meilleur des cas, vous vous heurterez toujours à des opposants. Au mieux, vous pourrez tout juste annoncer qu’il s’agit d’une fraude ou d’un canular...
LL : Oui, que quelqu’un l’a déposé là…
MC : Tout juste. Le problème est que si vous faites cela et que vous appliquez la même procédure que pour ce que l’on trouve dans les musées, alors il vous faudra tout jeter. Par exemple, si vous trouvez un squelette moderne dans du charbon près de la surface, s’il est en profondeur, alors il pourrait avoir 200 millions d’années ; mais, si quelqu’un affirme que c’était près de la surface, alors il est récent. Mais il se trouve que toutes les découvertes archéologiques, comme Luc le plus fameux spécimen d’Australopithèque connu qui a été découvert par Donald Johanson, en Éthiopie dans les années 70, ont été faites en surface. De fait, la plupart des Hommes de Java ont été trouvés en surface, ils n’étaient pas dans le sol.
LL : J’ai entendu parler de chaînes en or tombant de blocs de charbon... Vous connaissez des histoires à ce propos ?
MC : Oui, plusieurs livres en parlent, dont le nôtre. Un cas particulièrement intéressant est celui qui s’est passé en 1891 et qui a été rapporté par le Morrisonvile Times, dans l’Illinois. En fait, c’est la femme du directeur du journal, Mme Culp, qui cassait du charbon pour son poêle et qui trouva une chaînette en or, imbriquée dans le charbon. Elle cassa le morceau, mais la chaîne était tellement imbriquée que deux petits fragments restèrent fixés à chaque bout. De manière à contrôler l’histoire, nous avons vérifié que le journal avait bien une copie de cet article que nous connaissions sans l’avoir lu. On nous en a fait parvenir une copie. Ensuite, nous avons aussi vérifié l’âge du charbon dans lequel la chaîne avait été trouvée auprès du Bureau géologique de l’Illinois.
LL : Et la chaîne, qu’est-elle devenue ?
MC : Nous avons essayé de retrouver la trace de cette chaîne en or d’environ 300 millions d’années. Son propriétaire est mort en 1959 et la chaîne a circulé parmi les membres de sa famille, mais nous avons perdu la piste à partir de là. C’est pour cette raison que ce cas est mis dans les annexes du livre où nous parlons de vraies anomalies, mais sur lesquelles la documentation a fait défaut. Le reste du livre parle d’objets moins spectaculaires, mais sur lesquels la documentation est importante ; les objets sont toujours là, la plupart dans des musées où l’on peut les voir.
LL : Tom, de San Luis Obispo, vient de nous rejoindre, merci.
Tom : Je voulais revenir sur les sphères cannelées ; combien en a-t-on découvert, quelle est leur composition, la méthode de datation et, le cas échéant, si la datation a été confirmée.
MC : Les sphères métalliques ont été trouvées il y a longtemps à côté de Ottosdal, en Afrique du Sud. On en a découvert des centaines, mais elles n’ont pas toutes les cannelures au niveau de l’équateur. Celles-ci n’ont pas fait l’objet de publications scientifiques, c’est pourquoi nous en parlons dans nos annexes. Les sphères ont été conservées dans le musée de Klerksdorp, en Afrique du Sud, dont le conservateur — Roelf Marx — nous a dit qu’elles étaient complètement mystérieuses à ses yeux. Elles lui paraissaient être faites de main d’homme, ce sont ses mots ; or à l’époque où elles ont été déposées sur la roche, il n’y avait pas de vie intelligente sur Terre. C’est son point de vue, vous voyez comment cela fonctionne : elles paraissent faites par l’homme mais, elles ne peuvent l’être car « nous savons qu’à cette époque, il n’y avait pas d’humain, ni aucune sorte de vie. » Elles ont été trouvées dans une couche de pyrophilite, un minéral âgé de 2,8 milliards d’années. Le conservateur tient cette information du Pr Bisschoff, professeur de géologie à l’université de Potchefstroom. On dit que ces sphères sont faites de limonite (sorte de fer), mais d’une limonite assez particulière puisque elle est extrêmement dure, au point qu’une pointe d’acier ne peut pas la rayer. Or la limonite ordinaire est très tendre ; ces sphères sont donc mystérieuses. Dans la mesure où aucune publication scientifique ne les a décrites, on ne peut avoir de certitudes, et je ne pense pas qu’un chercheur pourrait admettre qu’elles ont été faites par un être humain, en dépit des apparences.
LL : Revenons avant d’achever cette interview sur cette empreinte de semelle de chaussure qui a été trouvée dans une roche du Trias. Où est cette roche ?
MC : C’est encore une de ces magnifiques preuves qui ont été montrées aux scientifiques puis occultées. Celui qui l’a découverte l’a apportée à New York et à l’université de Columbia. Il l’a montrée à quelques-uns des dirigeants de l’American Museum of Natural History et leur a laissée. Nous avons donc écrit au Musée et on nous a dit qu’il n’existait aucune information la concernant, aucun dossier.
Traduction : Jean Dhot
A propos de Michael Cremo :
Michael Cremo est chercheur en histoire et en philosophie des sciences, membre de l’History of Science Sociely et de l’American Anthropological Association. Son livre L ’Histoire secrète de l’espèce humaine écrit avec Richard Thomson est en cours de réédition. Son site : www.mcremo.com
À propos de Laura Lee
Laura Lee anime le Laura Lee Radio Show depuis 1990, se penchant sur tous les sujets traitant de l’histoire, de la conscience, de la vie… sous un angle alternatif. Son site : www.lauralee.com
Source : Nexus n°57

 

Selon diverses sources, y compris les déclarations du ministre du Tourisme du gouvernement mexicain, il sera bientôt rendu public une série de comprimés et de pierres sculptées appartenant à une pré-culture situé dans le site archéologique de Calakmul. cette enquête aurait été menée par l'Institut national d'anthropologie et d'histoire (INAH)

E
n 2011, le professeur Klauss Dona accompagné du Dr Nassim Haramein a présenté des photographies de certains comprimés lors d'une conférence au Centre des congrès de Sarrebruck en Allemagne.

Les comprimés seraient faits d'argent, l'or et des pierres utilisées pour faire des codex et dans les cultures ultérieures. la merveille de cette collection réside dans les images qui sont imprimées sur eux (semblables à des pierres inca).

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Anton Parks

Anton Parks, le dernier à avoir traduit de manière rigoureuse et sans fantasme les tablettes Sumérienne

Je vous recommande Eden paru en 2012
http://www.antonparks.com/main.php?page=eden

Et pour ceux qui aimerais en savoir plus concernant cette version de la VERITA...tout de suite, lire en-dessous

A
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En résumé et en vrac ( en vrac car , étant fainéant , je me sers de pas mal de copiers-collers , de commentaires des autres , glânés par ci par là , pour étayer mon propos . Que les auteurs de ces phrases empruntées m’excusent de ne pas citer les liens qui sont leur source ; y’en aurait trop . Partant en outre du principe que ce n’est pas le messager/les messagers qui importe mais le message ) :
" Il y a deux histoires ; l’histoire officielle, menteuse, puis l’histoire secrète, où sont les véritables causes des évènements " .
Honoré de Balzac
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Commençons par Eden . De Anton Park qui résume assez bien la vérité sur nos origines :
Le travail fourni par Anton Parks dans son dernier essai "Éden" est rigoureux , titanesque , pointu , consultable et vérifiable … et son corollaire est stupéfiant ! Avec ses traductions tout prend sens et le texte de la Genèse en devient cohérent : de la création d’Adam par Yahvé jusqu’à son expulsion du jardin en passant par l’arbre de la Connaissance du Bien et du Mal , l’Arbre de l’Immortalité ou encore le Serpent conseillant Ève de manger le fruit défendu … La " lumière " est enfin faite sur l’obscurité de ce
texte fondateur .
Et à moins que vous puissiez imaginer les Sumériens comme les premiers rédacteurs de récits de science-fiction, vous ne ressortirez pas indemnes des révélations faites dans cet "Éden" là …
Voici relaté ce qui semble bien être la véritable histoire du Jardin d’Eden . L’histoire d’Adam et Eve n’est pas celle que l’on croit . Le serpent n’a jamais été l’ennemi de l’humanité . L’homme et la femme n’ont jamais croqué de pomme . Le secret des dieux ( Intelligences supérieures extraterrestres ) leur fût révélé .
On oublie souvent que toutes les grandes religions monothéistes ont été influencées par des textes antérieurs . La Bible porte en elle l’empreinte des textes de l’ancien Orient , principalement les textes égyptiens et mésopotamiens .
Contrairement à ce que souhaite nous faire avaler la paléontologie officielle , l’homme moderne n’est pas l’aboutissement d’une évolution linéaire , mais une création d’êtres venus des étoiles . Le chercheur et linguiste Anton Parks , entre autres , nous dévoile sa vérité …
Anton Parks , écrivain et spécialiste des cultures de l’Orient , s’est penché sur l’étude de documents écrits considérés comme les plus anciens de l’humanité . En traduisant plusieurs tablettes ornées de signes cunéiformes qui avaient échappé à la plupart des spécialistes ( tablettes de Kharsag , exhumées il y a plus d’un siècle sur le site de Niffer , en Irak ) , Parks a pu non seulement retracer l’histoire de nos origines , mais également démontrer que la Genèse biblique n’était qu’une copie malheureuse et déformée d’un tel événement …
La réalité historique , en arrière de celle qu’ on nous a appris , est proprement renversante . Elle montre clairement que l’homme n’est pas la création , le chouchou préférée , de Dieu , qu’il n’a pas été créé directement par Dieu/La Source mais par un exécutant subalterne , un extraterrestre parmi d’autres ( nous sommes des créations de laboratoire puis ogm) , qu’il
ne doit pas attendre de messie car il est déjà venu . Tout est déjà révélé , mais caché . L’homme a été façonné à l’image de ses « Dieux » créateurs avec tous les éléments en lui pour se sauver lui-même . Nous avons simplement besoin de nous réveiller d’un profond sommeil d’ignorance afin de percevoir pleinement la vraie nature du réel ainsi que la spiritualité lovée au fond de notre conscience , héritage que l’homme partage avec ses « créateurs ».
À partir de 1872 , date de la traduction de la version babylonienne en cunéiforme du Déluge découverte à Ninive , le monde de l’assyriologie a pendant 140 ans entretenu le fiévreux espoir d’exhumer et de traduire les textes originaux qui se rapportaient au jardin d’Eden et au péché originel . On se doutait depuis longtemps que ces documents devaient exister sur des tablettes d’argile , sauf qu’ils semblaient , jusqu’à aujourd’hui , parfaitement introuvables . Entre 1889 et 1900, des archéologues de l’université américaine de Pennsylvanie entreprirent des fouilles étendues sur le site de Niffer (Nippur) , au coeur même de l’ancienne Mésopotamie . Une vaste collection de textes sumériens fut ainsi rendue à la lumière du jour , parmi lesquels figuraient une dizaine de tablettes d’une importance capitale quant à la connaissance des sources de la Genèse biblique et de nos origines . Personne ne semblait pourtant l’avoir remarqué ! Ayant repris les traductions insatisfaisantes de ses Prédécesseurs, Anton Parks s’est attelé , pendant quatre années d’un labeur intense , à restituer enfin la quintessence originelle de ces documents inestimables , pour nous l’exposer dans son ouvrage fascinant " Eden ".
Vous découvrirez ainsi que le début de la Genèse de la Bible n’est qu’une version tronquée de ce que révèlent ces tablettes fraîchement retraduites . Le Jardin d’Eden , le Serpent tentateur et la Faute de l’homme apparaissent ici sous un éclairage totalement inédit , qui nous montre à quel point ces épisodes ont progressivement été rendus incompréhensibles au gré de leurs réécritures . Notre civilisation est aujourd’hui en âge de percer un Secret que bien des sacrifices ont jusque-là préservé des mains des "profanes". Car parmi les trésors que recèle le monde , il n’en est qu’un seul qui contienne tous les mystères réunis : celui qu’est la vraie histoire de la Création et des origines du bien et du mal .
En cette époque de révélations de toutes sortes, il paraît pour le moins essentiel de s’interroger sur la réalité de ce qui a fondé les trois grandes religions du Livre ! Les vérités dévoilées ici ne se contentent pas de nous secouer , elles plongent tout bonnement jusqu’aux racines mêmes de la civilisation occidentale !
Pour qui s’est donné la peine – euh pardon , faut pas que ce soit une peine mais plutôt l’envie et la curiosité et …du coup s’offrir l’opportunité de se servir de cette faculté humaine qui est l’intellect et son pouvoir de questionnement légitime , pour ne pas mourir idiot/ignorant – de lire les Ecrits Anciens , Il devient clair que de Sumer ( contant le récit de ses dieux , en faits des intelligences supérieures extraterrestres ) découle les 3 grandes religions Abrahamique ( nb : Abraham est originaire de Ur en Mésopotamie ; il était sumérien et le peuple juif y a été déporté par Nabuchadonosor . Ils furent libérés ensuite en -539 par Cyrus ) et la Bible/l’Ancien Testament qui a à son tour influencé le Coran et le Nouveau Testament .
Le Dieu Créateur relaté par chacune de ces religions ne serait pas en fait Dieu/Source Première/Créateur de toutes choses mais un "dieu" parmi les "dieux" , ces extraterrestres en contact et déifiés par les sumériens . Vous avez bien compris mes amis ! Nos religions adorent un extraterrestre ! Et en plus , pas le bon ! Je parle de Yahve/Jéhova ; Jéhova c’est pas le bon ! Eh oui çà c’est le comble , mdr ( vous allez pouvoir le constater en lisant la suite ) . Et nous sommes le fruit d’une hybridation homo erectus/extraterrestre !
Comprenez maintenant pourquoi le Vatican , entre autres , est inquiet concernant l’arrivée de nos Visiteurs Aliens bientôt ( pourquoi il a 2 grands Télescopes pour scruter l’espace – dont l’un s’appelle" Lucifer " – et ce qui vient et pourquoi nous avons en dernière minute un Pape jésuite . Ce sont les jésuites qui s’occupent des télescopes et ils sont ouverts à la réalité extraterrestre ; pour faire court ) . Les nouveaux arrivants donc qui sont , entre autres , les Annunakis et ces derniers sont nos créateurs/géniteurs !
Parce que ceci va être dévoilé et C’EST ENORME ! Une remise en question complète des dogmes religieux .
Personnellement , que les religions disparaissent ne m’affectera aucunement car je n’en suis pas fan . Les religions ne sont , ne devraient être , que des moyens /outils de révélation et de célébration de cette Transcendante Source première /Dieu . Ce qui n’est pas le cas , hier comme aujourd’hui . Elles sont plutôt devenus des outils pour asseoir le pouvoir monarchique et politique de leurs dirigeants , pour la plupart . Ils n’ont pas hésité , pour ce faire , sur les moyens , assassinant , torturant à tours de bras . Ma religion est en moi . L’Océan étant dans chacune de ses gouttes . Dieu est en chacun de vous . Libérez-vous des religions !
Mais cette remise des pendules à l’heure n’est pas si grave à mon sens ; disons qu’on n’a pas été créé par Dieu directement mais par un sous fifre , euh pardon , par un exécutant , un extraterrestre .( ces "dieux d’avant", s’ils sont très probablement nos créateurs, ne sont pas plus divins que nous ) .
Ce qui rabaisse un peu notre orgueil car cela signifie qu’on n’est pas la race " au centre de l’univers " , le " nombril du monde " , la race préférée du Créateur . Les trois grandes religions dominantes nous ont confortés dans cette idée , soigneusement placés au centre de toutes les attentions divines , de tout l’univers .
Loin de là ! On est issu d’une boîte de pétri ! OGM . Rats de laboratoire . Je me fends . Je suis tordu ( de rire ) là , et vous lol !
Dans tous les milieux gnostiques , hermétistes , ésotériques , le vrai Dieu n’est pas Yahvé . Et pour cause Yahveh est considéré par les gnostiques comme le chef des Archontes , le grand démiurge , créature maléfique par excellence. Yahvé est Enlil , "dieu" extraterrestre qui se servait de nous comme esclaves , mentionné dans les Tablettes sumériennes ; et notre Sauveur est son frère Saam Ea Enki qui nous a fait évolués en croisant l’adn des "dieux " , adn extraterrestre donc , avec le nôtre . Il a été banni pour çà par les siens , d’ou son nom de Lucifer qui signifie " Porteur de lumière " ( il a apporté la lumière aux hommes ) , " Ange déchu " ( déchu par les siens ) , " Prince des ténèbres " ( exilé dans les contrées ténébreuses de l’Abzul
par les siens ) .
Selon les gnostiques , les Serpents ( ces "dieux " extraterrestres ) sont nos instructeurs , des démiurges qui ont façonné nos corps , mais pas notre âme , qui ne leur appartient pas , car elle est incréée . Nous sommes nés de la lumière , tout comme eux . Mais notre véhicule terrestre c’est à eux que nous le devons , aux démiurges . Démiurge est un mot grec pour désigner les créateurs d’espèces qui agissent en lieu et place de la Source ; ils les appelaient demiurgos, des démiurges .
Les gnostiques, «fils du Serpent» :
Les Ophites , les Naassènes , mais aussi les Pérates , étaient , comme leur nom l’indique , des «adorateurs du serpent». Le serpent Soter (naas en hébreu, ophis en grec) , déjà présent dans la mythologie des anciens cultes à mystères et des religions païennes , a été identifié par les auteurs gnostiques au Lucifer-Satan de la Genèse , dont ils inverseront la fonction ( à raison ; cela est confirmé par les Tablettes sumériennes : Lucifer est Enki qui sauva les hommes ) : il est alors considéré comme un messager du Dieu de Lumière, comme le Logos.
Jung fait référence à Soter comme étant le yoga de la Kundalini aussi appelé yoga de la Shakti . La Shakti est l’énergie créatrice du dieu , celle qui "détient le pouvoir", "qui est capable". Elle créé aussi le voile de l’illusion qui enferme les mortels dans l ‘erreur et l’ignorance . Mais Jung ne s’arrête pas là . Pour lui , la Kundalini est également semblable à Soter , le serpent sauveur des gnostiques , le serpent tentateur de la Bible . Les gnostiques considèrent que le monde matériel est imparfait . Il faut s’en libérer , ou plutôt libérer son âme d’essence divine , de ce monde inférieur pour atteindre l’être suprême par la Connaissance , la gnose . On comprend mieux le rapprochement avec les religions indiennes qui ont également pour objectif la libération de l’âme et du cycle des réincarnations pour atteindre l’Etre Suprême , Brahman , ou encore le nirvana , la félicité suprême .
Pour les gnostiques , le serpent Soter est un sauveur puisqu’il offre à Eve à travers la pomme , la Connaissance , la gnose libératrice qui permettra au mortel de se libérer de ce monde matériel .
Le serpent dieu créateur est mentionné un peu partout : Le serpent comme créateur apparaît dans diverses mythologies, chez les aborigènes australiens, les Dogons du Mali , par exemple, ou chez les Massim de Papouasie , où il protégea le feu , civilisateur , des déluges de Goga , déeese de la pluie . Dans l’Égypte antique , Atoum, dieu-serpent , est le premier à avoir émergé des eaux primordiales et a engendré le monde . Le Livre des Morts lui fait dire : «Je suis ce qui demeure…Le monde retournera au Chaos, à l’indifférencié , je me transformerai alors en serpent qu’aucun homme ne connaît , qu’aucun dieu ne voit !» En Chine, un mythe de création fait intervenir Nü Gua , descendue du ciel sur la terre et qui créa les humains à partir de boue .
Dans le cadre des cosmogonies gnostiques, c’est Jehovah ( assimilé à Enlil ) , c’est-à-dire le Démiurge , le faux Dieu , qui a emprisonné Adam et Eve dans un monde d’illusions , et c’est Lucifer ( assimilé à Ea Enki ) , qui vient les délivrer , en leur apportant la «science du Bien et du Mal» , la gnose salvatrice, divinisatrice , et rédemptrice . «Nous vénérons le Serpent , disaient les Ophites , parce que Dieu l’a fait cause de la Gnose pour l’humanité .
Paroles d’un gnostique : " La trahison spirituelle de l’Eglise et surtout l’Eglise catholique se situe à partir de l’empereur Constantin qui a fait de l’église catholique son bras armé et séculier , politico-financier . La liste est longue des hérésies de l’Eglise et de ses erreurs monstrueuses : Croisades,inquisition,tortures,chasse aux sorcières ou prétendues telles , immédiatement brûlées vives . Jeanne d’Arc , brûlée par l’évêque Cauchon , guerres de religion , obligation de la dîme (dont la noblesse était dispensée ) , soutien des riches et des puissants etc ".
Le but n’est pas ici de faire le procès de l’Eglise ou des religions . Mais il y a ce qui est . Comprendre que les religions ont à leur tête des dirigeants avec un mega ego , se prenant pour détenteurs de la vérité et eux exclusivement , prêts à tout pour servir leur aveuglement alors qu’ils sont à côté de la plaque .
Vous trouverez votre religion plus sûrement en vous-même ." Le royaume des cieux est en vous " et " La lumière est dans les ténèbres -mêmes " disait Jésus . L’Océan est dans chacune de ces gouttes . C’est çà qui est à célébrer . Votre corps avec sa capacité intellectuelle de questionnement et le monde dans lequel il se trouve , sont des outils pour çà . “L’homme est un Dieu tombé qui se souvient des Cieux” dit Lamartine, le poète.
Re-naît à ce que tu es véritablement ! Gnoti seauton !
Connais-toi toi-même ! Sors de ton amnésie ( amnésie ou falsification induite/lavage de cerveau , depuis notre enfance , habilement entretenu ? ) et naîts de nouveau !
Cette connaissance , ce réveil , n’est pas réservé à une élite gnostique mais destinée à tous .
Il y a ce qui est . Tel semble , non , tel " est ", la réalité . OGM pluri manipulés nous sommes , voila notre identité ( du moins celle de notre revêtement biologique ) . Pas grave , quelle importance ? Sauf pour ceux qui se sont imposés comme détendeurs de vérité et qui étaient complètement dans l’erreur ( et qui s’obstineront à nier cette évidence , j’en suis sûr ) . Vanité , tout est vanité . Sic passa gloria mundi .
Je vai avoir beaucoup d’ennemis .
Tous les récits relatent les mêmes faits , avec des noms diférents , partant des Ecrits sumériens , donnés aux sumériens par Ea Enki , le créateur des hommes . La Genèse ( Tablette sumérienne " Epopée de Gilgamesh " ) , les origines de la création , ainsi que les évènements du jardin d’Eden ( Tablette sumérienne " Enki & Ninhursag " ) , le déluge ( le Noé sumérien s’appelle Uta-napishti/Ziousoudra/Atra aziz .) etc , sont décrits d’une façon étonnamment précise dans plusieurs tablettes Mésopotamiennes ( Voir Eden de Anton Park , entre autres sources ) .
L’épopée de Gilgamesh est un récit légendaire de l’ancienne Mésopotamie , considéré comme la première œuvre littéraire de l’humanité . Elle a été rédigée en écriture cunéiforme sur des tablettes d’argile , datées du 8 ème siècle av. J.-C., que l’on a retrouvées dans la bibliothèque du roi assyrien Assourbanipal à NINIVE . Elle s’inspire de plusieurs récits , en particulier sumériens , composés bien avant l’arrivée des sémites Accadiens , au milieu du 3ème millénaire av. J.-C . Mais la tradition orale est probablement beaucoup plus ancienne et pourrait remonter à la préhistoire .
Cette œuvre a connu une large diffusion , à la fois dans l’espace (tout le monde méditerranéen) et dans le temps (elle est attestée jusque dans les manuscrits de Qumran , peu avant l’ère chrétienne ) . On y voit l’origine de la plupart des mythes fondateurs de l’Antiquité et on en retrouve des traces dans la bible et le coran .
Les récits bibliques des 11 premiers chapitres de la Genèse sont inspirés des myhtes et légendes sumériennes .
Il est intéressant de constater que dans la version Sumérienne , on parle presque toujours de plusieurs Dieux , alors que pour la version Biblique , on parle d’Elohim , qui généralement est traduit par le Dieu unique . Cependant , la terminaison en -im d’Elohim , en hébreu s’applique généralement à un nom pluriel .
Il y aurait-il eut une confusion de traduction, ou un remaniement volontaire ?
Les comparaisons ne s’arrêtent pas là et sont nombreuses , mais on retrouve également l’histoire la plus célèbre du monde : Adam et Ève et le jardin d’Eden , notamment sur les Tablettes de Ninhursag et Enki , ainsi que sur les tablettes de Kharsag ou Harsag , et sur d’autres également .
Enki , l’une des divinités principales de Sumer, est de toute évidence en relation avec Osiris , il pourrait s’agir de la même divinité . Tous deux à l’origine de l’évolution et de la protection du peuple , prenant leur sources dans les eaux des mondes souterrains , ces deux divinités mélangent leurs symboles et leurs récits , à tel point que la distinction entre les légendes Sumériennes et Égyptiennes sont difficiles .
Seth , l’ennemi juré d’Osiris est de toute évidence à mettre en relation avec Enlil , le rival d’Enki . La haine qui alimente leurs combats est légendaire et se propage de Sumer à l’Egypte . De même qu’Ereskigal , qui signifie en Sumérien "la Grande Reine de la Terre", correspond très probablement à la Grande Isis .
Quelques questions viennent à l’esprit ! Sont-ils véritablement les mêmes personnages ? La tradition symbolique est-t-elle une répétition traditionnelle encrée dans l’inconscient collectif ? S’agit-il de légendes ou de véritables évènements Sumériens repris par les Égyptiens, puis repris par Grecs et les Judéo-Chrétiens ?
On retrouve beaucoup de mythes et de légendes racontant les mêmes évènements , comme si les récits avaient traversés le temps (avec quelques transformations) jusqu’à l’Égypte , et jusqu’au Christianisme ensuite .
La question devint donc "Quels sont les véritables ancêtres bâtisseurs de Sumer ?"
Une reflexion avant de poursuivre : l’origine de nos souffrances ( lien en bas de page ) est à chercher dans la religion et non pas dans la spiritualité. Celui qui cherche à nous guider, nous contraindre, nous faire souffrir ou nous dominer comme des moutons, c’est un, ou plusieurs Dieux !
Partons donc à la recherche de l’origine de ces Dieux .
L’origine des 3 grandes religions du monde :
La majorité du monde est dominée par trois grandes religions le Christianisme, le Judaïsme et l’Islam.
Nous savons déjà que le Christianisme est une émanation du Judaïsme . L’Islam est une religion Abrahamique , c’est à dire que ses écritures sacrées , notamment le Coran , évoquent la figure d’Abraham , comme les deux autres religions d’ailleurs , qui sont elles aussi des religions Abrahamiques . Abraham , père spirituel des 3 grandes religions du monde .
En d’autres termes , les trois plus grandes religions du monde , à travers la Bible ou le Coran , viennent de la même source , des enseignements d’Abraham et de ses origines .
Il est reconnu que le Judaïsme est le plus ancien et représente les bases de référence des deux autres religions . Le christianisme est né au début du 5ème siècle après JC , alors que selon la tradition , l’islam est révélé à Mahomet au 7ème siècle après JC .
L’Islam reconnaît la plus part des textes de la Bible , mais considère que beaucoup ont été falsifiés volontairement , ou mal interprétés , constituant ainsi l’origine de la plus grande cause de mortalité humaine jusqu’à nos jours . Il y a de quoi avoir des frissons dans le dos.
Explorons maintenant les origines du Judaïsme :
Si on remonte au temps de Moïse , il paraît évident que les Hébreux (Ancêtres des Juifs) ont subit une très forte influence Egyptienne , dut à leur séjour prolongé en Égypte .
D’après de nombreuses recherches récentes , contrairement à ce que dit la Bible , tous les Hébreux n’étaient pas les esclaves des Égyptiens ; ils étaient payés et ont certainement bénéficié des connaissances et de la culture Pharaonique . De plus , il ne faut oublier que Moïse lui même , selon la Bible , a été élevé comme un prince Égyptien , ayant accès aux secrets les plus gardés , enseignés dans la maison de vie de Pharaon .
Influence Egyptienne du Judaïsme :
Dans l’histoire antique des juifs , il existe une autre influence majeure qui a certainement lourdement contribué à une bonne partie de la culture Judaïque , c’est la longue période de déportation à Babylone par Nabuchodonosor .
Extrait de Wikipédia sur la déportation à Babylone :
"Selon le livre de Jérémie, la déportation des Judéens s’est faite en trois fois (Jérémie 52,28-30). La première au temps de Joaquin (597 av. J.-C. ?), suite à la défaite du Royaume de Juda face à Nabuchodonosor II ; le Temple de Jérusalem est alors partiellement dépouillé et la majorité des citoyens emmenés. Onze ans plus tard (après une révolte contre l’empire sous le règne de Sédécias), la ville est entièrement rasée et une nouvelle déportation, moins importante, s’ensuit. Finalement, Jérémie fait état d’un troisième exil cinq ans plus tard."
Les juifs se sont tellement intégrés à la culture Mésopotamienne que la plupart sont restés sur place , car ils s’y sentaient chez eux . Il faut dire qu’Abraham , leur père spirituel fondateur est né à Ur/Our en Mésopotamie – sumérien donc – et que sa sagesse et ses connaissances lui ont été transmis à partir des anciennes traditions de ce pays .
Preuve de leur intégration, pendant cette période, les juifs ont été les fondateurs des premières banques . Ils ont été également les fondateurs de quelque chose de beaucoup plus grand ; la création de la Bible , dont une grande partie à certainement été compilées et rédigé à Babylone pendant la déportation .
Faut-il donc chercher les origines de la Bible dans la culture Mésopotamienne ? Cela parait incroyable , et pourtant !
En fait , il faut plutôt remonter à la civilisation Sumérienne pour trouver des traces de l’origine de la Bible sur des tablettes d’argiles , en écriture cunéiforme .
En effet , en ne prenant que quelques exemples les plus connus , de nombreux évènements décrits dans la Bible se retrouvent sur des tablettes beaucoup plus anciennes , datant des origines de la mythologie Sumérienne .
Par exemple , dans l’épopée de Gilgamesh , qui évoque la recherche et la quête de l’arbre de vie , (en quelque sorte, la quête de la connaissance et de l’immortalité ) , parle d’un homme qui raconte à Gilgamesh l’histoire d’un personnage correspondant d’une façon troublante à l’épisode de Noé et du déluge .
(Voir cet article pour l’exemple : Sumer sources des mythes et légendes du monde ici http://fargin.wordpress.com/2011/03/10/sumer-sources-des-mythes-et-legendes… ) .
Sur certains textes , et notamment la tablette d’Emmerkar et le seigneur d’Aratta , ou sur la tablette de l’Ashmolean Museum d’Oxford , est expliqué un évènement qui ne peut que nous faire penser à l’épisode de la Tour de Babel .
Extrait de la tablette de l’Ashmolean Museum d’Oxford :
"… Enki, le Seigneur de l’abondance, dont les commandements sont sûrs, le Seigneur de la sagesse qui scrute la Terre, le chef des Dieux, le Seigneur d’Eridu, doté de sagesse, changera les mots de leurs bouches, y mît de la discorde, dans la langue de l’homme, qui avait été d’abord unique".
La Genèse , les origines de la création , sont décrites d’une façon étonnamment précise dans plusieurs tablettes Mésopotamiennes .
La genèse sur l’Homo Sapiens qui est en contradiction complète avec les conceptions des grandes religions du monde . Elle est , pourtant , scientifiquement la plus compréhensible et la plus logique , de plus , elle est en parallèle avec celle des Tibétains ( si on en croit le lama Lobsang Rampa ) , des Hawaiiens , des aborigènes d’Australie , des Indiens d’Amérique du Nord ( Apaches , Hopis et Sioux ) , des Mayas ( d’après le prétre de la confrérie blanche des Mayas , Miquel Angel ) .
D’après la thèse de Sitchin , les " Annunakiens " des mythes sumériens, "ceux qui descendaient du ciel sur la Terre", étaient des extra-terrestres venant d’une planète encore inconnue de notre système solaire qui fait le tour du Soleil en 3600 ans . Ces Annunakiens atterrirent pour la première fois sur notre Terre il y a environ 450.000 ans pour sauver leur planète . Ils se mirent à extraire de l’or et d’autres matières premières dont ils avaient besoin et créèrent l’Homo Sapiens il y a 300.000 ans environ en faisant des manipulations génétiques sur des femelles d’hominiens . Ils avaient besoin d’aide , car ils ne voulaient plus extraire eux-mêmes ces matières premières . La Mésopotamie fut leur première colonie .
Bien que certains spécialistes soient sceptiques face aux thèses de Sitchin des astronautes-Dieux , le monde scientifique doit de plus en plus reconnaître que ses conclusions sont justes . Surtout depuis que les sondes spatiales américaines "Voyager" ont photographié Uranus et Neptune et prouvé que la description des Sumériens d’après laquelle les deux planètes étaient jumelles avec une végétation marécageuse bleu-vert était exacte . Uranus et Neptune ne furent , pourtant , découvertes officiellement que récemment .
William Bradley écrit dans "Die Götter von Eden" sur les Sumériens : "Sur les tablettes mésopotamiennes, la création de l’Homo Sapiens est attribué surtout à un "Dieu".
Le nom de ce "Dieu" est EA. Il aurait été le fils d’un roi de ces extra-terrestres qui, dit-on, régnait sur une autre planète appartenant au vaste royaume de cette race extra-terrestre. Le prince EA était connu sous le titre "EN.KI", cela signifie "Seigneur (ou prince) de la Terre". D’après les textes des Sumériens, le titre d’EA n’était pas tout à fait approprié. Il aurait perdu au profit de son demi-frère ENLIL d’immenses territoires de la Terre sur lesquels il régnait, suite à une des innombrables rivalités et intrigues qui préoccupaient apparemment les régnants des civilisations extra-terrestres." On attribue au PRINCE EA non seulement la "création de l’homme" mais aussi beaucoup d’autres réalisations. Il aurait asséché les marais du golfe Persique pour les remplacer par des terres fertiles, il aurait construit des digues et des bateaux et aurait été un bon
scientifique. Par sa création de l’homo sapiens, il donna la preuve qu’il s’y entendait dans la technique génétique, mais, si on en croit les tablettes en argile, cela nécessita beaucoup d’expérimentations. Et, ce qui est important, c’est qu’il aurait été bienveillant avec sa création, l’homo sapiens.
D’après les textes de Mésopotamie , EA Enki prit parti pour le nouveau genre humain au conseil des extra-terrestres . Il s’éleva contre beaucoup de cruautés que d’autres extra-terrestres, et parmi eux son frère Enlil, infligèrent aux hommes . Il ressort des tablettes sumériennes qu’il ne voulait pas faire de l’homme un esclave mais qu’il fut mis en minorité par les autres . Les hommes qui n’étaient pour eux rien d’autre que des bêtes de somme furent traités cruellement par leur maîtres .
On parle dans les tablettes de famines , maladies et de ce que nous appelons aujourd’hui , la conduite de guerre biologique . Mais comme ce génocide ne faisait pas assez régresser la population humaine , les extra-terrestres décidèrent d’exterminer les hommes en provoquant un grand déluge. Beaucoup d’archéologues confirment aujourd’hui qu’il y a eu au Proche-Orient un
déluge qui remonte à des millénaires qu’on retrouve non seulement dans les tablettes sumériennes mais aussi dans l’épopée de Gilgamesh , dans l’Ancien Testament et bien d’autres écrits .
D’après les textes sumériens , EA raconta à un Mésopotamien du nom d’Utnapischtim le plan des autres extra-terrestres et il lui apprit à construire un bâteau pour qu’il prenne la mer avec sa famille , quelques artisans , un peu d’or , du bétail et des animaux sauvages . L’histoire de Noé vient , comme beaucoup d’autres histoires de l’Ancien Testament , des écrits plus anciens de la Mésopotamie . Les Hébreux ne changèrent que les noms et instituèrent un seul Dieu dans la religion juive alors qu’il y avait de
nombreux dieux dans les écrits originels .
Et concernant ces "dieux " sur Terre , nombreux sont les écrits anciens qui y font mention :
- la mythologie Indienne ( Ramayana et Le Mahabharata , le Drona Parva , parlent également de batailles célestes, avec l’utilisation d’armes fantastiques, digne de nos meilleurs films de science fiction . Le Bhisma Parva qui décrit le conflit entre Arjuna et Bhisma , parle d’une arme céleste semblable au feu , tant en éclat qu’en énergie . Elle se nomme "Brahma-danda" , la baguette de Brahma ; elle est plus puissante que la foudre d’Indra , ne frappe qu’une fois pour détruire des pays entiers , et stigmatise des races sur plusieurs générations . Comment ne pas penser à une arme nucléaire ! )
- la mythologie Tibétaine ( Le Kanjur, Le Tanjur , Le BatamHgym , Le Bardo Thödol faisant mention de technologies hors du commun )
- la mythologie Chinoise ( Le Huai-nan-Tzu, le Shoo-king . Les légendes de Feng-shen-yen-i se rapprochent énormément de nos romans de science-fiction, et correspondent en tous points aux batailles aériennes du Mahabharata . Les Dieux ont à leur disposition des ordres de dragons volants . Les combattants projettent des rayons lumineux , libérant des gaz empoisonnés ; ils manipulent la foudre et le tonnerre ; ils lancent des dragons de feu et des globes enflammés . Ils pratiquent une guerre bactériologique . Ils peuvent se rendre invisibles et possèdent des radars pour voir et entendre à distance . Les Dieux utilisent des armes extraordinaires )
- la mythologie Japonaise ( le Nihongi évoque des astronautes )
- la mythologie Égyptienne ( relate les nombreux pouvoirs magiques des divinités )
- la mythologie Hébraïque ( Si on en croit les écritures bibliques sur l’épisode de l’Exode , Moïse aurait déclenché les 10 plaies d’Egypte pour obtenir la libération des Hébreux . L’eau changée en sang, les bestioles qui tombent du ciel, la mort des troupeaux , les gens et les animaux couverts d’ulcères , la grêle , l’épaisseur des ténèbres , et enfin la mort
des nouveaux nés , sont assez proches de ce que pourrait produire l’utilisation d’armes bactériologiques . Moïse demande aux hébreux de ne pas ouvrir les portes et de ne manger que ce qu’il leurs a prescrit , pour ne pas être affectés . Une espèce d’antidote ?
Dans l’exode, il semblerait que quelques étranges armes ou pouvoirs auraient accompagné les Hébreux dans leur périple. L’Exode, 13-21 :
"L’Eternel allait devant eux, le jour dans une colonne de nuée pour les guider dans leur chemin, et la nuit dans une colonne de feu pour les éclairer, afin qu’ils marchassent jour et nuit" .
Arche d’alliance : un coffret électromagnétique puissant ?
La fameuse Arche d’alliance, ne serait-elle pas un coffret électromagnétique puissant( c’est ce qu’affirme Nassim Haramein ) , qu’il ne fallait toucher sous aucun prétexte , sous peine d’être foudroyé instantanément ?
Le pectoral aux 12 pierres d’Aaron, les pouvoirs extraordinaires de L’urim, du thummim, et du rubis, nous rappellent la technologie électronique de nos composants semi-conducteur.
- la mythologie Mésopotamienne ( Comme pour les autres mythologies , on parle ici de Dieux régnants sur la Terre à des époques inimaginables , soit 370 600 ans avant le déluge .Le Mou était-il une chambre céleste , un véhicule spatial pour emmener Inanna/Ishtar dans les cieux ? Et bien sûr l’Epopée de Gilgamesh largement évoqué ici concernant les Tablettes sumériennes ) .
qu liens concis à titre d’exemple :
http://homme-et-espace.over-blog.com/article-21135211.html
http://fargin.wordpress.com/2013/03/28/les-racines-de-nos-souffrances/
http://fargin.wordpress.com/2011/06/10/tablettes-de-kharsag-legendes-ou-rea…
http://fargin.wordpress.com/2011/03/10/sumer-sources-des-mythes-et-legendes…
Pour ceux qui ne connaissent pas le travail d’Anton Parks , sachez qu’il éclaire d’une manière totalement inédite l’histoire de l’humanité antédiluvienne et développe et développe une thèse partagée par un nombre croissant d’auteurs dont Zecharia Sitchin : nous sommes le fruits d’interactions complexes avec des entités extraterrestres que nous avons longtemps prises pour des "Dieu(x)".
Loin des paradigmes du darwinisme et du créationnisme , Parks propose une exogenèse de l’humanité fondée sur le décryptage des grands mythes fondateurs, mais aussi des textes sumériens et bibliques . Un voyage fascinant aux confins de nos origines .
EDEN par Anton Parks :
http://www.antonparks.com/main.php?page=eden
http://www.onnouscachetout.com/anton-parks-interview-web-2012
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Supplément sur Anton Park : L’humanité est une création extraterrestre . C’est une bonne nouvelle , une avant première et en même temps , une jolie exclusivité :
Anton Parks , l’auteur des Chroniques du Girku nous accorde une interview alors qu’il porte les dernières touches au deuxième tome de sa saga : Adam Genisis.
Pour expliquer le monde et les sociétés dans lesquelles nous vivons , nous avons recours à deux types de réponses : les unes émanent de la Science et des sciences humaines , les autres des mythes et des légendes sur la création du monde , et en ce qui nous concerne, les textes bibliques . Malheureusement , à l’usage , nous sommes contraints de reconnaître , pour de multiple raisons que les réponses aux questions fondamentales que nous nous posons provenant tant des champs des sciences exactes , des sciences humaines , des mythes et textes religieux sont largement insatisfaisantes .
La théorie de l’évolution des espèces de Darwin prise stricto sensu est incapable de répondre à des points fondamentaux concernant l’émergence brutale de l’intelligence , de certaines espèces animales et végétales ainsi qu’un paquet d’anomalies temporelles , à savoir des artefacts ; des objets et des créatures que l’on retrouve dans des périodes de l’histoire de la terre infiniment trop anciennes et qui ne sont pas supposés s’y retrouver .
Les récits bibliques imposent tout et n’expliquent rien . Ils ne font que nous informer sur l’existence d’un lien de soumission éternel et indéfectible entre un créateur , « Dieu » et ses créatures , les hommes , tous coupables d’une faute assez obscure concernant le fruit d’un arbre que les humains n’ont même pas volés mais ont eu la curiosité de manger parce qu’une vilaine créature reptilienne le leur proposait .
L’œuvre de Parks permet de jeter des ponts entre ces trois domaines : les sciences exactes , les sciences humaines et les mythes et légendes fondateurs de nos civilisations .
Elle demeure totalement originale , à part , étonnante , plongeant le lecteur dans un ballet incessant de questions et de réponses , jouant avec les racines de nos mythes les plus fondamentaux , les décodages de langues anciennes et modernes dans le cadre d’une saga épique .
Adam Genisis est donc le second opus des chroniques du Girku , l’œuvre en plusieurs volumes d’Anton Parks , qui retrace , textes à l’appui , l’histoire de la planète Terre et les raisons pour lesquelles , à un moment précis , a émergé de la réserve écologique terrienne , la lignée des hominidés . Ce deuxième tome réjouira les lecteurs du premier , car il reprend l’histoire là où l’auteur nous avait abandonné , moment crucial où le personnage de Sa’am/Enki du panthéon des "dieux sumériens" rejoint la Terre et marque de son empreinte une suite complexe et inexorable d’événements qui aboutiront à l’émergence de l’humanité d’abord primordiale , ensuite telle que nous la connaissons . Le projet "humanité", car il s’agit bien d’un projet , aurait du être une merveilleuse aventure du vivant et de la manifestation créée de l’intelligence . Malheureusement, cette aventure ,
comme le laisse sous-entendre les chroniques sumériennes et les textes bibliques qui en sont l’émanation expurgée et détournée , sera marquée par l’aliénation, la soumission , la souffrance qui marquent encore nos sociétés humaines . Ce destin lourd de souffrances et les limitations de l’appareil cognitif humain n’étaient pas prévus dans le programme de départ . A l’arrivée , l’homme contemporain expérimente une vie manipulée , mutilée , aliénée , faite de renoncement , d’ignorances et de subordinations .
Comment en est-on arrivé là ? Pourquoi ? Quelles sont les raisons qui ont présidé à l’émergence de cultes monothéistes marqués par la faute originelle , la notion de punition , de soumission , aux concepts de purs et d’impurs , d’élus ou d’indésirables ? A cet égard , le second tome répond très bien à ces questions et l’interview qui suit nous offre des
perspectives fascinantes .
Des visions confirmées par les textes sumériens :
Maintenant, comme nous l’avions déjà mentionné pour le tome 1 se pose le problème de la façon dont l’auteur a collecté ces informations et les a retranscrites . Depuis l’âge de 14 ans et pendant une durée de 10 ans , Anton Parks a été assailli par des visions qu’il ne pouvait contrôler , ordonner , dater . Il pensait au début recueillir des impressions visuelles sur un avenir improbable . Il lui faudra des années pour mettre de l’ordre dans ce déluge d’informations et surtout leur donner un sens . Lorsqu’il est en contact avec l’écriture et les textes sumériens , tout prend alors tournure et ses visions finissent par revêtir une réelle cohérence . On peut rester totalement sceptique ou hermétique face à ce type d’événement . Il reste le texte , les rapports tout à fait pertinents que l’auteur établit entre ses visions et des passages assez énigmatiques des chroniques anciennes , des écrits bibliques ou des textes apocryphes . Le lecteur ne pourra pas non plus échapper au décodage de la langue grâce au syllabaire sumérien .
Enfin, Anton Parks nous décrit le fonctionnement des rapports de force entre les soit disant "dieux" du panthéon sumérien et égyptien en élargissant le tableau vers un colossale bestiaire galactique , les Short Greys des récits d’abduction contemporains et un combat extrêmement complexe et fascinant entre de multiples civilisations extraterrestres dont l’identité est codée
grâce au syllabaire "Gina’abul sumérien".
Levons maintenant le rideau sur l’interview et dévoilons les premières visions, les premières réponses contenues dans Adam Genisis. Pour la suite lire :
http://pasdesecretentrenous.blogspot.com/2011/08/anton-parks-lhumanite-est-…
Les scientifiques tenant de la théorie de Darwin qui fait autorité encore aujourd’hui pourtant dans nos manuels scolaires .
Ces scientifiques sont réfractaires à toute nouvelle théorie au même titre que l’église et son dogme déiste . Ils ont cherché depuis toujours le chaînon manquant expliquant définitivement le lien entre le singe et l’humanoïde sans parvenir à le trouver . Ils ont donc cherché à tricher en en créant de faux pour imposer leur théorie .
Nous savons que le dogme scientist est aussi important que le dogme religieux . Il est impossible à bouger si vous n’avez pas une preuve irréfutable quand bien même la théorie imposée n’est elle-même pas indiscutable ! Qui impose les dogmes ? Qui dénit toute tentative de divulgation d’une autre théorie et pourquoi ?
Parce que le savoir est un pouvoir et que le véritable savoir ne doit pas être entre les mains des peuples . Il faut donc soit l’égarer sur un mauvais chemin soit le contraindre à accepter une vérité établie par des « sachants » qui décideront pour nous de ce que nous devons apprendre . Pourtant aucun n’a une preuve irréfutable et aucun n’a une certitude absolue n’est-ce pas?
Nous arrivons donc au moment de l’histoire de l’humanité où tous les dogmes vont voler en éclat devant la divulgation extra-terrestre . Le monde scientifique et le monde religieux vont … tomber sur le c-- bientôt ( sauf le Pape François et ses proches collaborateurs qui sont au courant depuis quelque temps déjà ) .
Une religion qui verra donc la vie autrement qui nous fera accepter les manipulations génétiques puisque nous sommes issus nous-même d’une modification génétique impulsée par des extra-terrestres . Des extra-terrestres qui sont pour la plupart non déterminés sexuellement et qui créent la vie par impulsion génétique et non par rapport sexuel – ce qui peut expliquer aussi cette offensive de la théorie du genre véhiculée par le mariage pour tous – Il faut nous faire admettre que masculin et féminin ne sont plus des codes naturels dans notre nouvelle compréhension d’une réalité qu’on découvre plus étendue .

Klauss Dona

Selon diverses sources, y compris les déclarations du ministre du Tourisme du gouvernement mexicain, il sera bientôt rendu public une série de comprimés et de pierres sculptées appartenant à une pré-culture situé dans le site archéologique de Calakmul. cette enquête aurait été menée par l'Institut national d'anthropologie et d'histoire (INAH)

E
n 2011, le professeur Klauss Dona accompagné du Dr Nassim Haramein a présenté des photographies de certains comprimés lors d'une conférence au Centre des congrès de Sarrebruck en Allemagne.

Les comprimés seraient faits d'argent, l'or et des pierres utilisées pour faire des codex et dans les cultures ultérieures. la merveille de cette collection réside dans les images qui sont imprimées sur eux (semblables à des pierres inca).

 images effacée par la source ----etrange

Californie : L’histoire d’une bougie d’allumage découverte dans une roche vieille de 500 000 ans

La « bougie d’allumage » Coso est l’une des reliques les plus intéressantes et anormales jamais découvertes.

Son histoire commence un beau matin en février 1961, quand les propriétaires d’un magasin de pierres précieuses étaient à la recherche de nouveaux matériaux dans les montagnes Coso à l’est de la Californie. Ils ne savaient pas que parmi les géodes qu’ils avaient ramassées, se trouvait en fait une relique hautement controversée qui mettrait à bas tout ce que nous savons du passé de notre planète.

Le lendemain, ils ont commencé à découper les roches, en espérant que des cristaux de valeur se trouvent à l’intérieur. A la place, ils ont découvert que l’une des géodes contenait un dispositif mécanique ressemblant à une bougie d’allumage.

Le dispositif lui-même était composé d’un cylindre en porcelaine entouré d’anneaux en cuivre. Les analyses aux rayons X ont montré qu’une tige métallique et que des ressorts en métal étaient logés à l’intérieur du cylindre. Le rocher contenait aussi une substance blanche et légère qui n’a jamais été identifiée.

Mais l’aspect le plus déroutant de cette géode est en fait son âge, qui a été déterminé par l’analyse des strates dans lesquelles l’objet a été trouvé, aussi bien que la présence de plusieurs fossiles d’animaux marins à sa surface. Les géologues ont déterminé que l’objet mystérieux soit vieux de 500,000 ans.

Toutes les preuves laissaient à croire que l’artefact Coso et la substance blanche qui remplissait la pierre avaient passé un long moment submergés dans de l’eau de mer. Mais quelle civilisation si avancée avait pu fabriquer un tel appareil pour ensuite le perdre? Venait-il même d’une civilisation terrestre? La science traditionnelle est incapable de répondre à ces questions.

Les adeptes du créationnisme ont cité cet objet comme étant la preuve de l’existence d’une civilisation qui a fleuri avant le grand Déluge, tandis que les athées l’ont toujours rejeté en tant que un canular.

Malheureusement, cette relique controversée n’a pas été sujette à des tests rigoureux et il y a très peu de chance qu’elle ne redevienne le sujet centrale d’une analyse scientifiques partiale. Elle a simplement disparu en 1969 et n’a jamais été retrouvée depuis.

Des dinosaures ont cotoyé les hommes

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Des dinosaures ont cotoyé les hommes, il y a seulement quelques milliers d'années !


Source

Un nouveau pavé dans la mare des défenseurs de la théorie de l'évolution. Les dinosaures auraient cohabité avec les hommes, c'est ce que soutenait déjà Immanuel Velikovsky (voir l'article du BBB). Voici une autre preuve-découverte qui a valu à un chercheur d'être licencié.

Un scientifique découvre une preuve allant contre la théorie de l'évolution et se retrouve licencié – un cas honteux pour la communauté scientifique

Le but ultime de la science devrait être de découvrir la vérité. Ce n'est pourtant pas toujours le cas dans la communauté scientifique.

Il existe des exemples de scientifiques ayant découvert des preuves qui contredisent les théories actuelles solidement établies et qui se retrouvent sans travail.

Voici un exemple flagrant expliquant pourquoi de nombreux scientifiques ont peur de s'exprimer pour ne pas risquer leur place.

En début d'année 2013, le chercheur Mark Armitage travaillait sur le site de l'excavation de Hell Creek dans le Montana, et il découvrit ce qu'il pensait être la plus grande corne de tricératops jamais exhumée sur le site.


De retour à CSUN (California State University, Northridge) et après examen de la corne sous un puissant microscope , Armitage fut fasciné par la découverte de tissus mous sur l'échantillon.

Les collèges d'Armitage se montrèrent moins que ravis par cette découverte, car elle présentait de sérieuses implications pour la théorie de l'évolution.


Squelette de tricératops au Musée d'Histoire Naturelle de Los Angeles


La découverte d'Armitage indiquait que les dinosaures sillonnaient toujours la terre il y a seulement quelques milliers d'années et ne s'étaient pas éteints il y a 60 millions d'années selon la théorie officielle.


Peu de temps après avoir annoncé sa découverte, Armitage fut licencié. Selon l'explication officielle du CSUN, on se passait des services d'Armitage en raison d'un manque de financement pour son poste.

Armitage, dont le travail était publié depuis plus de trente ans, intenta un procès au conseil d'administration, mentionna avoir subi une discrimination pour considérations religieuses.

Les découvertes d'Armitage furent finalement publiées en juillet 2013 dans le journal scientifique Acta Histochemica.

Résumé

Des tissus osseux mous fibreux ont été extraits d'une corne sus-orbitale d'un Tricératops horridus collectés à la formation de Hell Creek dans le Montana, USA. Du matériel mou était présent dans l'os pré et post-décalcifié. Le matériel de la corne présentait de nombreuses petites couches de matrice osseuse en lamelles. Cette matrice possédait d'importantes microstructures visibles avec des ostéocytes lamellaires. Des couches de tissu mou présentaient de multiples épaisseurs de tissu intact avec des structures de style ostéocyte montrant des interconnections et des ramifications secondaires. C'est le premier rapport de couches de tissu mou provenant d'une corne de tricératops portant des épaisseurs d'ostéocytes, et il élargit la gamme et le type de spécimens de dinosaures connus pour contenir du matériel non fossilisé dans la matrice osseuse.

Selon les documents du tribunal, peu de temps après la découverte originale des tissus mous, un officiel du CSUN a dit à Armitage, "Nous n'allons pas tolérer votre religion dans notre département !"

"Virer un employé pour ses idées religieuses est totalement inapproprié et illégal", a déclaré un avocat de l'Institut de Justice du Pacifique.

"Mais le faire pour tenter de réduire au silence un discours scientifique dans une université d'état est encore plus alarmant. Ce devrait être un signal d'alarme et un avertissement pour le monde universitaire."

Mark Armitage n'est malheureusement pas le seul scientifique à être renvoyé après avoir révélé une découverte qui contredit les théories orthodoxes. Ce qui conduit les gens à remettre en question et à douter de l'honnêteté et de la signification réelle de la science actuelle.


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Rappel : photo publiée d'une empreinte humaine et d'une empreinte de dinosaure découverte en 1908 au Texas

Pierres péruviennes montrant des dinosaures et des technologies avancées, considérées comme un OOPArt ou un canular

Les pierres d'Ica sont une vaste collection de pierres gravées, trouvées au Pérou dans le département d'Ica à partir des années 60, dont certaines représentent notamment des dinosaures, des technologies très avancées ou des scènes se déroulant dans l'espace...



Pierre d'Ica (collection Cabrera) montrant deux hommes luttant contre des dinosaures
(Source : Brattarb)

Popularisées par Javier Cabrera Darquera, les pierres d'Ica ont soulevé de nombreuses polémiques mais sont considérées de nos jours comme un canular moderne par la majorité des spécialistes. Elles sont toutefois encore souvent citées comme preuves par les créationnistes et les partisans de la théorie des anciens astronautes.


Description

Les pierres d'Ica sont en andésite, une roche volcanique abondante dans la région d'Ica. Elles sont le plus souvent noires, mais peuvent prendre d'autres teintes (gris, jaune ou rose).
Leur taille est également très variable, du galet de 20 g pour les plus petites au rocher de 500 kg pour les plus grosses. La grande majorité des pierres sont cependant de gros galets de quelques kg.
Les pierres d'Ica sont le plus souvent gravées, parfois sculptées en bas-relief, dans le style des cultures précolombiennes pré-incas (Nazca, Paracas, Tiahuanaco...) et incas. Certaines pierres sont très frustres, tandis que d'autres présentent des compositions artistiques plus riches et détaillées.
Elles dépeignent une grande variété de scènes, parmi lesquelles on peut ainsi observer :

  • des animaux divers et des plantes locales ;
  • des scènes de la vie courante, des cérémonies religieuses ;
  • des monstres imaginaires (dragons, chimères, sirènes...) ou des dinosaures ;
  • des populations précolombiennes combattant des dinosaures et des monstres, ou les utilisant comme monture ;


Pierre d'Ica (collection Cabrera) montrant un tricératops chevauché par un homme

  • des technologies futuristes : des astronomes utilisant des télescopes, des chirurgiens réalisant des opérations complexes (transplantations d'organes, césariennes, opération à coeur ouvert, trépanations, études d'embryons humains ou animaux), des machines volantes...
  • des paysages étranges ou des cartes montrant des continents inconnus, dans lesquels certains (comme Javier Cabrera) ont reconnu d'autres planètes ou des continents perdus comme l'Atlantide et Mu ;
  • des cartes du ciel montrant des étoiles et des astres divers ;
  • des scènes sexuelles : masturbation, homosexualité, bestialité...

Toutefois, certaines pierres d'Ica sont parfois difficiles à lire et leur interprétation est en grande partie laissée à l'imagination de l'observateur. Les scènes « d'opérations chirurgicales » peuvent être ainsi être vues comme des actes de cannibalismes, les machines volantes évoquent davantage des oiseaux que de vraies machines...
Les dessins des pierres d'Ica se répètent souvent, et certaines présentent des gravures similaires à quelques détails près.



Pierre d'Ica (collection Cabrera) montrant un « homme glyptolithique » observant une étoile filante avec une longue-vue
(Source : Geschichte in Chronologie)



Découverte

Les premières pierres d'Ica ont été trouvées à la fin des années 50, par un architecte du nom de Santiago Agurto Calvo et deux collectionneurs d'art précolombien, les frères Carlos et Pablo Soldi ; ils se constituèrent une petite collection de pierres gravées en les achetant à des paysans. En compagnie de l'archéologue Alejandro Pezzia Assereto, Agurto Calvo mena également des fouilles dans des tombes pré-Incas de la région d'Ocucaje en 1966, ce qui le conduisit à trouver d'autres pierres du même style.
Calvo écrivit un article sur le sujet en 1966 (Las piedras mágicas del Ocucaje) ; la même année, l'archéologue Herman Buse eu l'occasion d'étudier les pierres de la collection Soldi, et en parla dans son livre Introducción al Perú ; toutefois, ces deux mentions des pierres d'Ica passèrent assez inaperçue dans le monde scientifique.
Le Muséum Régional d'Ica montrait au début des années 60 quelques pierres gravées d'origine diverses, mais elles furent retirées de l'exposition quand des doutes sur leur authenticité apparurent.
C'est tout à fait par hasard en 1966 que le médecin péruvien Javier Cabrera Darquea découvrit sa première pierre d'Ica : il s'agissait d'un cadeau pour son 42ème anniversaire, offert de la part de son ami d'enfance Felix Llosa Romero qui connaissait l'intérêt de Cabrera pour l'archéologie précolombienne. Javier Cabrera pensa reconnaître sur la pierre gravée une espèce disparue de poisson et il commença alors à collecter d'autres pierres similaires.
Javier Cabrera se procura dans un premier temps 341 nouvelles pierres d'Ica en les achetant aux frères Soldi pour la faible somme de 7000 soles péruviennes (moins de 40 euros). Puis Cabrera en acheta plusieurs milliers d'autres à des paysans de la région d'Ica, notamment Basílio Uschuya et Irma Gutierrez de Aparcana.
Il est souvent affirmé sur certains sites internet que Cabrera avait hérité de son père une petite collection de pierres gravées, ce qui a toutefois été démenti par plusieurs auteurs. Si la famille de Cabrera a effectivement déterré des artefacts précolombien sur leur propriété, en revanche, ceux-ci furent perdues et Cabrera n'a jamais pu les voir.



La pierre donnée par Felix Llosa Romero à Cabrera, dans laquelle celui-ci reconnut une espèce éteinte de poisson
Entre la fin des années 60 et les années 80, Javier Cabrera Darquea enrichit sa collection de 11000 pièces. Les pierres d'Ica furent exposées dans un premier temps dans la Maison de la Culture d'Ica. Puis dès 1968, craignant que les pierres ne soient soustraites à la vue du public comme celles du Muséum Régional d'Ica, Javier Cabrera Darquea déplaça sa collection dans dans sa propre maison qu'il reconvertit en un musée consacré exclusivement aux pierres d'Ica.
Cabrera contacta également des spécialistes de l'histoire précolombienne pour leur demander d'examiner les pierres d'Ica, et il attira l'attention de la presse sur leur existence.
Suite à la parution du best-seller d'Erich von Däniken Présence des extraterrestres (plus connu sous son nom anglais : Chariots of the Gods ?) en 1968, de nombreux auteurs partisans de la théorie des anciens astronautes rédigèrent des livres sur l'existence d'un ancien contact avec les extraterrestres ; les pierres d'Ica y furent souvent mentionnées, ce qui contribua à faire connaître leur existence dans le monde entier.
Ainsi en 1974, suite à deux visites au musée des pierres d'Ica, Robert Charroux discute de l'affaire d'Ica dans tout un chapitre de son livre L'Enigme des Andes.
En 1976, Cabrera publia lui aussi un livre, El mensaje de las piedras grabadas de Ica (dont la traduction anglaise The Message of the Engraved Stones of Ica ne fut publiée qu'en 1989), dans lequel il exposait ses théories sur la nature et l'origine des pierres - qu'il appelait les glyptolithes (« pierres gravées » en grec). Il y spéculait également sur les informations d'ordre médicale, astronomique, historique... qui étaient selon lui données par les pierres.



Javier Cabrera Darquea, pris en photo dans son Musée des Pierres Gravées à Ica (date inconnue)
(Source : Bad Archeology)

En 1980, ayant appris que la reine d'Espagne Sofia manifestait un intérêt pour les pierres d'Ica, Cabrera lui fit expédier une des plus grosses pierres de collection... Un monolithe pesant plusieurs centaines de kg, qui nécessita une grue pour le charger et le décharger, et voyagea en avion jusqu'en Espagne.
En 1996, Javier Cabrera Darquea abandonna sa carrière de médecin (il était à la tête du département de médecine de l'Université de Lima) pour se consacrer exclusivement à l'étude des pierres gravées.
Cabrera mourut en 2001 des suites d'un cancer. Quelques 11000 pierres sont toujours actuellement exposées dans le musée, classées sur des étagères par catégorie (astronomie, médecine, transports, animaux... La collection est tenue par Maria Eugenia, la fille de Javier Cabrera.


Interprétation

Quasiment dès leur découverte, les pierres d'Ica ont été vues comme des Out of Place Art, des objets archéologiques anachroniques remettant en cause notre conception habituelle de l'histoire.
Selon les théories, les pierres d'Iva démontreraient l'existence à l'époque préhistorique d'une civilisation humaine possédant une technologie extrêmement avancée et des connaissances scientifiques très poussées. Robert Charroux pensait ainsi les pierres d'Ica avaient été réalisées par les survivants du continent perdu de l'Atlantide, en témoignage de leur civilisation jadis glorieuse.



Pierre d'Ica (collection Cabrera) figurant une mappe-monde avec quatre continents, dans lesquels Javier Cabrera et d'autres auteurs ont cru reconnaître l'Atlantide, Mu et la Lémurie
(Source : Brattarb)

D'autres personnes y ont vu un argument supplémentaire étayant la théorie des anciens astronautes. C'est notamment le cas du principal promoteur des pierres d'Ica, Javier Cabrera Darqua.
Selon Cabrera, les pierres auraient été réalisées par la civilisation des « hommes glyptolithiques » il y a plusieurs millions d'années, alors que les dinosaures existaient encore sur Terre. Ce peuple extraterrestre aurait été originaire de la constellation des Pléiades et d'une très grande intelligence ; d'après Cabrera, ils sont décrits sur les pierres d'Ica avec une large tête, des bras petits et faibles, un torse large et des jambes trapues.
La civilisation des glyptolithes aurait implanté des « codes cognitifs » chez certains primates (de l'espèce des Notharctus selon Cabrera) ce qui les aurait conduit à évoluer pour donner naissance à l'Homo sapiens modernes. Ces hommes modernes, organisé en diverses castes selon leur intelligence et regroupés dans une unique mégalopole gigantesque, étaient au service des hommes glyptolithiques qui les utilisaient pour réaliser diverses tâches : études scientifiques, aménagement de la terre...
Toutefois, la Terre connu une suite de catastrophes (séismes, réchauffement climatique puis ère glaciaire) qui conduisirent les extraterrestres à quitter la planète pour retourner sur leur monde originel. Les êtres humains, abandonnés par leurs créateurs et instructeurs, retournèrent à une vie sauvage et perdirent leur connaissances et leur technologie.
Avant de partir, les hommes glyptolithiques auraient cependant sculpté les pierres d'Ica, dans le but de transmettre à la postérité l'histoire de leur civilisation et de prévenir les générations futures de la survenue de nouvelles catastrophes.
Les populations précolombiennes seraient apparues bien après la civilisation des glyptolithes, et elles se seraient appropriées les pierres d'Ica en leur attribuant une origine divine. Cabrera spécule également sur la possibilité que les Incas et les peuples pré-Incas aient tiré une partie de leur savoir et de leur culture des pierres d'Ica.



Pierre d'Ica (collection Cabrera) montrant, selon certaines interprétations, un « homme glyptolithique » observant des « embryons » avec une loupe
(Source : Geschichte in Chronologie)

Plus rarement, les pierres d'Ica sont associées aux reptiliens, puisque certaines d'entre elles montrent des dinosaures humanoïdes.

Plusieurs créationnistes Terre-Jeune (qui s'appuient sur une lecture littérale de la Bible et affirment que la Terre n'est en réalité âgée que de 6000 ans) ont utilisés les pierres d'Ica comme preuve de leur théorie, notamment Dennis Swift et Don Patton. Selon eux, ces pierres confirmeraient que les hommes ont bien cohabité avec des dinosaures et des animaux préhistoriques il y a quelques milliers d'années dans le jardin d'Eden... Toutefois, le monde scientifique refuserait d'analyser ces pierres et tournerait en ridicule ceux qui en défendent l'authenticité, car il ne souhaiterait pas que le dogme de l'évolution et l'histoire officielle soient remis en question.
Sans aller jusqu'au créationnisme, les pierres d'Ica sont parfois citées par certains cryptozoologues qui veulent argumenter la possibilité que des dinosaures aient survécu plusieurs millions d'années après la date de leur extinction.

Les pierres d'Ica sont très souvent reliées aux figurines d'Acarambo?, une autre série d'OOPArt mexicains représentant des dinosaures cohabitant avec des humains, et aux géoglyphes de Nazca? situées non loin d'Ica (dans lesquels certains ont parfois vu un aéroport destiné aux vaisseaux spatiaux des hommes glyptolithiques).


Controverse autour de l'authenticité des pierres

Après une dizaine d'années de controverse, un consensus est progressivement apparu :

  • un petit nombre de pierres sont vraisemblablement d'authentiques artefacts précolombiens.
  • les autres, une majorité, sont des fraudes fabriquées ou bien dans les années 60 alors que Javier Cabrera cherchait à acheter un maximum de pierres auprès des paysans, ou bien des copies plus récentes réalisées pour les touristes depuis que les pierres d'Ica ont acquis une certaine notoriété dans le monde.


Pierre d'Ica (collection Cabrera) montrant une grande variété de dinosaures : on peut y voir un sauropode (gauche), un carnosaure (en haut à gauche), un ptéranodon (en haut, peu visible sur la photo), un stégosaure (en haut à droite), un tricératops (milieu) et un dinosaure non identifié (en bas).
(Source : Geschichte in Chronologie)

Le terrain de la polémique s'est déplacé : la problématique consiste dorénavant à distinguer les pierres relevant du canular de celles qui sont authentiques.
La majorité des spécialistes et archéologues ont peu de doute sur la nature frauduleuse des pierres les plus extravagantes (montrant des dinosaures, des scènes chirurgicales ou des extraterrestres) ; et même des auteurs pourtant très favorables à la théorie des anciens astronautes comme Erich von Däniken et David Hatcher Childress ont exprimé leur sérieuse réserve quant à leur authenticité.
Seule une poignée de personnes, comme l'auteur créationniste Dennis Swift ou les partisans des théories de Javier Cabrera Darquea, maintiennent encore que les pierres sont de vrais artefacts anciens.
Age et origine des pierres
Il n'existe pas ou très peu de preuves démontrant l'existence ancienne des pierres d'Ica. D'après l'auteur créationniste Dennis Swift, un père jésuite accompagnant Pizarro le long de la côte péruvienne en 1535 aurait exprimé son étonnement devant les pierres sculptées de la région ; quelques unes d'entre elles auraient même été envoyées en Espagne, mais elles auraient disparu depuis. De même, un chroniqueur indien, Juan de Santa Cruz Pachacuti Llamqui, aurait témoigné qu'au XVIème siècle, de nombreuses pierres gravées pouvaient être observées dans les royaumes chinchas.
Ces éléments démontreraient l'ancienneté des pierres, et donc selon les participants de l'authenticité des pierres d'Ica, exclurait l'hypothèse d'un canular moderne de grande ampleur.
Les sceptiques avancent toutefois que ces traductions sont impossibles à retrouver dans les textes originaux, ce qui jette un doute sur leur authenticité. En outre, il est de toute façon impossible de déterminer si les pierres brièvement mentionnées dans les textes anciens sont bel et bien des pierres d'Ica, ou des pierres gravées sans rapport avec celles-ci...
A l'inverse, les archéologues Alejandro Pezzia Assereto (Ica y el Perú Precolombino, 1968) et Alberto Rossel Castro (Arqueología sur del Perú, 1977) ont souligné très tôt l'étrangeté des circonstances de la découverte des pierres d'Ica, émergeant en nombre dans les années 60 sur les étals des huaqueros (pilleurs de tombes), alors que la région d'Ica avait déjà été l'objet de nombreuses fouilles scientifiques et qu'aucune n'avait permis de découvrir jusque là de telles pierres gravées.
Il est possible, toutefois, que les pierres aient pu être cachées durant cette période. Dans son livre de 1966, le préhistorien Herman Buse témoigna comment quelques années plus tôt en 1961, une crue de la rivière Ica avait mis en évidence de nombreuses pierres précolombiennes que les paysans avaient récupéré et vendu.



Pierre d'Ica (collection Cabrera) montrant un « dragon »
(Source : Brattarb)

La datation des pierres d'Ica se heurte à deux écueils :

  • les méthodes de datation absolues dites "radiométriques" sont inefficaces pour déterminer l'âge des gravures des pierres d'Ica... puisque toute analyse effectuée sur les pierres ne permettra que de déterminer l'ancienneté de la roche elle-même, et non pas l'époque à laquelle la gravure a été réalisée.
  • les méthodes de datation par stratigraphie (étudiant l'âge des couches géologiques où les pierres ont été trouvées) sont également impossibles à réaliser sur les pierres d'Ica, puisque dans la presque totalité des cas, les pierres ont été achetées à des paysans qui ne révélaient pas l'endroit où ils les avaient découvertes. La seule exception concerne les pierres déterrées dans des tombes par Agurto Calvo et Pezzia Assereto en 1966, qui furent attribuées à la culture Paracas (800 - 200 av. J-C.).


Le seul moyen de dater les pierres consiste donc à étudier les gravures elles-même, en déterminant avec quels outils elles ont été réalisées, dans quelles circonstances... Une technique souvent utilisée par les laboratoires consiste à étudier la patine d'oxydation qui recouvre les pierres, qui ne peut se former qu'après plusieurs années et qui donne une indication approximative de l'âge des pierres.
Javier Cabrera Darquea a toujours clamé, de 1966 jusqu'à sa mort en 2001, avoir cherché à attirer l'attention des archéologues sur les pierres et avoir demandé que celles-ci soient analysées en laboratoire. Selon ses dires, il se serait heurté à une vaste indifférence de la communauté scientifique.
Plusieurs études ont cependant été effectuées, dont les résultats sont souvent contradictoires.
Javier Cabrera affirmait avoir fait réaliser en 1967 une expertise d'une trentaine de ses pierres, dont certaines parmi les plus controversées, montrant des dinosaures. Elles furent examinées par le géologue Eric Wolf, qui observa que les pierres étaient recouverte d'une fine patine d'oxydation, y compris au niveau des gravures, ce qui le conduisait à penser qu'elles étaient anciennes. En outre, les gravures avaient été exécutées juste avant que les pierres n'aient été déposées dans les tombes ou les lieux archéologiques où elles avaient été découvertes... ce qui, selon Cabrera, indiquait qu'il ne s'agissait pas de simples objets d'art décoratifs mais qu'on avait cherché à les mettre à l'abri pour les transmettre à la postérité.
Des études complémentaires à l'Université de Bonn indiquèrent que l'andésite constituant les pierres d'Ica avait été formé durant l'ère Mésozoïque (entre 230 et 65 MA), aussi Javier Cabrera en déduisit-il que les gravures avaient plusieurs millions d'années (ce qui constitue un contresens en terme de datation, comme expliqué ci-dessus).



Pierre d'Ica (collection Cabrera) montrant deux hommes en adoration devant le soleil
Une autre étude fut réalisée indépendamment en 1966 par deux ingénieurs, Fernando de las Casas et Cesar Sotillo, sur des pierres que Agurto Calvo avait acheté à des huaqueros en 1962. L'étude conclut que les pierres étaient d'une dureté faible permettant de les travailler avec n'importe quel outil rudimentaire en os, en obsidienne ou en métal... ce qui pouvait en faire des artefacts précolombiens, mais n'excluait pas pour autant l'hypothèse du canular.
En 1976, le biologiste américain Ryan Drum étudia les pierres au microscope et n'y décela aucune trace d'usinage. La même année, un ingénieur de la NASA, Joseph Blumrich, analysa lui aussi une pierre d'Ica et observa une patine d'oxydation recouvrant toute la pierre, y compris les gravures.
Mais en 1998, l'ufologue espagnol Vicente Paris et José Antonio Lamich (directeur de la société d'étude du paranormal Hipergea) publièrent les résultats de 4 années d'enquête sur les pierres, à l'issue de laquelle ils concluaient au canular : des microphotographies de certaines pierres prouvaient que du papier de verre avait été utilisé, et en certains endroits, le crayon de couleur et la peinture ayant servi à dessiner le patron de la gravure étaient encore visibles, le couteau ayant débordé du patron.



Pierre d'Ica (collection Cabrera) montrant une « machine volante » ; l'observation microscopique met en évidence la trace d'un crayon de couleur rouge
(Source : José Antonio Carav@ca)

Dennis Swift affirme avoir étudié au microscope trois pierres gravées, auprès de deux entreprises spécialisées dans la vente de matériel optique de pointe (Palm Abrasive et Mason Optical Inc) : une pierre fabriquée à sa demande par Basilio Uchuya, une de la collection Cabrera, et une autre trouvée lors de fouilles à Nazca en 2001 montrant des « dinosaures ». Les observations auraient révélé que la première était récente (pas de patine d'oxydation) et présentait des marques d'outillage moderne ; les deux autres ne présentaient pas de marques d'usinage, la deuxième semblait "vieille" (sans qu'aucun âge ne puisse être déterminé de façon certaine), la troisième avait l'air très ancienne et présentait un aspect typique des pierres précolombiennes.
Ces travaux, outre qu'ils ne permettent pas de se prononcer sur l'authenticité des pierres de la collection Cabrera, ont été vivement critiqués pour leur caractère pseudo-scientifique : une entreprise commerciale n'est pas un laboratoire, et au demeurant Dennis Swift n'a pas les compétences pour expertiser les pierres (il est pasteur avec une formation en théologie). Ses détracteurs l'ont ainsi accusé de chercher uniquement à défendre ses croyances créationnistes à travers les pierres d'Ica.
Herman Buse rapporta en 1966 des propos des frères Soldi, qui affirmaient que les pierres qu'ils avaient trouvé au début des années 60 étaient souvent couvertes d'une couche de salpêtre, ce qui indiquait qu'elles avaient une certaine ancienneté... ce qui ne signifie pas, toutefois, qu'elles étaient vieilles de plusieurs millions d'années comme l'avançait Javier Cabrera.
Cabrera admettait que certaines pierres d'Ica étaient effectivement des créations "récentes" : des Incas ou des populations pré-Incas les auraient fabriqué en se servant de motifs et dessins transmis de génération en génération depuis des temps immémoriaux, ou ils se seraient inspirés de motifs qu'ils auraient vu sur des pierres anciennes de l'époque des hommes glyptolithiques. Selon lui, ces pierres "modernes" fabriquées par les précolombiens, étaient cependant reconnaissables à leur gravure et leurs dessins plus frustres que les pierres d'Ica réalisées par la civilisation des glyptolithes... Ce qui va à l'encontre de l'avis émis par Neil Steede (voir ci-dessous).



Pierre d'Ica (collection Cabrera) montrant une opération chirurgicale à coeur ouvert
(Source : Geschichte in Chronologie)


Les paysans et principaux pourvoyeurs de pierres d'Ica ont eu une attitude ambiguë, avouant à plusieurs reprises avoir fabriqué eux-même de toute pièce les pierres, avant de se rétracter et de clamer leur authenticité.
Le célèbre Erich von Däniken lui-même (considéré comme le père de la théorie des anciens astronautes) se rendit régulièrement à Ica pour enquêter sur les mystérieuses pierres gravées. En 1973, lors d'un entretien avec Basilio Uchuya, ce dernier lui avoua avoir créé lui-même les pierres qu'il avait vendu à Javier Cabrera Darquea. Il avait copié les gravures en s'inspirant de bandes dessinées, de magazines et de livres divers.
Däniken, pourtant au départ très favorable à l'authenticité des pierres, conclut à la fraude pour une grande partie des pierres d'Ica. L'auteur persistait cependant toujours à affirmer que certaines pierres de la collection Cabrera étaient authentiques, et qu'une étude au microscope permettait de distinguer les vraies pierres (patine avec microorganismes dans les gravures) des fausses (traces d'usinage).
Toutefois, quelques temps plus tard, Uchuya affirma au journaliste allemand Andreas Fischer que les pierres étaient authentiques. S'il avait prétendu les avoir fabriquées, c'est parce qu'il craignait d'être mis en prison pour recel d'artefacts archéologiques - les autorités péruviennes réprimant fermement le pillage de sites archéologiques.
Cet argument sera souvent utilisé par la suite par les partisans de l'authenticité des pierres, qui réfutent ainsi la sincérité des aveux de falsification d'Uchuya.
En janvier 1975, Basilio Uchuya et Irma Gutierrez de Aparcana affirmèrent à nouveau au journal péruvien Mundial qu'ils avaient fabriqué eux-même leurs pierres. Ils en avaient vendu principalement à Javier Cabrera Darquea, ainsi qu'à divers touristes dans une moindre mesure. De Aparcana montra aux journalistes l'endroit où elle extrayait les pierres et affirma qu'elle se dédiait entièrement à la fabrication des pierres, ce qui lui permettait d'en réaliser une vingtaine chaque semaine. Uchuya précisa quant à lui qu'il fabriquait des pierres depuis près de 10 ans mais qu'il avait arrêté d'en faire depuis quelques années déjà. Il détailla le processus lui permettant de produire les pierres : il brûlait les roches, les gravait avec un couteau à double lame, puis les plaçait un certain temps dans de l'argile, et il terminait son travail en les passant au cirage noire à chaussure. Enfin, Uchuya affirma que Cabrera lui-même était au courant de la supercherie.



Pierre d'Ica (collection Cabrera) montrant une scène ésotérique : un serpent s'enroulant autour d'un arbre, dans laquelle certains ont vu une représentation symbolique d'une double hélice d'ADN
(Source : Brattarb)

Quelques années plus tard en 1978, Uchuya réitéra ses aveux devant des journalistes qui tournaient le documentaire The Case of the Ancient Astronauts pour les chaînes PBS NOVA/BBC Horizon. Il fabriqua sous leurs yeux en une journée une pierre d'Ica, en la gravant avec un couteau, puis en la cuisant dans une corne remplie de fumier et en la passant au cirage à chaussure pour obtenir la patine extérieure.
Des photographies de pierres de la collection Cabrera furent également montrées à Uchuya, qui reconnut les avoir fabriqué.
Enfin, l'Institut des Sciences Géologiques de Londres examina une des pierres prêtées par Javier Cabrera ; il conclut qu'il s'agissait d'un faux, l'étude microscopique montrant qu'aucune patine d'oxydation ne recouvrait les gravures. Les gravures étaient en outre beaucoup trop nettes et trop claires pour des pierres supposées vieilles de milliers d'années.
En 1996, Irma Gutierrez de Aparcana montra à Vicente Paris la façon dont elle procédait pour fabriquer les pierres ; cette méthode était très similaire à celle employée par Uchuya.
Il n'est pas connu, à l'heure actuelle, si les techniques employées par Uchuya et de Aparcana auraient pu permettre de créer la « patine d'ancienneté » observée au microscope par certains spécialistes.
En 1996, la NBC publia un nouveau documentaire intitulé Jurassic Art, très sceptique à propos des pierres d'Ica. Uchuya, interrogé par l'archéologue Neil Steede, continua à affirmer que les pierres d'Ica n'étaient pas d'authentiques artefacts mais des faux réalisés par ses soins. Il précisa également que « graver des pierres était plus facile que travailler la terre », mais qu'il n'avait pas fabriqué toutes les pierres préservées dans la collection du musée d'Ica.
Steede observa également quelques pierres d'Ica de la collection de Cabrera, et nota que la patine qui les recouvrait n'était pas présente dans les sillons des gravures, indiquant ainsi une origine tout à fait moderne des pierres. A l'inverse, Steede eut accès à la collection de pierres du Muséum Régional d'Ica, aux origines diverses (vendues par les frères Soldi et divers paysans, ou récupérées des fouilles archéologiques de Calvo et Assereto) ; non seulement ces pierres ne montraient pas d'animaux préhistoriques ni de scènes futuristes, mais il leur trouva un travail beaucoup plus fin et plus précis que les pierres de Cabrera.

Cabrera a toujours nié avoir commandé des pierres à Uchuya ; il affirmait au contraire que les pierres étaient authentiques, et que les paysans lui avaient montré une grotte, révélée suite à un effondrement de terrain à proximité de la rivière Ica, dans laquelle une grande quantité de pierres gravées étaient entreposées. Il refusa cependant toujours d'en révéler l'emplacement, y compris à son proche ami Erich von Däniken, et à Neil Steede qui se proposait pourtant d'être amené sur le lieu les yeux bandés.
L'honnêteté de Javier Cabrera a été remise en question par plusieurs enquêtes ; lors de leurs enquête en 1998, Vicente Paris trouva de nombreuses personnes qui lui affirmèrent avoir vu le docteur Cabrera remettre aux paysans des dessins, qu'ils lui retournaient ensuite avec des pierres gravées. En 1971, Basilio Uchuya montra au reporter Alex Chionneti un des magazines que Cabrera lui aurait donné, qui exposait différents types de dinosaures, pour qu'il s'en serve comme source d'inspiration. La famille Uchuya confirma à nouveau ce fait à l'archéologue Federico Kauffmann en 1977.



Basilio Uchuya pris en photo avec un des magazines que lui aurait donné le docteur Cabrera (1971)
(Source : José Antonio Carav@ca)

En 1997, des journalistes de la chaîne allemande Kabel 1 menèrent leur propre enquête. Javier Cabrera Darquera les emmena - ignorant qu'ils tournaient en caméra cachée - dans un pièce secrète, inaccessible au public, dans laquelle il avait entreposé des figurines en argile montrant des dinosaures, des humanoïdes à a tête étrange, des kangourous... L'équipe allemande montra les images à Uchuya, qui affirma avoir réalisé également ces sculptures ; pour prouver ses dires, il leur montra une figurine similaire en tous points à celle de Cabrera.
La même année, dans son livre Arrival of the Gods, Erich von Däniken raconta qu'il avait pu observer les mêmes figurines en 1983, et que Cabrera l'avait même autorisé à les photographier en 1996 ! Däniken put également envoyer une de ces figurines pour analyse à l'Université de Zurich et de Weimar : les chercheurs conclurent à une origine moderne des figurines, l'argile contenant même encore de l'eau.
Les sculptures furent toutefois décrites comme authentiques et « vieilles de 50 millions d'années » en 1998 par le journaliste Iker Jiménez dans la revue Enigma.
Vicente Paris eut également accès à cette sale secrète dans les années 1990 ; il put y observer des pierres d'Ica représentant la crucifixion de Jésus, et une autre imitant La Cène de Léonard de Vinci !

Le créationniste Dennis Swift a rejeté en bloc les affirmations des sceptiques, et notamment le travail de Neil Steede. Il affirme que Basilio Uchuya lui aurait avoué ne pas avoir créé les pierres d'Ica mais les avoir récupéré sur des sites archéologiques de la région d'Ocucaje ; en guise de preuve, Uchuya lui aurait même montré des tombes dans lesquelles des pierres gravées similaires étaient visibles (chose qui n'a pas été prouvée par Swift, bien qu'un film aurait été apparemment tourné).



Pierre d'Ica (collection Cabrera) montrant une relation homosexuelle
(Source : Piedras de Ica)


Il a été souvent avancé que compte-tenu du nombre impressionnant de pierres d'Ica (près de 11000 dans la seule collection de Cabrera, sans compter les nombreuses autres possédées par diverses collections, exportées à l'étranger ou vendues à des touristes... Cabrera avait évalué le nombre total de pierres à 15000) et du laps de temps très court durant lequel la plupart d'entre elles furent collectées (moins de 10 ans), il était impossible que toutes soient des canulars réalisés par des faussaires. Leur création aurait représenté un temps et un travail beaucoup trop important, surtout en comparaison du prix dérisoire auquel les huaqueros vendaient les pierres.
Cette hypothèse fut notamment défendue par l'archéologue Herman Buse, qui soutenait qu'une partie au moins des pierres d'Ica étaient authentiques.
Toutefois, en dehors du très médiatique Basilio Uchuya, il n'est pas du tout exclu que d'autres paysans et huaqueros aient fabriqué des pierres d'Ica. Les divers reportages menés auprès d'Uchuya ont également montré qu'une pierre d'Ica pouvait être fabriqué en moins d'une journée, ce qui nuance le temps nécessaire à leur création. Irma Gutierrez de Aparcana montra également en 1991 à Vicente Paris comment elle et Uchuya choisissaient des pierres tendres pour pouvoir les graver plus facilement.
Vicente Paris a également mis en évidence que sur les 11000 pierres d'Ica de la collection Cabrera, seule une toute petite minorité était de vrais compositions artistiques ayant nécessité de longues heures de travail ; la plupart des pierres sont des petits galets gravés de façon très sommaire.

A l'heure actuelle, de nombreuses boutiques touristiques de la région d'Ica vendent de fausses pierres, fabriquées par des artisans locaux qui copient les pierres gravées conservées dans collection Cabrera. Le fils de Basilio Uchuya a repris le commerce de pierres gravées que tenait son père, et il les présente lui aussi comme d'authentiques artefacts anciens.
Le contenu des gravures
Il est souvent avancé par sceptiques que les pierres d'Ica dont l'origine serait réellement précolombienne ont un contenu beaucoup plus sage et moins original que celles de la collection de Cabrera. Elles ne dépeindraient pas de dinosaures ou de technologies futuristes, mais des animaux réels ou imaginaires, des plantes locales, des êtres humains, des scènes rituelles... Motifs que l'on retrouve habituellement dans la production céramique et textile des cultures pré-incas et incas.
Ainsi, Agurto Calvo n'a jamais observé la moindre originalité sur les pierres de sa collection, pas plus qu'Herman Buse sur les pierres de la collection Soldi qu'il a pu examiner en 1966. Les pierres gravées déterrées par Agurto Calvo et Pezzia Assereto dans les années 60, les seules à avoir jamais été authentifiées de façon sûre et certaine, montraient une fleur stylisée et des poissons. De même, les pierres du Muséum Régional d'Ica observées par Neil Steede ne figuraient que des thèmes très classiques de l'art précolombien.



Pierre d'Ica (collection Cabrera) montrant une opération chirurgicale sur le cerveau
(Source : Geschichte in Chronologie)

Les partisans de l'authenticité des pierres d'Ica affirment souvent que celles-ci présentent une technologie et des connaissances qui dépassent de loin celles de notre culture moderne, preuves que les gravures ont bien été réalisées jadis par une civilisation très évoluée. Cabrera avait déduit d'une série de pierres d'Ica montrant une greffe de coeur, que les hommes glyptolithiques avaient trouvé un moyen pour contourner la réaction de rejet de l'organisme : ils prélevaient du sang d'une femme enceinte (sang qui, comme le supposait Cabrera, devait contenir un « hormone anti-rejet » en raison du foetus) et le réinjectaient au patient.
Toutefois, les sceptiques ont remarqué qu'aucun signe de technologie avancée ne pouvait être décelé sur les pierres : les hommes combattent des dinosaures avec haches, opèrent à coeur ouvert avec des outils extrêmement rudimentaires, les « machines volantes » figurent sous la forme d'oiseau... Et qu'une grande partie des "informations transcendantes" que les partisans voient dans les pierres d'Ica proviennent de l'interprétation qu'ils en font.
Javier Cabrera justifiait l'absence de technologie visible en affirmant que les dessins des pierres d'Ica étaient une sorte d'écriture codée et métaphorique. Pour cette raison, la technologie et les machines des « hommes des glyptolythes » n'étaient pas montrées clairement sur les pierres, mais suggérées de façon implicite ou schématisées sous des formes simplifiées : une simple lame en silex pouvait représenter un bistouri de chirurgien, par exemple.
Cabrera s'appuyait également sur une lecture symbolique des dessins non-figuratifs des pierres, et montrait une très grande liberté d'interprétation des gravures. Il voyait ainsi une feuille comme un symbole « d'énergie biologique » ou « d'énergie cognitive » ; un chameau primitif, animal résistant à la chaleur, représentait un réchauffement planétaire ; deux cercles concentriques symbolisaient un vaisseau spatial et des hommes venus d'un autre univers... Cette méthode lui permettait de "déduire" un grand nombre d'informations très détaillées à partir des gravures des pierres d'Ica, pas toujours compréhensibles ni faciles à lire.
Cette liberté d'interprétation a été très critiquée par les détracteurs de Cabrera, qui y voient un preuve du manque patent de sérieux et de rigueur du médecin. L'exemple le plus frappant de l'imagination débridée de Javier Cabrera serait la facilité avec laquelle il a identifié une espèce de poisson disparue sur la gravure approximative de la première pierre d'Ica de sa collection.



Pierre d'Ica montrant des géoglyphes de Nazca : on y reconnait le singe, l'araignée, le condor, le héron et le colibri
Il est souvent avancé que les paysans qui fournissaient les pierres d'Ica, issus d'un milieu pauvre et défavorisé, n'étaient pas assez cultivés pour avoir pu graver les scènes sur les pierres. Toutefois l'un des reporters à l'origine de l'émission de la BBC de 1977, Ray Sutcliffe, a témoigné que Basilio Uchuya n'étaient pas du tout un paysan illettré mais quelqu'un d'intelligent, fier de ses oeuvres, et dont la maison était équipée d'une TV et d'un groupe électrogène.
Basilio Uchuya avait également avoué à Erich von Däniken en 1973 qu'il avait produit ses gravures en s'inspirant de bandes-dessinées et de magazines.
Vicente Paris a montré, durant son enquête dans les années 90, que les pierres d'Ica reproduisaient souvent des motifs présents sur des artefacts précolombiens anciens, dont les paysans auraient pris connaissance via des magazines et des journaux. Certaines pierres d'Ica de la collection Cabrera figurent ainsi les célèbres géoglyphes de Nazca. Roger Ravinez, membre de l'Institut National de la Culture du Pérou, a affirmé dans la presse que les pierres d'Ica ne possédaient pas d'unité stylistique et empruntaient des éléments des cultures Nazca, Mochica, Paracas, Tihuanacu...

Les sceptiques pointent en outre du doigt les incohérences visibles sur les pierres d'Ica : les pierres montrent des animaux ayant vécus en des lieux et des époques très éloignées, qui n'auraient jamais pu se rencontrer. Des mammifères tout à fait modernes cohabitent ainsi avec des mammifères préhistoriques, des dinosaures de diverses époques du Mésozoïque, et des animaux primitifs extrêmement anciens.
Cabrera observa ainsi sur les pierres de sa collection personnelle des alticamelus (des chameaux préhistoriques du miocène, 14 à 15 millions d'années), des mammouths (à partir de la fin du pliocène, 3 millions d'années), diverses espèces de dinosaures (tyrannosaure, Crétacé, entre 70 et 65 millions d'années ; et stégosaure, Jurassique, entre 150 et 140 millions d'années) et des agnathes (des poissons primitifs sans mâchoires du Paléozoïque, il y a plus de 400 millions d'années).



Pierre d'Ica montrant un dinosaure sauropode mangeant un homme
Les pierres montrant des dinosaures sont pour la plupart assez fantaisistes (dinosaures avec un pis de vache, un oeil humain au milieu du dos...). Même les plus réalistes témoignent souvent d'une méconnaissance de ces derniers, preuve qu'elles ont été réalisées par des gens qui n'avaient jamais vu de dinosaures de leur vivant.
Ainsi, les théropodes carnivores sont représentés avec une posture verticale, comme les anciens paléontologues les imaginaient... Alors que des études de biomécanique ont clairement montré depuis les années 90 qu'ils avaient nécessairement une station horizontale pour pouvoir se déplacer avec aisance malgré leur masse. De même, certains sauropodes sont représentés en train de dévorer des êtres humains, alors que ces animaux étaient herbivores.
Cabrera a également interprété certaines pierres comme des preuves que les dinosaures se développaient en passant par divers stades de métamorphoses, comme les têtards des grenouilles actuelles ; d'autres pierres montrent des femelles dinosaures "enceintes" avec un foetus... Or, les découvertes paléontologiques ont définitivement montré que les dinosaures étaient ovipares et que des oeufs naissaient des petits déjà formés.
Certaines pierres montrent également des chevaux tirant des chariots... alors que le cheval était absent sur continent américain avant l'arrivée des Conquistadors et que les populations précolombiennes ne connaissaient pas la roue. Ceci exclut la possibilité que les pierres aient été fabriquées par une population pré-inca ou incas, ou même par une civilisation perdue en des temps anti-déluviens (le cheval moderne étant apparu il y a 5 millions d'années), et pointe de façon irréfutable un canular.



Pierre d'Ica (collection Cabrera) montrant un cheval tirant un chariot
Les théories créationnistes affirmant que les hommes ont coexisté avec les dinosaures sont, de manière générale, très vivement critiquées par le monde scientifique qui dénonce leur caractère pseudo-scientifique et le dogmatisme religieux de leurs défenseurs. Les études paléontologiques montrent en s'appuyant sur la géologie, l'étude des fossiles et la phylogénèse, que les derniers dinosaures se sont éteints il y a 65 millions d'années, alors que les premiers représentants de la lignée humaine sont apparus il y a 3 millions d'années